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 Dossier AZF ...

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MessageSujet: Dossier AZF ...   Dossier AZF ... EmptyMer 2 Nov - 19:23:44

DIPLOMATIE INTERIEURE Art Gazette


Pour des raisons de diplomatie intérieure et afin de préserver le renom de nos ministres, il est formellement mal venu: De mettre en doute que Toulouse fut victime d’un accident, même s’il faut pour cela soupçonner les ouvriers de l’usine. De critiquer que la fouille du logement du principal suspect ait été faite huit jours trop tard, et soit intervenue après que sa famille ait déménagé la plus grande partie de ses affaires. Rappelons que ce monsieur de 35 ans avait déjà eu affaire avec la police et avec la justice française pour des faits graves.

De se souvenir que quatre personnes ont vu une fusée tomber sur l’usine et ont entendu une explosion qui pourrait être celle d’un tir de départ, suivi de celui d’arrivée et de l’explosion finale.
Toute ressemblance avec un fait réel étant le fait du hasard!


De faire un rapprochement entre le fait que le principal suspect fréquentait des extrémistes, s’était rendu dans une mosquée qui forme des extrémistes et se soit vêtu à la manière des Kamikaze.
Toute ressemblance avec un fait réel étant le fait du hasard!
Il est plus vraisemblable puisque c’est un Ministre responsable, (mais pas coupable) qui le dit, que ce soit:
Un obus d’une des anciennes guerres, n’importe laquelle fera l’affaire, peu importe, qui d’un seul coup se soit enfouie sous terre, puis se soit réveillée et qui depuis les profondeurs du sol ait dégagé suffisamment de chaleur, (avec un peu de bonne volonté que diable!) pour atteindre les 200 degrés nécessaires à l’explosion finale.
Que tous les chimistes se trompent et qu’un simple réchauffement fasse tout exploser.

Ce qui ne s’est jamais vu, mais une vierge a bien eu un enfant il y a deux mille ans!


Toutes les hypothèses sont permises, à vous de choisir, à l’exception de l’attentat.

Et la meilleure preuve que ce n’est pas un attentat, n’est-elle pas que tout coïncide vers l’attentat. Ce qui contrarie et chagrine notre Ministre.
Alors comment voulez-vous que nos Ministres suivent cette logique, eux qui nagent dans l’utopie.
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MessageSujet: Re: Dossier AZF ...   Dossier AZF ... EmptyMer 2 Nov - 19:26:22

Nous dit-on la vérité sur l’explosion de l’usine AZF de Toulouse ?

Des faits montrent pourtant que la thèse de l’attentat est très probable:

-29 morts et 2442 blessés, tel est le bilan humain de l’explosion de l’usine
-10 000 logements endommagés ou détruits dont 500 logements inhabitables.
-69 écoles sont dans l’impossibilité d’accueillir leurs élèves
-18 collèges ont subi des dégats
-2 lycées sont détruits
-l’université du Mirail fermée, alors que 25 000 étudiants la fréquentent

Les assureurs estiment à plus de 6 milliards de francs, les dégât matériels causés par cette explosion.
Voici un certain nombre de faits des plus troublants qui attestent la thèse d’un acte terroriste.



En premier lieu, de nombreux témoignages, comme celui-ci, paru dans Le Figaro du 28 septembre.

Emilie, qui se trouvait chez elle, à 200 mettre à peine des bâtiments d’AZF témoigne:
" Soudain, j’ai vu une sorte d’éclair, comme un trait de lumière, se diriger en l’espace de quelques secondes vers le hangar de l’usine. Il y a eu une première explosion. Affolée, je me suis réfugiée dans ma chambre, dont la porte, heureusement, donne sur le jardin. Je me suis mise sous ma couverture. Aussitôt, après, il y a eu l’énorme déflagration... "
Son père, électricien et responsable incendie à la SNPE, a vu lui aussi, depuis son poste de travail, " une sorte de projectile à bonne hauteur au-dessus des toits ".
C’est aussi le cas de son frère, actuellement en période d’essai, ainsi que d’autres collègues de l’usine.
" Aujourd’hui, ils sont tous en état de choc, et ont du mal à parler de ça ", raconte Emilie.
Pourtant, prenant leur courage à deux mains, les deux hommes sont allés, dès le lendemain matin, témoigner de ce qu’ils ont vu auprès des policiers venus enquêter sur les lieux de la catastrophe.
" On ne les a même pas écoutés, personne ne les a crus. Les gens de la police ne voyait déjà que la thèse de l’accident. Pour eux, ce qui était en cause, c’est la sécurité de l’usine qui n’était pas aux normes, ils ne voulaient pas entendre parler d’autre chose. "
Et Emilie conclut sans hésitation : " Pourtant, beaucoup de gens le pensent à Toulouse, et nous, nous l’avons vu : il s’agit d’un attentat et rien d’autre ! "

A l’instar d’Emilie, nombre de personnes proche du site ont entendu distinctement deux explosions :une petite suivie, quelques secondes plus tard, de la gigantesque détonation qui a tout dévasté à des kilomètres à la ronde.

C’est le cas notamment de François, responsable du service traction à AZF, qui a failli perdre la vie. " Le plafond du local où je me trouvais m’est d’abord tombé sur la tête et je me suis retrouvé coincé sous les gravats. Tout de suite après, il y a eu un souffle énorme et un bruit terrible... "
Il est surprenant que, vendredi dernier, quelques minutes après l’explosion, alors que personne ne pouvait rien savoir, tous les médias audiovisuels aient matraqué l’affirmation : " il ne s’agit pas d’un attentat ", comme si une consigne avait été donné. Par qui ?
Le gouvernement, par la bouche, entre autres, du ministre de l’Intérieur, Daniel Vaillant, soutient évidemment la thèse de l’accident, mais avec une extrême prudence.

La direction de TotalFinaElf et de l’usine AZF, soutenue d’ailleurs par les syndicats, assure que toutes les mesures de sécurité ont bien été prises.
Finalement, des scientifiques (chimistes et experts qualifiés) déclarent ne pas comprendre les causes d’une explosion accidentelle. Selon eux, un facteur déclenchant était nécessaire (choc, élévation de la température à plus de 200 degrés, ...).

Des experts cités jeudi par Le Monde estiment qu'un acte de malveillance ne peut être écarté.

Le nitrate d'ammonium, incriminé dans l'explosion, est un composé plutôt stable, expliquent des chimistes interrogés par le quotidien, et n'explose que s'il est mis en contact avec une très forte source de chaleur.
Trois jours après l’explosion, le procureur de la République de Toulouse, Michel Bréard, s’est empressé de dire que l’explosion des 300 tonnes de nitrate d’ammonium était " à 99% un accident " et exclu " formellement " l’hypothèse d’un attentat terroriste.

