chez nous à l'UMP

Je ne veux pas te forcer. mais le PS joue encore à l'immobilisme pour le CPE/CNE.

Charles Pasqua pense comme moi !


jeudi 2 février 2006, 18h21
Pasqua demande à Dupont-Aignan et Mme Boutin de ne pas se présenter


PARIS (AFP) - Charles Pasqua souhaite que les deux francs-tireurs de l'UMP Nicolas Dupont-Aignan et Christine Boutin ne se présentent pas à l'élection présidentielle de 2007, pour éviter le risque d'une élimination de la droite au second tour.

"J'ai écrit à Nicolas Dupont-Aignan pour lui dire (...) qu'il était contraire à l'intérêt national qu'il se présente à l'élection présidentielle", a déclaré M. Pasqua dans l'émission Question d'info LCP-Assemblée/France Info.

"C'est pareil pour Mme Boutin", a ajouté le président du Rassemblement pour la France.

"On peut dire ce que l'on veut, mais le vivier (de voix) n'est pas extensible à perte de vue", a-t-il dit. "Il y a Le Pen, il y a Bayrou, il y a Villiers, ça suffit, si nous avons deux candidats, nous risquons de ne pas être au second tour", a-t-il ajouté.

"Il faut pour la majorité actuelle un seul candidat. Si l'on se réclame des idées du général de Gaulle, notre devoir sera de tout faire pour qu'il y ait un seul candidat, et de le soutenir", a-t-il conclu sur ce point.

M. Pasqua a raconté qu'en 2002, il avait renoncé in extremis à sa propre candidature, pour ne pas nuire à celle de Jacques Chirac.

"Dans les quinze derniers jours, je n'ai fait aucun effort particulier" pour obtenir les 60-70 parrainages manquants pour pouvoir se présenter, a affirmé M. Pasqua.

"J'ai considéré qu'effectivement, si j'étais candidat, j'enlevais un certain nombre de points à Jacques Chirac et qu'il risquait de ne pas être présent au second tour", a-t-il dit.

nicolasledur a écrit:

Charles Pasqua pense comme moi !

Quand à moi, je ne préfère pas penser de la même manière que CET homme ...

Les deux premiers hommes de l'Etat voient leur cote de popularité baisser.


La popularité de Jacques Chirac et Dominique de Villepin baisse

PARIS (Reuters) - Les cotes de popularité de Jacques Chirac et Dominique de Villepin sont en baisse respectivement de sept et six points dans le baromètre mensuel Ifop pour Paris Match rendu public mardi, jour de mobilisation contre le "contrat première embauche".

Au total, 37% des personnes interrogées approuvent l'action du président de la République alors qu'ils étaient 44% en janvier. La proportion de Français mécontents enregistre un bond de sept points en un mois, passant de 56 à 63%.

Le chef de l'Etat, "après avoir bénéficié de la période des voeux, propice aux prises de parole et aux annonces, est emporté ce mois-ci dans le sillage d'un Premier ministre en difficulté dans l'opinion", estime l'institut Ifop.

La cote de Dominique de Villepin chute de six points, à 52% d'opinions positives. En janvier, avec 58% d'opinions positives, le Premier ministre avait atteint son niveau record depuis son arrivée à Matignon.

De plus, 47% des sondés disent désapprouver l'action du chef du gouvernement, contre 42% le mois dernier.

Interrogés plus précisément sur "l'image" associée au Premier ministre, une minorité des Français juge désormais qu'il mène une bonne politique économique et sociale: ils étaient 52% en janvier et ne sont plus que 47% un mois plus tard.

Dans le classement des personnalités, Dominique de Villepin repasse de la deuxième à la quatrième place, derrière trois dirigeants socialistes, Bernard Kouchner, Ségolène Royal et Jack Lang.

Ce sondage a été réalisé les 2 et 3 février auprès d'un échantillon de 1.004 personnes.

Décès de l'ancien ministre gaulliste Jacques Baumel
2006-02-17 13:21:19
PARIS (AFP)


Compagnon de la Libération, l'ancien ministre gaulliste Jacques Baumel, décédé dans la nuit de jeudi à vendredi à 87 ans, a été le dernier élu issu de la Résistance siégeant à l'Assemblée nationale qu'il a quittée en 2002.

Maire (RPR) de Rueil-Malmaison durant 34 ans, il avait choisi symboliquement la date du 18 juin 2004 pour abandonner son dernier mandat électoral.

Ancien sénateur (1959-1967), puis député (1967-1969 et 1973-2002) des Hauts-de-Seine, ancien président du conseil général des Hauts-de-Seine (1970-1973, puis 1978-1982), il a été secrétaire d'Etat chargé des relations publiques auprès de Jacques Chaban-Delmas à Matignon (1969-1972).

