Nicolas Sarkozy sur France 2 : 19/03

C'est tout?

Ah oui, loin de moi l'idée de faire de la concurrence déloyale, mais je crois qu'en deuxième partie de soirée, il y a Pulp Fiction sur une autre chaîne!!

Nicolas Sarkozy : "une maladie française que de vouloir changer la Constitution"

Citation :

Nicolas Sarkozy a affirmé lundi soir au JT de France 2 que c’était « une maladie française que de vouloir changer la Constitution tous les cinq matins ».

« Quels sont les problèmes de la France? Le chômage, le pouvoir d'achat, une bonne école pour ses enfants, l'idée qu'on se fait de la France, l’intégration des Français. Est-ce que vraiment vous rencontrez une personne qui vous dise : je suis traumatisé par nos institutions ? » a ironisé le candidat.

Selon Nicolas Sarkozy, « nous avons de bonnes institutions, il y a quelques changements à faire ; cependant, ce qu'il faut changer, c'est le chômage, le plein emploi, le pouvoir d'achat, c'est l'immigration qu'il faut maîtriser. Ce n'est pas les problèmes de VIe, VIIe ou VIIIe République », a-t-il également affirmé.

Nicolas Sarkozy : moins de fonctionnaires mais «mieux payés, mieux formés»

Citation :

Nicolas Sarkozy était l’invité lundi soir sur France 2 de l'émission « Complément d’enquête » présentée par Benoît Duquesne.

Lors de cette émission, il a réitéré sa volonté de réduire le nombre de fonctionnaires, dont les salaires et les pensions représentent près de la moitié du budget de l’Etat, pour avoir des fonctionnaires « mieux payés, mieux formés ».

Nicolas Sarkozy a ajouté que « la moitié du budget de l'Etat, un peu moins, c'est les salaires et les pensions » des fonctionnaires. Selon lui, « si nous ne maîtrisons pas cette dépense, on ne peut réduire l'endettement de la France ».

A cet égard, il a réaffirmé son intention de « ne pas remplacer un départ sur deux » pour les 450 000 fonctionnaires qui vont partir à la retraite d'ici à 2012, et d'affecter la moitié des économies réalisées à l'augmentation des salaires des fonctionnaires, l'autre moitié allant à la réduction du déficit et à l'endettement de l'Etat.

« Dans la fonction publique, les salaires sont petits », a-t-il souligné en affirmant vouloir que les fonctionnaires soient « mieux payés, mieux formés, mieux considérés » a-t-il ajouté. « Je veux aussi plus de mobilité », a-t-il insisté.

S'agissant de la situation du pouvoir d'achat, Nicolas Sarkozy a souligné qu' « on ne peut pas avoir d'augmentation de salaire si on n'a pas la volonté de créer davantage de croissance ».

« Comment voulez-vous dire aux gens (…) : vous allez gagner plus et vous allez travailler moins. Moi je dit tout simplement la vérité aux Français », a-t-il conclu.