Un policier déclare : "Dans cette affaire, depuis la première heure, personne n'a su ou voulu être clair. Il y a eu du flottement à tous les niveaux. Personne n'est monté au créneau pour dire qu'un chat est un chat, comme l'avait fait le maire de New York après l'attentat. Résultat, tout le monde doute maintenant de l'origine accidentelle de l'explosion".(Reuters)

Dans une interview à La Croix datée de vendredi, Philippe Douste-Blazy précise aussi qu'il a "des doutes sur les causes de l'explosion" et "préfère attendre la fin de l'enquête".

"Je prends l'engagement de jouer la transparence et de dire toute la vérité aux Toulousains", ajoute-t-il.

Par ailleurs, des mouvements suspects d'un petit groupe de personnes, décrits comme jeunes, auraient été remarqués par le concierge d'un gymnase des alentours. Une voiture s'éloignant à grande vitesse vers Labège (une commune de la périphérie du site chimique) aurait été signalée.

Il paraîtrait en outre qu’un groupe islamiste encore inconnu en France, Es Seyf al islami. Le sabre de l'islam, ait revendiqué l’attentat.
Par ailleurs, pourquoi avoir dépéché une armada de psys pour essayer de convaincre les témoins que le sifflement avait entendu APRES et non AVANT l'explosion? Psychologues, puis psychiatres avec la connotation "maladie mentale" que l'on sait, se sont relayés pour tenter de brouiller les souvenirs de gens terriblement choqués. La vérité officielle est: "Vos oreilles ont sifflé après la déflagration, votre imagination a fait le reste!"

Les pouvoirs publics ont eu, suite à cette accident, une très curieuse façon d’agir. Lionel Jospin et Jacques Chirac n’ont fait qu’évoquer, le jour même de l’explosion, l’hypothèse de l’accident.

Mais comment expliquer un tel comportement de nos gouvernants et des institution de l’état, qui envers et contre tout, malgré les attaques terroristes contre les Etats Unis, veulent faire croire au français à un accident !

Mais pour qui nous prennent-ils ? Il est dès maintenant évident que la vérité nous est cachée. Les pratiques du gouvernement sont celles d’un régime totalitaire, qui manipule l’information et les faits pour des raisons politiques. Faut-il s’en étonner quand on connaît les origines trotskistes de notre Premier ministre, qui a acquis une grande expérience du secret et de la manipulation.

En France, nous sommes dans un pays où la libre information est toute relative. De nombreux actes de délinquances, commis par des jeunes d’origine maghrébine, ne sont pas relaté par les médias.
Il existe des dizaines de caches, dans nos banlieues, où se trouvent des armes de guerre comme des lances rockets. Ne serait ce pas, d’ailleurs, une roquette qui aurait provoqué l’explosion de l’usine ? Les témoignages entendus attesteraient une telle éventualité.

Alors que l’hypothèse de l’attentat paraît des plus probable, un bouc émissaire a été trouvé : l’entreprise Totalfinaelf, qui n’aurait soit disant pas respecté les consignes élémentaires de sécurité.

Mais quel est le sens du débat sur les usines à risques se trouvant dans des agglomérations, débat qui occupe tout l’espace médiatique ? Quel est le sens des attaques contre Totalfinaelf, contre le capitalisme, la loi du profit et j’en passe ? Quel est le sens de la manifestation à Toulouse ce samedi ?

Sur de nombreuses banderoles brandies par les manifestants, on pouvait lire "La chimie, la bourse, le fric : trop c'est trop" ou bien "Industriels=assassins. Mettez vos usines dans vos jardins". D'autres banderoles vouaient nommément aux gémonies le PD-G du groupe TotalFinaElf, Thierry Desmarest, l'invitant à venir "nettoyer nos appartements" ou lui demandant: "Après l'Erika et AZF, t'en as a pas marre, monsieur Total ?".

Il est à noté que, voici quelques années, un avion avait été détourné par des islamistes, cet avion devait s’écraser sur la Tour Effeil. La vérité n’a été révélée que bien des années après...

Il est évident, que bien que la vérité sera faite tôt ou tard, le gouvernement fera tout pour étouffer l’attentat. Une tel acte terroriste amoindrirait les chances de Lionel Jospin de façon certaine lors des prochaines élections présidentielles, en entraînant des tensions en France et en dévoilant au grand jour l’incapacité de nos gouvernant à assurer la sécurité des français.
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MessageSujet: Re: Dossier AZF ...   Dossier AZF ... EmptyMer 2 Nov - 19:29:18

Seize mois après le drame qui a fait trente morts et deux mille blessés, "Le Figaro" rouvre le dossier
Plus d'un an après la catastrophe, la thèse accidentelle n'est toujours pas démontrée.
Révélations sur l'explosion de l'usine AZF de Toulouse
[16 janvier 2003]


Plus d'un an après le drame de Toulouse, le temps des certitudes "à 99 %" paraît révolu. La thèse accidentelle initialement privilégiée par le procureur de Toulouse, Michel Bréard, pour expliquer la catastrophe de l'usine chimique AZF, le 21 septembre 2001, n'est toujours pas démontrée. Le scénario le plus crédible étudié jusqu'ici par les experts judiciaires: un mélange involontaire de nitrate d'ammonium déclassé avec un dérivé chloré, le DCCNa (1), a été battu en brèche lors de la reconstitution organisée le 12 octobre dernier à la demande du nouveau juge d'instruction en charge du dossier, Thierry Perriquet (2). Ce jour-là l'opération tourne à la confusion. L'odeur du DCCNa est telle qu'il s'avère impossible que l'ouvrier qui a déversé le contenu d'une benne dans le sas du hangar 221, lieu de l'explosion, un quart d'heure avant le drame, ait pu confondre ce produit avec du nitrate d'ammonium.
Plus récemment, le service régional de police judiciaire de Toulouse a été contraint de démentir la rumeur, mise en avant il y a un mois par le quotidien régional La Dépêche du Midi (3), selon laquelle un "trafic de chlore" au sein de l'usine serait désormais "le principal fil conducteur des investigations" menées par les enquêteurs...
Quant à a thèse électrique défendue par le groupe TotalFinaElf, propriétaire d'AZF, elle n'apparaît guère plus probante. Pour l'instant les expertises réalisées dans le cadre de l'instruction sont loin d'accréditer le scénario de l'"éclair" généré par une seconde explosion qui se serait produite dans l'usine voisine de la Société nationale des poudres et explosifs.