Né le 6 mars 1918 à Marseille, Jacques Baumel, ancien interne des hôpitaux de Paris, est mobilisé en 1939 comme médecin-auxiliaire. Il entre dans la Résistance en 1940 au sein du mouvement "Combat" et devient en 1944 membre du directoire national du Mouvement de Libération nationale (MLN). A la libération, il est membre des deux assemblées constituantes (1945-46).

Après la guerre, tout en menant une activité de publiciste, il poursuit sa carrière politique au sein des partis gaullistes successifs.

Jacques Baumel participe en 195O au lancement du RPF, dont il est délégué pour la région parisienne, puis secrétaire général adjoint aux côtés de Jacques Soustelle. En 1958, il est l'un des fondateurs de l'UNR, dont il sera le secrétaire général (1962-67). Il est ensuite membre du bureau politique de l'UDR, puis du conseil politique du RPR.

Entre temps, il est appelé en 1969 auprès du Premier ministre Jacques Chaban-Delmas en tant que secrétaire d'état chargé des relations publiques.

Devenu sénateur de la Seine en 1959, Jacques Baumel est ensuite élu député des Hauts-de-Seine et conseiller général à partir de 1967.

Constamment réélu à l'Assemblée nationale, il est, lors des législatives de 1997, l'un des rares vieux compagnons du général De Gaulle à sauver son siège de député. Il renonce à se présenter aux législatives de 2002.

Auteur de "Une certaine idée de la France" (1986), et de "De Gaulle, l'exil intérieur" (2001), Jacques Baumel avait publié ses mémoires "Résister : histoire secrète des années d'Occupation" (1999), et "La liberté guidait leurs pas" (2004), qui évoque avec émotion ses compagnons d'armes.

Il était officier de la Légion d'honneur, Croix de guerre 1939-1945 et médaillé de la Résistance.

Offensive marketing de l'UMP sur internet
2006-02-16 18:09:39
PARIS (AFP)


L'UMP développe sa politique de marketing sur internet, qui fait apparaître l'adresse du site du parti de Nicolas Sarkozy quand on recherche des sites liés à l'actualité ou consacrés à d'autres présidentiables, tels François Hollande (PS) ou François Bayrou (UDF).

Quand on tape sur Google les mots Lionel Jospin, Laurent Fabius, François Hollande, Ségolène Royal, Dominique Strauss-Kahn, PS, UDF, Jacques Chirac ou Dominique de Villepin, le site de l'UMP apparaît dans les liens commerciaux, en haut à droite de l'écran.

"L'UMP vous invite à participer à l'élaboration du projet de 2007", peut lire l'internaute.

"L'UMP choisit des mots clés, et ensuite paie Google en fonction du nombre de clics effectués sur son site", a expliqué à l'AFP Arnaud Dassier, conseil en "marketing interactif" pour le parti majoritaire. "C'est une campagne permanente, en développement progressif".

L'UMP avait aussi sélectionné le mot-clé Jack Lang (PS), mais a arrêté lorsque ce dernier a protesté, a précisé M. Dassier.

"L'UMP profite du vide relatif de la législation en matière d'usage politique du net", a dénoncé le PS dans sa newsletter, en appelant à une campagne de "clics hostiles contre l'UMP", afin de renchérir le coût de l'opération.

Selon M. Dassier, cet appel est contre-productif, car l'augmentation du nombre de clics permet à l'UMP d'obtenir un rabais de la part de Google.

L'UMP avait expérimenté cette technique au moment de la crise des banlieues, fin 2005. Des mots clés tels que banlieues ou violences urbaines permettaient d'accéder à la pétition de soutien à la politique de fermeté de Nicolas Sarkozy.

Actuellement, l'adresse du site UMP apparaît aussi lorsque l'internaute recherche des informations sur le Contrat Première Embauche (un lien lui donne accès à la pétition de soutien au CPE), les caricatures de Mahomet, la directive Bolkestein ou des thèmes comme impôts ou justice.

Grâce à cette campagne, "le nombre de connexions au site UMP est passé de 1.000 par jour en décembre à plus de 3.000, avec des pointes à 5.000", affirme M. Dassier. Selon lui, le système "rapporte davantage à l'UMP qu'il ne lui coûte", car avec les connexions, "le nombre des adhésions à l'UMP augmente aussi".

Cette façon de procéder, je dirais à "l'Américaine", risque de lui faire du tort, La politique ce n'est pas une tête de Gondole dans un super Market, où on bonimente son programme, pour le vendre comme un vulgaire produit de consommation.

les électeurs ne consomment pas un programme, ils le lisent, il s l'analysent, et parfois ils le rejettent

Mais rien d'étonnant venant de la part de Sarko, il a la tête de l'animateur de Grandes Surfaces, qui veut embobiner le gentil consommateur avec ses bobards promotionnel.

Et en cadeau, Mesdames, Messieurs : un miroir "au alouettes" ?

