Tous avec Sarkozy en 2007!
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Soutien à Nicolas Sarkozy pour 2007
 
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 Biographie de Nicolas Sarkozy

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Serge
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Serge


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MessageSujet: Biographie de Nicolas Sarkozy   Biographie de Nicolas Sarkozy EmptyDim 9 Avr - 15:57:44

Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Sarkozy

Citation:
Nicolas, Paul, Stéphane Sárközy de Nagy-Bocsa, dit Nicolas Sarkozy, né le 28 janvier 1955 dans le XVIIe arrondissement de Paris, est un homme politique français. Il est président de l'UMP, ministre d'État, chargé de l’Intérieur et de l’Aménagement du territoire et Président du conseil général des Hauts-de-Seine. Il est conseiller municipal de Neuilly-sur-Seine, dont il a été le maire de 1983 à 2002.

Biographie

Origine et enfance

Il est le fils d'un Hongrois, Pál Nagy-Bocsa y Sárközy né à Budapest, en 1928, dans une famille de l'aristocratie hongroise, possédant des terres et un château à Alattyán, à 100 km de la capitale. Bien que son grand-père ait été un juif séfarade, Nicolas Sarkozy est un catholique baptisé.
À l'arrivée de l'Armée rouge en 1944, la famille est contrainte à l'exil. Après de nombreuses péripéties à travers l'Autriche et l'Allemagne, Paul Sarkozy rencontre un recruteur de la Légion Étrangère à Baden-Baden. Il signe pour cinq ans et fait ses classes en Algérie à Sidi-Bel-Abbès. Il est cependant déclaré inapte au départ en Indochine, puis démobilisé à Marseille en 1948. Son nom est alors francisé en « Paul Sarkozy de Nagy-Bocsa ». Devenu publicitaire, il rencontre Andrée Mallah en 1949 qu'il épouse. Cette dernière, fille d'un médecin du XVIIe arrondissement de Paris, est alors étudiante en droit.
Nicolas Sarkozy naît en 1955. Il a deux frères : Guillaume, né en 1952, futur patron dans le textile (un temps vice-président du MEDEF) et François, né en 1957, qui devient pédiatre puis chercheur en biologie.
Lorsque Paul Sarkozy quitte le domicile conjugal en 1959, sa femme reprend ses études pour élever ses enfants. Elle devient avocate au barreau de Nanterre ; elle plaide dans l'affaire Villarceaux. Paul Sarkozy convole encore trois fois en noces. Du second de ses mariages, il a deux autres enfants : Caroline et Olivier.
Nicolas Sarkozy passe son enfance dans le XVIIe arrondissement de Paris puis à Neuilly-sur-Seine. Il est élève au lycée privé Saint-Louis de Monceau. Assez mauvais élève, il redouble sa sixième au lycée public Chaptal. Ce passage du privé au public ne dure qu'une année scolaire. Il obtient le baccalauréat B en 1973, et la famille s'installe à Neuilly.
Formation politique
Il adhère à l'Union des démocrates pour la République (UDR) en 1974 et milite pour l'élection de Jacques Chaban-Delmas, puis est délégué départemental des jeunes de Hauts-de-Seine en 1975. En 1976, il adhère au Rassemblement pour la République (RPR) nouvellement créé, sous le parrainage de Charles Pasqua à propos duquel il déclare en 1983 « tout le monde sait que je suis son double ». Il devient responsable de la section de Neuilly en 1976, secrétaire de la circonscription Neuilly-Puteaux en 1977, élu conseiller municipal de Neuilly en 1977, 37e de liste sur 37.
Après des études à l'université Paris X (« un élève sérieux » d'après Maître El Assaad, professeur de Droit des affaires), il sort diplômé en droit public et en sciences politiques : il obtient une maîtrise de droit privé en 1978. En 1978, il est appelé sous les drapeaux, avant d'entrer à l'Institut d'études politiques de Paris, sans toutefois parvenir à en être diplômé. Il soutient en 1981 un mémoire de DEA sur le référendum du 21 avril 1969.
Il est président du comité de soutien des jeunes à la candidature de Jacques Chirac en 1980. En 1981, après avoir longtemps hésité à devenir journaliste, il se résout au dernier moment à passer le certificat d'aptitude à la profession d'avocat (CAPA), suivant ainsi les traces de sa mère. Dans la foulée, il est embauché par l'avocat Guy Danet.
Le 23 septembre 1982, il épouse Marie-Dominique Culioli, fille d'un pharmacien corse de Vico (village d'un millier d'habitants au nord d'Ajaccio) dont il a deux fils, Pierre (né en 1985) et Jean (né en 1987). Son témoin de mariage est Charles Pasqua.
En 1983, il devient maire de Neuilly-sur-Seine à 28 ans, succédant à Achille Peretti, décédé, mais aussi en prenant de court le prétendant en titre, Charles Pasqua, alors hospitalisé pour une opération de hernie. Il est chargé de mission en 1987 pour la lutte contre les risques chimiques et radiologiques au sein du ministère de l'Intérieur. De fait, il est le conseiller en communication du gouvernement à l'époque de l'accident de la centrale nucléaire de Tchernobyl.
Il devient député à 34 ans et ministre du Budget à 38.
En 1984, il rencontre Cécilia Ciganer-Albeniz lorsqu'en qualité de maire de Neuilly, il la marie à l'animateur de télévision Jacques Martin, qu'elle quitte pour lui en 1989. Après un divorce assez difficile, ils se marient en octobre 1996. Il a pour témoins Martin Bouygues et Bernard Arnault. Ils ont un fils, Louis, né en 1997.
En 1993, lors de l'affaire de la maternelle de Neuilly, il négocie directement avec le preneur d'otage (HB - Human Bomb), qui, alors que Charles Pasqua est ministre de l'Intérieur, réclame de négocier avec le pouvoir. On le voit à la télévision sortir de l'école en portant un enfant.