Saura-t-on un jour la vérité sur cette catastrophe dont le bilan officiel fait état de 30 morts, de plus de 2 000 blessés et de 2,5 milliards d'euros de dégâts? Le nouveau juge, Thierry Perriquet, unanimement salué à Toulouse pour son objectivité, est décidé à explorer toutes les pistes.
Les avocats des victimes, des salariés d'AZF et des sous-traitants mis en examen, qui ont désormais accès au dossier d'instruction, constatent que certaines "portes" n'ont pas été convenablement "fermées". Investigations insuffisamment poussées, perquisition tardive, documents manquants, contradictions entre témoins, etc., plusieurs pistes qui s'écartaient de la "ligne" défendue par le parquet, à savoir l'accident du à des négligences au sein de l'usine, "ont été escamotées", affirment-ils. Le Figaro fait le point sur les principales zones d'ombre de l'instruction judiciaire de l'affaire AZF et apporte de nouvelles révélations.



1- Vingt kilos de trioxyde de chrome ont disparu.

Le fait n'a encore jamais été rendu public. Il est pourtant signalé dès le 2 octobre 2001 au service régional de police judiciaire (SRPJ) de Toulouse, chargé de l'enquête, par un cadre de Grande-Paroisse, société propriétaire de l'usine AZF et filiale du groupe TotalFinaElf. D'après l'INRS (4), ce produit très réactif, également désigné sous l'appellation chrome VI oxyde rectapur, est "susceptible de provoquer des incendies et des explosions par simple contact avec des matières organiques ou des produits inflammables". Son fabricant, Merck Eurolab, conseille même d'éviter tout contact avec les "nitrates". Or c'est bien du nitrate d'ammonium, stocké dans le désormais fameux hangar 221, qui a explosé le 21 septembre 2001 à 10h17.
Commandés deux mois plus tôt à Merck, douze flacons contenant chacun 1,7 kg de trioxyde de chrome devaient être livrés au laboratoire de l'usine le 27 juillet pour deux d'entre eux et le 30 juillet pour les dix autres. Mais le 27, le laboratoire n'en reçoit qu'un seul, et le 30, aucun. Les 11 flacons manquants n'arriveront à l'usine que le 7 août, comme l'atteste un récépissé dûment signé et tamponné par un employé d'AZF.
Mais, début septembre, les responsables du laboratoire d'analyse n'ont toujours pas mis la main dessus. C'est d'autant plus surprenant que quatre autres colis livrés le même jour à l'usine (soit le 7 août) sont tous parvenus aux services destinataires. Huit jours avant le drame, un avis de recherche est lancé par courrier électronique dans tous les services. Sans résultat.
Entendu début octobre 2001 par le SRPJ, l'ouvrier intérimaire, un homme de 31 ans originaire de Moselle, en poste au magasin le 7 août, certifie avoir réceptionné le colis manquant mais ignore ce qu'il est devenu. Conclusion: 18,7 kg de chrome VI oxyde rectapur se sont égarés quelque part entre le magasin et le laboratoire de l'usine.
Ont-ils été simplement perdus ou ont-ils été volés? Leur disparition aurait-elle un lien avec l'explosion? On n'en saura pas plus. Aucun des personnels du laboratoire entendus dans le cadre de l'enquête ne sera questionné sur le sujet. Il faut attendre le 13 septembre 2002, soit un an après les faits, pour que la responsable de ce service, qui en est pourtant à sa quatrième audition, soit interrogée sur ce point.
De même, bien que le magasinier signale qu'une caméra surveillait toutes les livraisons, aucun procès-verbal ne fait état d'un visionnage du film de la journée du 7 août par les enquêteurs.
Quant à eux, les experts en explosifs-incendie mandatés par les deux juges d'instruction en charge du dossier, Thierry Perriquet et Didier Suc, n'ont pas, à ce jour, analysé en détail les réactions du chrome VI oxyde rectapur en présence de nitrate d'ammonium, comme ils l'ont fait avec d'autres produits, chlorés notamment.
Pour finir, les médecins légistes n'ayant pas prélevé d'échantillons de peau sur les corps des personnes décédées à proximité du hangar 221, il sera très difficile de retrouver d'éventuelles traces de chrome sur l'une d'entre elles, sauf peut-être sur des vêtements. Mais, à notre connaissance, aucune recherche de ce type n'a été effectuée.


2- Le départ de Samir A.
Aucun rapprochement ne sera fait non plus entre la disparition du trioxyde de chrome et la présence, fin juillet-début août, dans le laboratoire, de Samir A., un agent d'entretien intérimaire que les policiers entendront pourtant à deux reprises en octobre 2001 et dont nous révélons aujourd'hui l'existence.
Motif: le matin du 21 septembre, cet homme de 35 ans, de nationalité algérienne, a subitement quitté l'usine une demi-heure avant l'explosion, victime de maux de ventre, selon ses déclarations. Son employeur restera ensuite sans nouvelles de lui.
Compte tenu de sa formation universitaire (un deug de technologie), l'intéressé avait pourtant le bagage intellectuel suffisant pour connaître et apprécier les redoutables propriétés du trioxyde de chrome. Lors de la perquisition effectuée à son domicile, les policiers saisissent un bon de commande d'une vingtaine d'ouvrages et de CD-ROM intitulés Constantes physico-chimiques, Génie nucléaire ou encore Entreprise industrielle. Le tout pour la somme de 119 971 F (18 288 €). L'intéressé expliquera aux policiers qu'il s'agit d'un "devis" réalisé pour le compte d'un proche qui tient "un commerce d'informatique ou une librairie" à Borj Menaiel, ville dont il est originaire. Mais la vérification de cette déclaration n'est pas faite. Les trous et les contradictions dans l'emploi du temps de Samir A. le matin du 21 septembre et les jours précédents restent également sans explication.


