| | Une journée à Argenteuil par Zugiang | |
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le capitaliste Administrateur Adjoint
Nombre de messages : 9105 Personnage politique préféré : Nicolas Sarkozy Date d'inscription : 01/07/2005
| Sujet: Une journée à Argenteuil par Zugiang Lun 29 Jan - 22:50:38 | |
| Zugiang, journaliste à Sarkozy.fr assistait à la rencontre du samedi 27 janvier avec les jeunes d’ Argenteuil. - Citation :
- « C’est vrai ? Vous voulez nous aider ? Et comment alors ? » Réunis au premier étage du café « La Rotonde », la vingtaine de jeunes issus des quartiers populaires d’Argenteuil est perplexe. Au tour de la table, à côté d’eux, en face d’eux, un petit groupe de patrons de PME, PMI, issus du même milieu social sont venus pour leur « donner un coup de pouce et les aider à s’en sortir ».
Ce sont des envoyés spéciaux du candidat Nicolas Sarkozy. Olivier Farouz, administrateur d’une société de courtage en produits d’assurance, Philippe Saimpert, gérant d’un cabinet de recrutement, et Philippe Boukobza, patron du magazine « Informations Entreprise », tous habillés décontractés mais avec des pulls griffés, des belles montres et des voitures de luxe, sont là pour écouter les ambitions et les projets des jeunes. L’objectif est bien fixé : il faut donner aux jeunes l’envie de travailler. Pour s’en sortir, ceux qui veulent travailler et en ont le courage ont besoin de conseils pragmatiques, de tuyaux concrets. La valeur de l’exemple… La veille, pendant une réunion de préparation au QG de Nicolas Sarkozy avec Marie-Laure Harel, Nicolas Princen, Olivier Farouz et Tarik Mouadane, les jeunes patrons organisateurs de cette rencontre disaient s’attendre à trouver des jeunes un peu paumés. A leur grande surprise, les participants sont venus avec des projets, des CV, certains s’étant même habillés en costume cravate. Yahia, 25 ans, cherche un travail. A terme, il veut mettre 12 000 euros de côté pour financer une affaire dans le textile. Il voudrait devenir patron. Yarid, 25 ans, galère avec des petits boulots d’intérim mais rêve d’un CDI pour avoir une situation stable, pour pouvoir se marier et avoir des enfants. Il y a un an, ce sont les jeunes du même quartier qui avaient réservé un accueil plutôt « chaud » à Nicolas Sarkozy. Ils ne croyaient pas que la politique pouvait changer quelque chose pour eux. Face aux jeunes patrons qui ont vécu la même galère et qui s’en sont très bien sortis, ils réfléchissent davantage au principe de méritocratie du candidat de l’UMP. « C’est vrai, si on reste tous le temps dans l’assistanat et « accro au RMI », on ne pourra jamais devenir un patron.» C’est une nouvelle logique et une nouvelle méthode pour aider les jeunes en situation précaire que l’équipe de Nicolas Sarkozy est en train de mettre en place. Les élites issues des ZEP, certes pas encore nombreuses, sont à la fois modèles et instigateurs pour les jeunes issus du même milieu social. A ce titre, elles sont une force précieuse pour orienter leurs cadets vers une mobilité ascendante. Nos jeunes patrons, tous proches de Nicolas, promettent d’agir concrètement dès la semaine prochaine pour aider les jeunes à développer leurs potentialités. Sceptiques, les journalistes qui se trouvent sur place leur demandent si cette opération n’est pas purement « électorale ». Sans complexe, les jeunes patrons leur répondent que la politique mise en place par Nicolas Sarkozy agit avant la campagne, pendant et bien au-delà. Le pays et son système économique attendent impatiemment qu’une génération issue des milieux défavorisés se mobilise pour contribuer à la croissance économique, pour lancer de nouvelles « trente glorieuses » et redonner espoir à tous les jeunes. Comme quoi Nicolas Sarkozy ne broye pas du vent et agit concrêtement sur le terrain, n'en déplaise à la gauche ! Son action vis à vis des jeunes des cités est une réussite. C'est par le travail et le mérite que nous redonnerons un nouvel espoir à tous ces jeunes défavorisés et abandonnés par la République. La droite emmenée par Nicolas Sarkozy est la seule alternative à la gauche menteuse et démagogique ayant laissé de côté depuis 30 ans les jeunes qui veulent s'en sortir.
