Conseil National de l'UMP le 16 novembre 2006

Découvrez les candidats et candidates désignés par l'UMP pour les législatives de 2007:

La liste des candidats UMP pour les Législatives

Citation :

Législatives 2007 : un projet, une équipe

C’est sous le signe de la préparation des élections législatives de 2007 que Nicolas Sarkozy a réuni jeudi 16 novembre les 2400 Conseillers nationaux de notre mouvement. Au cours de cette journée de travail, le Parlement de l’UMP a débattu et amendé le texte de synthèse de la Commission Projet présidée par François Fillon à l’occasion d’ateliers consacrés à la mondialisation, les questions de société, l’économie, les institutions. Les membres du Conseil national ont ensuite donné mandat par 92,1% des voix à la commission projet pour rédiger le projet législatif qui sera soumis au vote des adhérents du 20 au 26 novembre. Les membres du Conseil national ont également approuvé par 80,3% des voix les investitures des candidats qui porteront et défendront le projet de l’UMP en 2007.

Les candidats investis

Le site des élections législatives ( http://www.ump-legislatives2007.fr/ )

Nous misons sur la force des idées pour convaincre les Français
« Pour s’attaquer aux inégalités, il faut que nous soyons libéraux et sociaux. Nombre de réponses sont dans le projet » a déclaré Pierre Méhaignerie en ouverture du Conseil national. Le secrétaire général de l’UMP a notamment insisté sur « les deux mots clés » du projet : « rupture » et « populaire ». La « rupture » qu’appelle l’UMP « n’est pas une cassure avec notre héritage national, elle n'est pas une fracture avec nos idéaux sociaux, elle est une volonté de faire autre chose et autrement pour servir la France de toujours » a pour sa part affirmé François Fillon, en charge de l’élaboration du projet. « La philosophie de notre projet, c'est celle du choix ! (…) Notre projet part d'un diagnostic qui nous interdit la démagogie et les facilités dont l'opposition est si friande. (..)Contrairement à l'opposition, nous n'avons pas bâclé notre programme pour la simple et très bonne raison que nous voulons l'appliquer » a-t-il assuré. « La gauche veut un débat de forme pour éviter de mettre son socialisme en porte-à-faux avec les réalités. Nous l'obligerons à un débat de fond, projet contre projet car nous misons sur la force des idées pour convaincre les Français » a-t-il prévenu.

Le discours de François Fillon

Un appel à l’union

Parmi les orateurs qui se sont succédés à la tribune, l’ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin, qui a rappelé le devoir de victoire de notre famille politique. « Le retour de la gauche serait le recul de la France » en allusion à l’archaïsme du projet socialiste avec ses « nationalisations, régularisations, généralisations, abrogations … ». Contre le piège de la division, « il nous faut assumer notre devoir d'union ». « Soyons rassemblés ». Evitons « les petites phrases, les désaccords maximum (…) n’allons pas chercher la défaite pour la carte scolaire ou la bataille sur un mot ou sur un autre. (…) ». L’unité comme condition de la victoire, un impératif réaffirmé avec force par plusieurs personnalités de l’UMP et membres du gouvernement dont Xavier Bertrand, ministre de la Santé : « les choses sont claires. Si nous sommes unis, nous pouvons gagner. Si nous sommes divisés, nous sommes sûrs de perdre ».

Pour gagner, nous avons besoin de tout le monde
Pour gagner, nous aurons besoin de tout le monde a affirmé Nicolas Sarkozy présent tout au long des débats. Le combat, il se joue » à l’extérieur de notre famille politique» « contre nos adversaires». « Il peut y avoir une concurrence, mais cette concurrence ne dégénéra jamais en combat pour la raison simple : on aura besoin de tout le monde, parce que comme Michèle Alliot-Marie, moi je veux gagner » a-t-il lancé.

Le débat, c’est notre chance à tous
Le Premier ministre Dominique de Villepin a loué « l'énergie », la « créativité » et « l'enthousiasme » du président de l’UMP. « Plus que jamais, nous avons besoin de sérénité, de confiance et de rassemblement » a-t-il affirmé. Face au « vide sidéral des propositions socialistes », il est « impératif de poursuivre, de développer le débat, d'aller toujours plus loin dans nos propositions » estimant que « la force de notre mouvement (...) c'est la diversité des sensibilités ». « Nos différences sont un atout dans les grandes batailles électorales de demain. Le débat n'est pas un risque, c'est notre chance à tous ». Et de conclure : « vous pouvez compter sur mon engagement résolu et celui de tout le gouvernement ».

LE SITE DE LA CAMPAGNE LEGISLATIVE : http://www.ump-legislatives2007.fr/

http://blog-ump.typepad.fr/