3- L'accoutrement d'Hassan J.
"Cet homme savait qu'il allait mourir": c'est la phrase qui courra pendant plusieurs jours à l'hôpital Purpan de Toulouse, après l'examen du corps d'Hassan J., manutentionnaire intérimaire mort à proximité du lieu de l'explosion, effectué le 22 septembre, soit dès le lendemain du drame.
Première constatation: comme Le Figaro l'a révélé dix jours après le drame (5), ce Français d'origine tunisienne, né à Toulouse, est habillé d'une bien étrange façon. D'après le procès-verbal du policier qui a assisté à l'intervention du médecin, il portait sous son pantalon un short de sport doublé d'un slip, le tout enveloppant un caleçon de marque Keep Away From Fire, un autre caleçon et un slip.
Cette accumulation de sous-vêtements paraît inadaptée au travail de l'intéressé qui consistait à charger, pendant des heures, dans la poussière et la sueur, de lourds sacs de nitrate dans des conteneurs. D'aucuns y ont vu le rituel de certains combattants de l'islam.
Lors de l'examen du corps d'Hassan J., d'autres constatations ont été effectuées. Dans un rapport daté du 3 octobre 2001, les Renseignements généraux de Toulouse précisent que "la mise d'Hassan J. était propre et soignée". En outre, dans le milieu hospitalier, certaines sources nous ont indiqué qu'il était "épilé" sur la majeure partie du corps et que tous ses vêtements étaient soit neufs soit venaient juste d'être portés. Son bleu de travail n'était même pas froissé.
Pourtant, au moment de l'explosion, survenue à 10h17, Hassan était censé porter des sacs depuis 4h30 du matin... Comment aurait-il fait pour ne pas se salir? S'est-il changé peu de temps avant l'explosion? Il paraît peu probable qu'il se soit préparé à rentrer chez lui car, à l'heure de l'explosion, il avait encore deux heures de service à accomplir.
Autre point troublant: dans leur rapport, cité plus haut, les RG écrivent, sur la foi d'indicateurs qu'ils qualifient de sûrs, qu'Hassan J. "serait tombé fin 2000 sous l'influence de l'un des principaux leaders de la mouvance islamiste locale, Miloud R.".
Ces éléments cités, à l'époque par Le Figaro et de nombreux autres médias (6), n'ont pas été formellement démentis depuis. Ils nous avaient valu d'être poursuivis par le procureur de Toulouse pour "diffusion de fausses nouvelles" avant d'être relaxés de ce chef d'accusation, le 27 juin 2002, par le tribunal correctionnel de la ville.
Cette piste, sur laquelle le magazine L'Express reviendra longuement en décembre 2001, a-t-elle été exploitée à fond?
Dès le 25 septembre, soit six jours avant que Le Figaro ne révèle la surprenante tenue vestimentaire d'Hassan J., sa compagne est interrogée sur ce point précis par un policier du SRPJ. Preuve que certains enquêteurs ont fait d'eux-mêmes le rapprochement entre cette tenue et l'éventuelle implication d'Hassan J. dans un attentat. Cependant, dans son rapport du 4 juin 2002 sur l'état d'avancement de l'enquête, le SRPJ dénoncera "la rumeur accréditée par une certaine presse laissant entendre que cette accumulation de sous-vêtements est la marque d'un kamikaze"...
Le dossier révèle encore que l'ambassade d'Israël en France a répondu par écrit, le 24 octobre 2001, à la direction centrale de la police judiciaire, qui l'avait sollicitée dans le cadre de l'enquête, qu'"un kamikaze, qui n'a pas été tué par l'explosion a été retrouvé (en Israël l'année précédente, NDLR) portant plusieurs sous-vêtements". Sans cependant en tirer des conclusions d'ordre général. Cela n'empêchera pas le SRPJ d'écrire le contraire dans le document cité plus haut: "L'ambassade d'Israël n'a jamais constaté qu'un terroriste kamikaze a porté plusieurs sous-vêtements avant de se sacrifier"...
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MessageSujet: Re: Dossier AZF ...   Dossier AZF ... EmptyMer 2 Nov - 19:29:42

4 - Deux documents introuvables.
Certains avocats s'étonnent que l'original du rapport du médecin légiste qui a examiné le corps d'Hassan J. soit introuvable dans le dossier d'instruction. Les avocats des parties civiles et des salariés de Grande-Paroisse mis en examen le 15 juin 2002 pour "homicide involontaire" ne sont pas mieux lotis puisque la copie de ce rapport ne leur a pas été communiquée. Ils doivent se contenter du procès verbal de l'officier de police judiciaire qui a assisté à l'examen du corps.
Autre document manquant dans la copie du dossier d'instruction remise aux avocats, le dossier technique relatif à l'identification des victimes ne contient que... la page de garde. C'est d'autant plus fâcheux qu'un doute persiste sur le nombre exact de personnes décédées dans l'usine: 21 officiellement, alors qu'au départ plusieurs voix ont fait état de 23 morts. En outre, dans l'état actuel de l'instruction, il est impossible de localiser précisément l'endroit où certains corps ont été retrouvés, notamment ceux situés à proximité du hangar 221. Or la position d'Hassan J. au moment de son décès, selon certains constats, "près du cratère" laissé par l'explosion, selon d'autres, dans le hangar 10, proche du 221, est l'un des éléments clefs de l'affaire.


5- Les contradictions des proches d'Hassan J.
Lors de sa première audition, le 25 septembre, la compagne d'Hassan explique que ce dernier "portait un caleçon et un slip parce qu'il se trouvait un peu mince et qu'il voulait créer une épaisseur à ce niveau". Mais lorsque le policier précise qu'Hassan a été retrouvé avec, non pas deux mais cinq épaisseurs de sous-vêtements, elle n'a "aucune explication à donner sinon que ce n'était pas un homme violent ou méchant. Il n'aurait pas pu faire de mal à qui que ce soit".
Une semaine plus tard, devant un autre enquêteur, la jeune femme déclare cette fois: "Hassan avait coutume de porter plusieurs sous-vêtements, parfois trois, parfois quatre. Il faisait cela tous les jours parce qu'il se trouvait trop maigre." Les médecins qui ont pratiqué l'autopsie parlent d'un homme de "corpulence normale".
Interrogé à son tour, le père d'Hassan déclare, le 2 octobre, toujours à propos de la tenue de son fils: "J'ignorais ce détail et je n'en comprends pas l'utilité. Sa femme a dit à la police que c'était parce qu'il se trouvait trop maigre du bassin. Il n'a jamais fait état auprès de sa mère, de son frère ou de moi-même d'un tel complexe."
Le lendemain, l'une des sœurs d'Hassan affirme que son frère portait plusieurs sous-vêtements, "pour donner plus d'importance à son gabarit", et que son père porte lui aussi plusieurs sous-vêtements pour les mêmes raisons.
Malgré ces contradictions, les policiers du SRPJ ne procéderont à aucune confrontation.
Pour leur part, les amis et les proches certifient avec les mêmes formulations qu'Hassan "buvait de l'alcool, fumait du shit, ne faisait pas le ramadan, ne disait pas les prières, n'allait pas à la mosquée", etc.
Lors de sa première audition, sa compagne, avec qui il venait de se marier religieusement (mais pas civilement) déclare quant à elle: "Hassan était croyant mais, malgré sa ferveur religieuse, il ne fréquentait pas les mosquées. Par contre, il respectait le ramadan." Elle confie aussi qu'"avant de le connaître", elle n'avait "aucune pratique religieuse" mais qu'"à son contact", elle a voulu "s'initier aux rites musulmans"...