Thierry

Johanna a écrit:

Laisse moi rire, la politique de Sarko et de l'UMPS, c'est plutôt faire de l'avenir un nouveau cauchemard !

Thierry

je ne crois pas au contraire!!! Le Pen ne prévoit pas mieux et je me demande qu'est ce qui ferait s'il serait élu !!

Le Bureau Politique de l’UMP réuni ce mardi 21 février 2006 sous la présidence de Nicolas SARKOZY a examiné les points suivants :

A la suite de la réforme des statuts et du règlement intérieur adoptée par le congrès des adhérents en janvier, le Bureau Politique a validé le guide des opérations électorales, qui régit l’organisation et le bon déroulement des élections internes visant, du 27 mars au 15 avril à renouveler l’intégralité des représentants de notre Mouvement dans l’ensemble des circonscriptions.

Ce guide met notamment en œuvre le principe de représentation systématique au sein des instances locales des nouveaux adhérents qui représentent plus de 40% des votants. Dans tous les départements, ce sont 577 délégués de circonscription, 25 000 membres des comités départementaux et une centaine de Président des Comités départementaux qu’il s’agira d’élire au printemps prochain.

Les élections internes répondront ainsi aux caractéristiques suivantes : la démocratie car l’ensemble des responsables procédera de l’élection et le renouvellement puisqu’une place particulière sera réservée à ceux qui ont rejoint l’UMP au cours de l’année écoulée.

Le Bureau Politique a par ailleurs validé le budget de l’UMP pour l’année 2006 avant sa transmission aux membres du Conseil National.

Enfin, sur proposition du Président de l’UMP, le Bureau Politique a procédé aux nominations suivantes :

• Jean-François COPE Secrétaire Départemental de la fédération de Seine et Marne
• Christelle HAYET Chargée de mission pour la fédération du Maine et Loire
• David LE SOLLILEC Chargé de mission pour la fédération du Morbihan
• Ali SOUF, Chargé de Mission Départemental Adjoint pour Mayotte.
• Bruno MAGRAS, Chargé de Mission Territorial à Saint-Barthélemy
• Jean-Luc GARNIER Secrétaire Général de la Fédération des métiers de la Sécurité Intérieure.

Johanna a écrit:

je ne crois pas au contraire!!! Le Pen ne prévoit pas mieux et je me demande qu'est ce qui ferait s'il serait élu !!

Il fera ce que la coalition RPR/UMP/PS à été totalement incapable de faire en 30 ans de pouvoir !

VEGA

Citation :

Il fera ce que la coalition RPR/UMP/PS à été totalement incapable de faire en 30 ans de pouvoir !

Une telle coalition n'a jamais existé.

nicolasledur a écrit:

Citation :

Il fera ce que la coalition RPR/UMP/PS à été totalement incapable de faire en 30 ans de pouvoir !

Une telle coalition n'a jamais existé.

En est-tu bien sur ?

VEGA

Citation :

En est-tu bien sur ?

Oui , je ne fais pas de confusion entre cohabitation et coalition. La cohabitation a existé et n'existera vraisemblablement plus avec le quiquennat, tant mieux . C'est une mauvaise chose qu'un président désavoué par le peuple puissent entraver la volonté populaire. A ce titre, je regrette beaucoup qu'on n'ait pas viré Mitterand en 1986!

nicolasledur a écrit:

Citation :

En est-tu bien sur ?

Oui , je ne fais pas de confusion entre cohabitation et coalition. La cohabitation a existé et n'existera vraisemblablement plus avec le quiquennat, tant mieux . C'est une mauvaise chose qu'un président désavoué par le peuple puissent entraver la volonté populaire. A ce titre, je regrette beaucoup qu'on n'ait pas viré Mitterand en 1986!

Pour moi, dans le cadre de l'UMPS, coalition et cohabitation, c'est "blanc bonnet et bonnet blanc" trente ans d'imposture qui ont fait tomber la France de Charybde en Scylla.

Mais évidemment, je concois que tu ne puisse l'admettre, vu que tu te trouve dans le camp des imposteurs !

Thierry

Le dilemme de Panafieu Françoise de Panafieu doit-elle prendre la tête du groupe UMP au Conseil de Paris en lieu et place de Claude Goasguen, son challenger malheureux qu'elle a écrasé lors des primaires ?

je demande l'avis de chacun.

Je pense que les deux fonctions n'ont rien à voir et qu'il est bon que Goasguen garde son siège de président de l'UMP de Paris.

De toute facon, ce qui est sur c'est qu'ils ne s'entendront jamais.

Nicolas Dupont-Aignan bien sûr, pas le constructeur de mosquée ou le pro-cpe!

bien à vous,

saco

Dupont-Aignn n'a rien à voir la dedans!!!!!

Moi pas comprendre ce que toi dire?????

Nous parlions des primaires.