Dernière édition par le Lun 19 Fév - 20:18:02, édité 2 fois | |
| | | vladana Délégué national
Nombre de messages : 4050 Date d'inscription : 23/11/2006
| Sujet: Re: Une journée à Argenteuil par Zugiang Mar 30 Jan - 16:35:35 | |
| Il y a des journalistes Sarkozy.fr?????????????? L'aide de Sarko à l'assoc BBR, c'est l'ouveture de son carnet d'adresse, et des embauches au conseil général des HSeines.......;;;; Vu sur canal dimanche. C'est du clientelisme, je dirais. | |
| | | le capitaliste Administrateur Adjoint
Nombre de messages : 9105 Personnage politique préféré : Nicolas Sarkozy Date d'inscription : 01/07/2005
| Sujet: Re: Une journée à Argenteuil par Zugiang Mar 30 Jan - 20:11:52 | |
| Et quand la gauche fait cela, c'est surement honnête et désinterressé ? Sarkozy agit concrêtement sur le terrain et balaye l'idée qui fait de lui un homme qui brasse des mots et n'agit pas. Lui agit, avance et réhabilite le goût du travail chez les jeunes issus des quartiers défavorisés ! | |
| | | aline 1er avertissement
Nombre de messages : 10337 Age : 55 Localisation : Var Personnage politique préféré : NICOLAS SARKOZY Date d'inscription : 27/10/2006
| Sujet: Re: Une journée à Argenteuil par Zugiang Mar 30 Jan - 20:22:41 | |
| je trouve cette initiative super ! ca fait plus de 18 mois que sarko bosse avec ces jeunes pour les guider ,leur donner une chance de démontrer leur réelle valeur ! ca change de royal se pointant avec diam's ou une autre chanteuse tout droit sorti de la star ac'......qui ne font elles que de servir de carrottes pour un appel au vote ps...!!! autant leur offrir des billets de concerts. bref ,sarko a du mérite d'avoir entrepris cette belle initative! c'est tout en son honneur ! | |
| | | le capitaliste Administrateur Adjoint
Nombre de messages : 9105 Personnage politique préféré : Nicolas Sarkozy Date d'inscription : 01/07/2005
| Sujet: Re: Une journée à Argenteuil par Zugiang Mar 30 Jan - 20:37:11 | |
| - le capitaliste a écrit:
- Zugiang, journaliste à Sarkozy.fr assistait à la rencontre du samedi 27 janvier avec les jeunes d’ Argenteuil.
Comme quoi Nicolas Sarkozy ne broye pas du vent et agit concrêtement sur le terrain, n'en déplaise à la gauche ! Son action vis à vis des jeunes des cités est une réussite. C'est par le travail et le mérite que nous redonnerons un nouvel espoir à tous ces jeunes défavorisés et abandonnés par la République.
La droite emmenée par Nicolas Sarkozy est la seule alternative à la gauche menteuse et démagogique ayant laissé de côté depuis 30 ans les jeunes qui veulent s'en sortir. La preuve en vidéo : http://www.sarkozy.fr/video/ | |
| | | le capitaliste Administrateur Adjoint
Nombre de messages : 9105 Personnage politique préféré : Nicolas Sarkozy Date d'inscription : 01/07/2005
| Sujet: Re: Une journée à Argenteuil par Zugiang Jeu 1 Fév - 22:02:09 | |
| Argenteuil, la suite... Après les rencontres, les entretiens. http://www.sarkozy.fr/video/index.php?intVideoId=264&intChannelId=20 | |
| | | le capitaliste Administrateur Adjoint
Nombre de messages : 9105 Personnage politique préféré : Nicolas Sarkozy Date d'inscription : 01/07/2005
| Sujet: Re: Une journée à Argenteuil par Zugiang Lun 12 Fév - 21:58:46 | |
| Nicolas Sarkozy cherche la bonne formule pour son retour sur la "dalle" d'Argenteuil - Citation :
- Pierrette Chevalier a de la chance. Le 25 octobre 2005, elle a pu converser avec Nicolas Sarkozy, de son balcon avec vue imprenable sur le commissariat, au quatrième étage d'une petite tour d'Argenteuil (Val-d'Oise). Son mari, Yvon, la tenait par la manche en lui murmurant à l'oreille : "Arrête, ne lui parle pas, on va avoir des représailles." Mais Pierrette, 72 ans, est du genre bavard. "Bonjour, monsieur Sarkozy", a-t-elle osé, à l'adresse du ministre de l'intérieur, qui venait d'essuyer une bordée de "Sarko, on t'encule !", scandés par quelques dizaines de jeunes. Elle l'aime bien, Nicolas Sarkozy : "C'est du vif argent, ce gars-là, il faut l'aider !"
La réponse, c'est tout juste si elle l'a entendue. "Il s'est tourné vers moi et m'a dit : "n'ayez pas peur, on va vous débarrasser". C'est tout." Mais "débarrasser" de quoi ? Grâce aux images tournées par France 3, ce soir-là, on entend bien la réponse de M. Sarkozy : "Vous avez assez de cette bande de racailles... on va vous en débarrasser." Derrière son pas de porte, seize mois plus tard, Pierrette Chevalier peste. "Oubliez le terme racaille, ce n'est pas important. D'ailleurs, je ne l'ai pas dit. Il ne faut pas confondre jeunesse et racaille." Au lendemain de cette soirée mouvementée, mi-goguenard, mi-ennuyé, M. Sarkozy lâchait à un journaliste : "Puisque ma visite à Argenteuil a tellement plu, j'y retournerai."