6- La "visite" de l'appartement d'Hassan J.

Le Figaro a été condamné pour diffamation envers la compagne d'Hassan J., le 9 janvier dernier, par la cour d'appel de Toulouse, pour avoir écrit, le 5 octobre 2001, que "l'appartement de Hassan J., qu'il partageait avec sa compagne, avait été nettoyé". Les cinq membres de sa famille qui étaient associés à cette plainte ont quant à eux été déboutés.
Le 4 octobre 2001, donc la veille, Le Parisien rapportait pourtant ces propos tenus par un policier toulousain: "A la réunion, on propose de perquisitionner dès le lendemain matin (23 septembre 2001, NDLR) au domicile de la victime (celui d'Hassan J.). En termes policiers, nous n'avons pas le droit de fermer cette porte d'office. Comme seule réponse des chefs, l'un de nous a été chargé du dossier comme on refile une patate chaude, avec, en gros, interdiction de bouger. Il n'a eu le droit d'aller perquisitionner que vendredi matin, soit cinq jours après. Autant de temps perdu, déplore le policier. Dans l'appartement, tout était clean. Même plus d'habits, même plus de photos, plus rien..."
Cette version nous a été confirmée en décembre 2001, par un autre policier dont nous publions les propos seulement aujourd'hui: "L'appartement avait été plus que nettoyé: il était stérilisé. Maintenant on est cuit. On a pris une semaine de retard et, dans une enquête judiciaire, un tel retard ne se rattrape jamais. Une fois que le ménage a été fait, on n'a plus que ce que le ménage nous a laissé."
Seul Le Figaro sera poursuivi par la compagne d'Hassan J. Lors de la perquisition, la jeune femme a pourtant bel et bien déclaré aux policiers: "Je me suis débarrassée des affaires d'Hassan, notamment de ses vêtements et de certains documents lui appartenant. Je ne voulais pas garder ces souvenirs à la maison, car c'est trop cruel pour moi. J'ai donc jeté les vêtements à la poubelle et j'ai remis les documents à ses parents."
Lorsque, le 24 octobre 2001, les policiers de la DCPJ demandent à l'ambassade d'Israël en France, toujours pour les besoins de l'enquête, s'il est "habituel que les proches (des auteurs d'attentats suicides) se débarrassent de leurs effets personnels", ils obtiennent cette réponse: "Si cela se fait, il est logique de penser que la famille essaie de cette manière de cacher l'implication dans l'acte terroriste."


7- Cinq revendications d'attentat
Certains avocats des parties aux dossiers s'étonnent que cinq revendications d'attentat soient parvenues aux gendarmes, à la presse (France 3 Sud, TéléToulouse, La Dépêche du Midi) et à la police dans la semaine qui a suivi l'explosion. Sont-elles sérieuses? Leur existence n'a, en tout cas, jamais été officiellement évoquée. De quoi accréditer l'idée que l'explosion de l'usine n'ayant pas été revendiquée, celle-ci ne pouvait être que d'origine accidentelle.
L'une de ces revendications a pourtant été envoyée depuis un fax installé au Centre de traitement de l'alerte des... pompiers de Haute-Garonne. Son responsable a expliqué au policier venu l'interroger, le 2 octobre 2001, que les lignes téléphoniques de son service ont été "piratées par des individus opérant d'Angleterre et téléphonant dans le monde entier." L'investigation s'arrêtera là sur un PV de "vaines recherches".


8- L'équipée de Valence-d'Agen.
Le 21 septembre 2001, vers 11h30, soit une heure et quart seulement après le drame, les gendarmes de l'escadron départemental de sécurité routière d'Agen arrêtent deux voitures au péage autoroutier de Valence-d'Agen (Tarn-et-Garonne), à une centaine de kilomètres au nord-ouest de la ville rose. Selon les RG, qui révèlent ce fait dans leur note du 3 octobre 2001, cinq individus se trouvent à bord de ces deux véhicules, dont Miloud R., le fils du fondateur de la mouvance "afghane" à Toulouse. Trois d'entre eux ont d'ailleurs séjourné en Afghanistan et au Pakistan. En outre, toujours d'après ce document, Hassan J. serait tombé quelques mois plus tôt sous l'influence de ce même Miloud R.
L'un des deux véhicules, une Renault Laguna break, a eu la lunette arrière brisée par l'explosion d'AZF comme l'expliquent aux gendarmes, les occupants du véhicule. Ce qui signifie qu'au moment où ils ont quitté Toulouse, ils se trouvaient à une distance suffisamment proche de l'usine.
Les gendarmes d'Agen nous ont confirmé la semaine dernière que ce contrôle, effectué à la demande expresse des RG de Toulouse, a bel et bien eu lieu. Ils nous ont par ailleurs certifié n'avoir reçu depuis la visite d'aucun policier du SRPJ dans le cadre de l'enquête judiciaire sur l'explosion d'AZF. Pourtant le SRPJ affirmait, dans son rapport d'étape du 4 juin 2002 que "toutes les informations contenues dans le rapport des RG ont été vérifiées". Et concluait qu'"en l'état actuel de nos investigations la piste criminelle n'est pas avérée."

(1) Nos éditions du 21 septembre 2002
(2) Nos éditions du 14 octobre 2002
(3) Nos éditions du 19 décembre 2002
(4) Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail et des maladies professionnelles.
(5) Nos éditions du 1er octobre 2001
(6) Nos éditions des 4 et 5 octobre 2001
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MessageSujet: Re: Dossier AZF ...   Dossier AZF ... EmptyMer 2 Nov - 19:30:36

Toulouse : une explosion toujours mystérieuse

Les chimistes mettent à mal les explications du procureur et affirment que l'explosion du nitrate d'ammonium exige une grosse source de chaleur.


A lors qu'une cérémonie œcuménique a eu lieu mercredi soir en mémoire des 29 victimes de l'explosion de l'usine AZF de Toulouse, le drame reste toujours inexpliqué. Le procureur de la République Michel Bréard a beau déclarer qu'"il y a 99% de chances pour que ce soit un accident", aucun élément ne permet d'infirmer complètement cette thèse de l'accident. Plus encore, de nombreux spécialistes contestent les premières conclusions de l'enquête. Selon eux, le nitrate d'ammonium, l'engrais chimique qui était stocké dans l'entrepôt, n'a pu exploser tout seul. "L'engrais est le moins sensible des produits constitués de nitrate d'ammonium", indique Brigitte Diers, directrice de l'unité de prévention du risque chimique au CNRS, citée par le journal Le Monde daté de vendredi. "D'un point de vue de chimiste, poursuit-elle, c'est un produit normalement stable".



