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 Nicolas Sarkozy rend coup pour coup à Jean-Marie Le Pen

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le capitaliste
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le capitaliste


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Personnage politique préféré : Nicolas Sarkozy
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MessageSujet: Nicolas Sarkozy rend coup pour coup à Jean-Marie Le Pen   jean - Nicolas Sarkozy rend coup pour coup à Jean-Marie Le Pen EmptyMer 11 Avr - 21:30:53

Le favori des sondages, en meeting mardi soir à Tours, a appelé les siens à ne pas anticiper la victoire.


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LE FIGARO a écrit:
IMPERTURBABLE. Après trois jours de repos dans le Vaucluse, Nicolas Sarkozy a repris le chemin de la campagne en famille. Pour la première fois, son frère cadet, François, l'accompagne. Au pied du château de Langeais où l'attend une petite foule de supporters, le candidat UMP se plie avec joie à l'inévitable séance photos. « C'est sympa cet accueil », souffle-t-il. Rassuré par les derniers sondages, Sarkozy affiche une grande sérénité à dix jours du premier tour.

Les polémiques et les attaques qui l'ont visé tout au long du week-end pascal, le laissent indifférent. « Quand je parle de la France, on m'accuse d'être nationaliste. Quand je parle de l'immigration, on me traite de raciste. Quand je parle des gens qui ont une souffrance en eux, on me fait un procès en eugénisme », répond-il à ses détracteurs.

Avant de rejoindre la Touraine, il s'est d'ailleurs tranquillement projeté dans la préparation du second tour. Un second tour où il prévoit toujours d'affronter Ségolène Royal. « Au dernier moment, elle va récupérer deux ou trois points grâce à l'effet 21 avril 2002 », a-t-il expliqué à son équipe de campagne.

Au Parc des expositions de Tours, 10 000 personnes (selon l'UMP) et pas moins de trois ministres (Thierry Breton, Gilles de Robien et Renaud Donnedieu de Vabres) l'attendent. Le ministre de la Culture se charge de faire siffler le nom de Bayrou. « Nicolas, tu es le seul à vouloir, donc à pouvoir (...) répondre aux violences, aux fractures, aux injustices », lance le conseiller municipal de Tours. À la tribune, Sarkozy reprend le fil de sa campagne. Son discours, aux accents très volontaristes, est habile. Ne faisant aucune concession, il se permet même de retourner les attaques dirigées contre lui.


Critique des médias et des sondages

D'emblée, il freine pourtant l'ardeur des militants et douche l'euphorie des élus et conseillers. « Je veux vous dire que la campagne n'est pas finie. Que rien n'est joué, que rien n'est décidé. Que ce ne sont pas les sondages, que ce ne sont pas les médias qui choisiront les deux candidats du second tour », avertit-il, critiquant au passage médias et sondages. À la manière de Bayrou, qui en a fait l'argument central de sa campagne antisystème. Il met en garde aussi ses rivaux qui « croient, dit-il, que tout est permis, que tous les moyens sont bons ». Et promet d'être « digne pour deux, ou pour trois, ou pour quatre s'il le faut ».

À Tours, il a surtout fait un sort particulier à Jean-Marie Le Pen qui l'a traité de « candidat qui vient de l'immigration » et l'a accusé, lors d'un déplacement à Argenteuil la semaine dernière, de ne pas oser se rendre en banlieue. À la veille d'un déplacement à Villepinte, en Seine-Saint-Denis, où il doit intervenir lors d'une cérémonie d'acquisition de la nationalité française, Sarkozy saisit la balle au bond et renvoie le leader d'extrême droite dans les cordes : « Oui je suis un enfant d'immigré. Oui je suis le fils d'un Hongrois et le petit-fils d'un Grec né à Salonique qui s'est battu pour la France. M. Le Pen, je suis ravi de vous rappeler des valeurs françaises qui vous avez si souvent oubliées. » Après les réponses à ses concur­rents, il ouvre une séquence quasi-intimiste. Détaillant les sacrifices représentés, pour lui, par la fonction de chef de l'État, il com­pare l'exercice du pouvoir à une « ascèse ». Et conclut, dans une étonnante formule : « Être président de la République, c'est l'oubli de soi et, sans doute, la mise entre parenthèses de son bonheur personnel, de ses sentiments, de ses intérêts. C'est ne plus avoir en tête que le bonheur des Français. »
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