"PAS LÀ POUR LÉCHER LES BOTTES DE SARKO"
Depuis, il n'a jamais remis les pieds sur la "dalle", cette vaste langue de béton qui traverse Argenteuil. On l'annonçait, samedi 10 février. Fausse alerte. "Il y reviendra, assure Rachida Dati, sa porte-parole. Rien ne s'oppose à ce que Nicolas Sarkozy se rende en banlieue. Depuis 2002, on a organisé plus de 500 déplacements du ministre, tout s'est toujours bien passé." Le 25 octobre 2005 ? "Rien à voir, ce n'était pas un déplacement, rétorque Mme Dati, mais l'inspection d'un dispositif de sécurité."
Une certitude : il ne viendra plus "inspecter" le commissariat d'Argenteuil. Il se sait attendu. "Il est venu chez nous pour nous insulter, dit aujourd'hui Pascal (le prénom a été changé), "racailles", dans sa bouche, ça ne passe pas. Qu'il vienne un samedi soir, ici, et le ghetto va se réveiller." Avec ses cinq copains, il tue le temps au pied d'une cage d'escalier. Ce n'est pas tant la personnalité du ministre qui le dérange que sa méthode : cette visite à l'improviste, à grand renfort d'uniformes galonnés et de caméras. "Parce qu'on veut bien lui parler, lui poser des questions. Il est courageux, quand même, assure-t-il. Et puis "Kärcher" (expression employée par M. Sarkozy le 20 juin 2005 à La Courneuve), ça m'a pas gêné. C'est vrai que c'est sale, à La Courneuve, plus sale qu'ici..."
Dans un coin, discret, Tarek Mouadane se marre. A 26 ans, il est le porte-parole de BBR (Bleu-blanc-rouge), une association montée en avril 2006 pour faciliter l'accès à l'emploi. Tarek Mouadane a une gueule et de la tchatche. Nicolas Sarkozy avait pu s'en rendre compte, lors de sa visite, lorsqu'il avait été abordé par cet histrion décomplexé. Depuis, ils ne se quittent plus. "Je ne suis pas là pour lécher les bottes de Sarko, dit le jeune homme, on n'est pas des marionnettes. Je ne travaille pas pour lui, mais avec lui. Si la gauche nous écoutait, on bosserait avec elle, pas de problèmes. Mais avec Sarko, c'est du gagnant-gagnant."
"JEUNES DE BANLIEUE SUR-MESURE"
Ses copains des cités le surnomment "Tarko", ça ne le dérange pas : "Je voudrais que Nicolas Sarkozy soit bien reçu à Argenteuil, que les jeunes du coin ne soient pas vus comme des animaux." Ça se déroulera dans un gymnase, une grande salle, avec des thèmes de discussion précis. "Pour l'instant, on n'est pas encore prêt", explique le leader de BBR.
En face, on se fâche. Faouzi Lamdaoui, le candidat socialiste pour les législatives, n'a de cesse de critiquer BBR : "Avec eux, Sarkozy s'est inventé des jeunes de banlieue sur-mesure. Il s'agit de figurants payés, une machination politique montée par Rachida Dati. Ils veulent faire un safari photo en banlieue." L'association a effectivement reçu, dans son berceau, une obole de 20 000 euros, ponctionnée sur les crédits de la politique de la ville. Deux de ses membres sont encartés à l'UMP, et son président travaille au conseil général des Hauts-de-Seine, dirigé par M. Sarkozy. "Comment voulez-vous qu'on les instrumentalise, répond Rachida Dati, sauf à dire qu'ils n'ont pas leur libre arbitre. Au niveau des crédits, tout est clair et transparent, il n'y a pas de financement direct."
A BBR, on s'insurge contre les accusations de M. Lamdaoui : "On bosse pour les jeunes d'ici, on a déjà obtenu des résultats pour une trentaine de personnes, avance Aziz Benhassni, la cheville ouvrière de BBR. On subit cette campagne électorale. Mme Dati, elle nous conseille, sans nous récupérer. Déjà qu'on galère pour se payer une cafetière malgré nos 20 000 euros..."
Pas d'affiche de Nicolas Sarkozy dans leur local, pas de réunions électorales. Simplement, le ministre leur a ouvert grand son carnet d'adresses, sans contrepartie, jurent-ils tous. Mais M. Sarkozy se trouve tout de même doté d'une tête de pont chez les jeunes d'Argenteuil. Du "gagnant-gagnant", pour revenir un jour dans la cité. | |
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