Thèse de l'accident
Ces propos viennent contester ceux du procureur de la République, qui a attribué l'accident à "un processus physico-chimique engagé depuis 80 ans, un processus long, complexe, qui a dû s'accélérer dans les jours qui ont précédé l'explosion".
Le PDG de l'usine, Michel Perratzi, estime aussi qu'il y a pu avoir "une transformation chimique dans le bâtiment". Il évoque également "la présence d'un corps étranger dans le nitrate".


Chaleur et confinement

Concernant la première hypothèse, celle d'une grosse source de chaleur –"les températures nécessaires à une explosion sont supérieures à 200°C, voire 250°C", écrit Le Monde qui se fonde sur la littérature scientifique- elle implique le mélange avec d'autres produits et le confinement empêchant aux gaz de décomposition de s'échapper. "Dans le cas de Toulouse, un degré de confinement reste à définir précisément", note le quotidien.
La deuxième hypothèse, celle d'un corps étranger, reste aussi à démontrer. "L'image de la petite étincelle mettant le feu aux poudres ne peut s'appliquer ici", écrit Le Monde, qui a passé en revue des accidents similaires du passé. "Pour déclencher l'explosion d'un stock de 300 tonnes de nitrate d'ammonium, une simple flamme ou un court-circuit ne suffisent pas. La thèse d'une projection et d'un choc mécanique ne tient pas non plus. Des expériences ont été menées impliquant le choc par un mouton d'acier ou la traversée par une balle, sans que cela ait le moindre effet", poursuit le journal.
Si l'on s'en tient à la thèse de l'accident, la très forte température est, selon les chimistes, l'hypothèse la plus valable. En tout état de cause, elle reste à démontrer.


Aide de Paris

La mairie de Paris a annoncé ce jeudi que l'OPAC (Office public d'aménagement et de construction) avait envoyé à sa demande "d'importants moyens matériels et humains pour venir en aide à l'Office HLM toulousain" après l'explosion vendredi de l'usine AZF.
La mairie précise dans un communiqué qu'une équipe d'ingénieurs-techniciens est déjà sur place "afin de procéder à un état des lieux de l'ensemble des logements gérés" par l'Office HLM. Cette équipe "sera suivie dans les jours qui viennent par une autre d'ouvriers (menuisiers, vitriers...) pour participer à la remise en état de tous ces sites sinistrés". (avec AP)
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MessageSujet: Re: Dossier AZF ...   Dossier AZF ... EmptyMar 13 Déc - 22:35:02

incendies a londres, l'azf anglais ??? Laughing
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MessageSujet: Re: Dossier AZF ...   Dossier AZF ... EmptyMar 20 Déc - 1:51:18

Arrow 19.12.05] - AZF une nouvelle expertise estime plausible deux explosions

Une nouvelle expertise sur l'explosion de l'usine AZF de Toulouse, le 21 septembre 2001, estime que la catastrophe a "vraisemblablement" été le produit de deux explosions distinctes et non d'une seule, a-t-on appris auprès de l'avocat du groupe Total, Me Daniel Soulez-Larrivière.
Jusqu'ici, les rapports d'expertise consacrés à la catastrophe qui a fait 30 morts et des milliers de blessés, ont penché en faveur d'une seule explosion, d'origine chimique, favorisée par des négligences dans l'organisation de l'usine de Grande paroisse (groupe Total).
Le rapport dont fait état Total et l'association d'anciens salariés "Mémoire et Solidarité" a été remis au début décembre au juge d'instruction Thierry Perriquet par Alain Hodin, spécialiste en accidents industriels et explosions.
Mandaté par le juge il y a un an notamment pour étudier les témoignages, M. Hodin a pris en compte de nombreux témoignages faisant état de deux explosions, a indiqué Me Soulez-Larrivière. Selon lui, "il ne donne pas d'explication à la catastrophe, mais conclut qu'il y a vraisemblablement eu deux explosions dont la première n'a pas laissé de trace sismique".

"Nous étions très surpris que les experts officiels ne s'intéressent pas à ces témoignages", a expliqué un des responsables de l'association de salariés, Michel Bouchardy, interrogé au journal télévisé de France 3 Sud. "M. Hodin conclut que ces témoignages faisant état de deux explosions ont une cohérence globale qu'on ne peut éluder, et que c'est l'hypothèse la plus plausible" a précisé M. Bouchardy.
Le président de l'association, Jacques Mignard, s'est appuyé sur ce nouveau rapport pour déclarer sur France 3 Sud que "la thèse officielle est d'un tel ridicule qu'elle peut pas être retenue de façon crédible" dans le rapport d'enquête définitif attendu au début 2006.


NDLR : Et dire qu'à l'époque on faisait venir des "psychologues" chargés d'expliquer aux témoins qui affirmaient avoir entendu deux explosions que cela n'était pas vrai, qu'il s'agissait d'un traumatisme post-explosion !!! Depuis le départ l'AIPJ affirme qu'il s'agit d'un acte terroriste islamiste. Nous avions publié à l'époque le témoignage d'un membre des "services" français qui expliquait ce qui c'était passé. Les Israéliens le savent, les Américains le savent, les autorités françaises bien entendu le savent. Demandez également à la journaliste du Point, celle qui a révélé le scandale du sang contaminé, comment on a tout fait (menaces, vol de son ordinateur portable, cambriolage, pressions sur ses témoins et les administrations toulousaines etc...) pour empêcher son enquête. Dégoûtée elle a du jeter l'éponge. Et faite un sondage à Toulouse et vous verrez que la très grande majorité des Toulousains ne croient pas à la version officielle. Mais malgré cela la version médiatique est qu'il s'agit toujours d'un accident à 99 % ! La France est une belle et grande démocratie n'est-ce pas ?
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MessageSujet: Re: Dossier AZF ...   Dossier AZF ... EmptyJeu 22 Déc - 19:39:07

Le risque 0 n'existe pas..... Et pourtant....... J'ai eu l'occasion le mois dernier d'être invitée sur un site de fabrication d'engrais derrière chez moi, vu la sécurité et les normes en vigueur, on se demande comment un accident pourrait arriver. D'ailleurs les employés et les syndicats ainsi que les organismes de contôl n'ont pas avalé la pilule en ce qui concerne AZF.
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MessageSujet: Moi non plus je ne l'ai pas avalée   Dossier AZF ... EmptyVen 23 Déc - 20:21:57

Moi non plus je ne l'ai pas avalé ... Je suis moi-même un vieux routier de l'industrie chimique ...
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MessageSujet: Re: Dossier AZF ...   Dossier AZF ... EmptySam 24 Déc - 1:36:40

Citation :
J'ai eu l'occasion le mois dernier d'être invitée sur un site de fabrication d'engrais derrière chez moi, vu la sécurité et les normes en vigueur, on se demande comment un accident pourrait arriver.
le pire ce sont nos centrales nucléaires ... Rolling Eyes Mr.Red j'ai peur pour elles ...

Citation :
D'ailleurs les employés et les syndicats ainsi que les organismes de contôl n'ont pas avalé la pilule en ce qui concerne AZF.
et oui, merci les médias, merci les politiciens !!! on peut compter sur eux !!! cool Mr. Green

Citation :
Moi non plus je ne l'ai pas avalé ... Je suis moi-même un vieux routier de l'industrie chimique
tu confirmes bien qu'AZF n'était pas un accident comme la france veut nous le faire croire ?
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MessageSujet: Réponse   Dossier AZF ... EmptySam 24 Déc - 1:51:10

Je ne peux rien confirmer car je ne suis pas un grand expert qualifié ( de ceux qui font des papiers pour les ministres et les juges ) et je n'ai pas accès au dossier bien évidemment. Je dis simplement que la détonation de 550 tonnes d'ammonitrate posé au sol en tas dans un bâtiment non étanche et de faible tenue mécanique , c'est à peu près incroyable pour n'importe quel ingénieur professionnel de la grande industrie chimique. Sachant que l'ammonitrate n'est pas vraiment un explosif.

Par contre s'il y a eu phénomène initiateur ( "détonateur " ) en quelque sorte , çà se tient . Reste à trouver le phénomène initiateur. L'histoire du produit à piscine ( acide dichloroisocyanurique ) qui aurait été déversée sur le tas par un ouvrier est controversée et moyennement crédible tant sur le plan scientifique que sur le risque d'erreur , vu que l'ouvrier de l'entreprise sous-traitante faisait ce travail des années et était un ancien d'AZF parait il .

Il est clair que la rumeur ... toujours la méchante rumeur ... du monde des ingénieurs , experts qualifiés et autorisés inclus ... dit la même chose que moi. La rumeur parle évidemment aussi de certains imams des mosquées de la région...

Mais bon , on n'avait pas fini de compter les morts et les blessés dans un véritable champ de ruines que le juge lui avait les preuves que c'était un accident !!!
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MessageSujet: Re: Dossier AZF ...   Dossier AZF ... EmptySam 24 Déc - 2:02:57

Citation :
Par contre s'il y a eu phénomène initiateur ( "détonateur " ) en quelque sorte , çà se tient . Reste à trouver le phénomène initiateur
la supposée roquette Question

Citation :
La rumeur parle évidemment aussi de certains imams des mosquées de la région...
et d'un intérimaire islamiste disparu (mort quoi)
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MessageSujet: Et bien oui   Dossier AZF ... EmptySam 24 Déc - 2:07:21

La rumeur ... la roquette ... et l'autre qui avait six couches de vêtements ( tenue de combat ).
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MessageSujet: Re: Dossier AZF ...   Dossier AZF ... EmptySam 24 Déc - 2:11:23

voila, l'islamiste pret a mourrir en martir ... Evil or Very Mad
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MessageSujet: Re: Dossier AZF ...   Dossier AZF ... EmptyLun 2 Jan - 18:53:46

Le 23 septembre l'AIPJ avait publié l'entretien avec un membres des services français du renseignement. Avec la publication de ce document nous ouvrons notre dossier sur l'explosion d'AZF afin que la vérité éclate enfin. D'autres documents suivront :

TOULOUSE : C'était bien un ATTENTAT!

Samedi 22 septembre 2001, 9 heures locales.
Entretien avec un officier des services de securite francais :

- Vous m'avez affirmé hier soir, off the record, que ce n'était pas un accident. Sur quoi vous basez-vous?

* Il y a d'abord des indices troublants: 10 minutes après l'explosion, la préfecture affirmait que ce ne pouvait être un attentat. Quelle précipitation alors que les victimes n'avaient pas encore été dégagées des décombres! Puis tout au long de la journée, A2 et FR3 se sont relayés pour minimiser le nombre des victimes. Il y a en réalité 50 morts et pas loin de 1000 blessés. On n'a jamais vu ça dans une explosion d'usine chimique, pas même lors d'accidents de raffinerie avec des produits bien plus volatils, inflamables et détonants.

- Vous êtes absolument sûr pour le nombre de victimes?

* Absolument. Il n'y a que les télés pour essayer de faire gober qu'on ne pouvait pas bien compter les morts et les blessés parce qu'ils étaient répartis sur plusieurs hopitaux!

- Cela peut être pour tenter de cacher une faute industrielle grave dans laquelle des "autorités" seraient plus ou moins impliquées?

* Oui, mais l'hypothèse ne tient pas si l'ont prend en compte le sifflement entendu par plusieurs rescapés juste avant l'explosion. Comme si une rockett avait percuté le bâtiment. Témoignages à prendre d'autant plus au sérieux qu'une explosion au sol n'aurait pas provoqué un cratère de l'ampleur de celui que j'ai vu. Et que les téléspectateurs ont pu voir aussi sur certaines images...
Avant qu'elles n'aient été censurées!
Par ailleurs, pourquoi avoir dépéché une armada de psys pour essayer de convaincre les témoins que le sifflement, ils l'avaient entendu APRES et non AVANT l'explosion? Psychologues, puis psychiatres avec la connotation "maladie mentale" que l'on sait, se sont relayés pour tenter de brouiller les souvenirs de gens terriblement choqués. La vérité officielle est: "Vos oreilles ont sifflé après la déflagration, votre imagination a fait le reste!"

- Admettons. Dans ce cas, s'il s'agit d'un attentat, on peut tout de même se poser des questions: Pourquoi n'a-t-il pas été revendiqué? Pourquoi surtout n'a-t-il pas frappé la poudrerie juste à côté, avec des dégats sans commune mesure?

* L'attentat a été revendiqué par un groupe islamiste encore inconnu en France: Es Seyf al islami. Le sabre de l'islam (NDLR: On peut traduire aussi: Par le sabre vous vous soumettrez!)
Deux personnes, Ahmad M.... et Mostefai S...., qui étaient repérées depuis plusieurs jours ont été arrêtées par les services spéciaux vers 15 heures, vendredi 21 septembre. Depuis, elles ont disparu de la circulation. N'avez-vous pas remarqué l'air géné de Douste-Blazy, ou du procureur de la république qui, eux, sachant à quoi s'en tenir, parlaient d'"autre chose" qu'un accident?

- Soit. Mais pourquoi pas la "poudrerie" qui fabrique des propergols pour les missiles bien plus explosifs que des engrais?

* La poudrerie était visée, avec un lance-rockett depuis une des tours du mirail. Ce quartier, veritable cité interdite à forte densité de population maghrébine, aurait été soufflé, mais cela importait peu à nos terroristes. Ils seraient morts en martyrs, entraînant avec eux au paradis d'Allah des milliers de coréligionnaires. Mais Toulouse aurait été rayé de la carte! Des centaines de milliers de victimes. "On ne fait pas d'omelettes sans casser des oeufs" est aussi un proverbe en terre d'islam.

Le miracle est que nos apprentis terroristes n'ont pas su calculer la "flèche", phénomène bien connue des artificiers, c'est-à-dire la modification de trajectoire d'un projectile en fonction de paramètres tels que la hauteur d'où on le tire, la distance à parcourir et la dérive due au vent. Or, hier, il soufflait un violent vent d'autan sur Toulouse. Mais je suis formel: LA POUDRERIE ETAIT BIEN VISEE! Seul un miracle a fait dévier le missile de quelques degrés et percuter un bâtiment mitoyen avec des conséquences limitées, toutes proportions gardées bien évidemment.

- Au coeur de l'action, vos fonctions vous permettent-elles d'avancer de tels propos sans risque d'erreur?

* Je vous assure que oui. Mais naturellement, quand on témoigne dans ce pays déliquescent, qui préfère tenir le peuple dans l'ignorance dès qu'il s'agit de méfaits commis par des musulmans, mieux vaut ne pas en dire trop sur soi même si on veut éviter la prison. Ou un "accident". Mais la vérité ne pourra être cachée éternellement.
Des bazookas, des lance-rocketts, il y en a dans toutes les caves des "cités". Pas seulement à Béziers ou à Toulouse. Les islamo-mafieux de l'UCK, grands amis de la France comme chacun sait, fournissent le matos. En bons musulmans solidaires de leurs "frères"...

- Et la présence ce Chirac et Jospin dans les heures suivant l'explosion, à votre avis?

* Outre la préparation de leur campagne électorale, c'était pour venir s'assurer que toutes les dispositions avaient été bien prises pour étouffer l'affaire. C'est la faute à la malchance. Ou à la maladresse. A l'heure où je vous parle, les deux terroristes Ahmad M.... et Mostefai S.... ont été discrètement mis hors d'état de nuire. Comme ça, pas de risque de procès-tribune. Pas de risque non plus que les méchants Français racistes en tirent argument. Il ne faut à aucun prix salir les "chances pour la France!"



-------------------------------------------------------------------------------------

Au journal de 19h30 sur France 3 le 28/9/1 la journaliste relate un fait très intéressant :

<<... il y a de nombreux témoignages concordants sur un flash lumineux qui se serait dirigé vers l'usine quelques secondes avant l'explosion. Un flash qui aurait pu être l'effet d'un projectile de forte puissance.
Témoin : "15s ou 20s à peu près avant l'explosion il y a un trait de lumière qui a coupé la route. C'était comme un flash, c'était très rapide"
.. de nombreuses revendications d'attentat sont envoyées un peu partout...>>

-------------------------------------------------------------------------------------

Nous publions ici notre dépêche du 19 décembre 2005 qui montre à quel point l'AIPJ avait raison de ne pas croire depuis le début la version de l'accident à 99 %. Relisez ensuite l'entretien avec le membre des services de renseignement. Etonnant non ?

[19.12.05] - AZF une nouvelle expertise estime plausible deux explosions

Une nouvelle expertise sur l'explosion de l'usine AZF de Toulouse, le 21 septembre 2001, estime que la catastrophe a "vraisemblablement" été le produit de deux explosions distinctes et non d'une seule, a-t-on appris auprès de l'avocat du groupe Total, Me Daniel Soulez-Larrivière.
Jusqu'ici, les rapports d'expertise consacrés à la catastrophe qui a fait 30 morts et des milliers de blessés, ont penché en faveur d'une seule explosion, d'origine chimique, favorisée par des négligences dans l'organisation de l'usine de Grande paroisse (groupe Total).
Le rapport dont fait état Total et l'association d'anciens salariés "Mémoire et Solidarité" a été remis au début décembre au juge d'instruction Thierry Perriquet par Alain Hodin, spécialiste en accidents industriels et explosions.
Mandaté par le juge il y a un an notamment pour étudier les témoignages, M. Hodin a pris en compte de nombreux témoignages faisant état de deux explosions, a indiqué Me Soulez-Larrivière. Selon lui, "il ne donne pas d'explication à la catastrophe, mais conclut qu'il y a vraisemblablement eu deux explosions dont la première n'a pas laissé de trace sismique".
"Nous étions très surpris que les experts officiels ne s'intéressent pas à ces témoignages", a expliqué un des responsables de l'association de salariés, Michel Bouchardy, interrogé au journal télévisé de France 3 Sud. "M. Hodin conclut que ces témoignages faisant état de deux explosions ont une cohérence globale qu'on ne peut éluder, et que c'est l'hypothèse la plus plausible" a précisé M. Bouchardy.
Le président de l'association, Jacques Mignard, s'est appuyé sur ce nouveau rapport pour déclarer sur France 3 Sud que "la thèse officielle est d'un tel ridicule qu'elle peut pas être retenue de façon crédible" dans le rapport d'enquête définitif attendu au début 2006.

NDLR : Et dire qu'à l'époque on faisait venir des "psychologues" chargés d'expliquer aux témoins qui affirmaient avoir entendu deux explosions que cela n'était pas vrai, qu'il s'agissait d'un traumatisme post-explosion !!! Depuis le départ l'AIPJ affirme qu'il s'agit d'un acte terroriste islamiste. Nous avions publié à l'époque le témoignage d'un membre des "services" français qui expliquait ce qui c'était passé. Les Israéliens le savent, les Américains le savent, les autorités françaises bien entendu le savent. Demandez également à la journaliste du Point, celle qui a révélé le scandale du sang contaminé, comment on a tout fait (menaces, vol de son ordinateur portable, cambriolage, pressions sur ses témoins et les administrations toulousaines etc...) pour empêcher son enquête. Dégoûtée elle a du jeter l'éponge. Et faite un sondage à Toulouse et vous verrez que la très grande majorité des Toulousains ne croient pas à la version officielle. Mais malgré cela la version médiatique est qu'il s'agit toujours d'un accident à 99 % ! La France est une belle et grande démocratie n'est-ce pas ?


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