Le soutien à Édouard Balladur

Lors du raz-de-marée de la droite, en 1993, il est élu député de Neuilly puis nommé ministre du Budget dans le gouvernement d'Édouard Balladur. Il y fait son apprentissage des rouages gouvernementaux. Son image médiatique commence à se façonner et il fait figure d'un des plus dynamiques ministres de l'équipe gouvernementale.
En 1995, il soutient Édouard Balladur pour la campagne présidentielle mais c'est finalement Jacques Chirac qui est élu. Cet échec lui vaut la perte de confiance de la part du parti ainsi que de l'entourage du nouveau président ; il n'obtient aucun poste ministériel dans le nouveau Gouvernement d'Alain Juppé. Au cours d'un bref passage à une réunion nationale du RPR, le 15 octobre 1995, il est sifflé.
Sa gestion budgétaire lui est reprochée, notamment à travers le discours de politique générale d'Alain Juppé, qui stigmatise l'héritage du gouvernement Balladur. Le budget 1995 est particulièrement remis en cause en raison de plusieurs mesures qualifiées d'électoralistes par de nombreux analystes et journalistes. Plus généralement, on reproche à Nicolas Sarkozy et Édouard Balladur de ne pas avoir réduit suffisamment la dette de l'État et de ne pas avoir engagé la lourde réforme de l'assurance maladie.
En 1999, il devient brièvement président du RPR et conduit la liste de son parti aux élections européennes, marquées par le désistement de Philippe Séguin et une lourde défaite : sa liste arrive en troisième position, derrière celle de Charles Pasqua. Il abandonne alors toute responsabilité au sein du parti et se retire de la politique. Pendant cette période, il publie un livre, Libre.

Citation:
XIIe législature

Ministre de l'intérieur (2002-2004)

Nicolas Sarkozy lors d'un congrès de l'UMP en 2004. En 2002, il participe activement à la réélection de Jacques Chirac. Celui-ci lui préfère Jean-Pierre Raffarin comme Premier ministre mais le nomme ministre de l'Intérieur, numéro deux du gouvernement. Il impose un style musclé et fait de la sécurité sa priorité, déclarant vouloir s'affirmer par l'action.

On lui attribue, conjointement avec Gilles de Robien, une part dans la chute du nombre d'accidents de la route du fait d'une politique répressive, particulièrement sur les excès de vitesse.
Il achève les négociations et la mise en place du Conseil français du culte musulman (CFCM) et intervient sur les dossiers de l'éducation et des retraites.

Sa politique en Corse est marquée par deux faits majeurs :
Yvan Colonna, homme recherché dans le cadre de l'enquête sur l'assassinat du préfet Claude Érignac, est finalement arrété après une cavale de quatre ans, l'avant-veille d'un référendum local en Corse.
La proposition de réorganisation administrative pour laquelle Nicolas Sarkozy s'était fortement engagé, est en revanche rejetée, suite à ce référendum local du 6 juillet 2003.
Ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie (2004)
Il est nommé ministre d'État, ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, dans le troisième gouvernement de Jean-Pierre Raffarin en 2004. Il axe dans un premier temps sa politique sur la réduction du déficit de l'État mais doit céder à la demande du président ; il annonce cependant le respect en 2005 par la France du pacte de stabilité. Cela ne sera pas le cas.
Nicolas Sarkozy ayant ouvertement déclaré son intention de présenter sa candidature à l'élection présidentielle de 2007 et ayant laissé entendre qu'il briguerait la présidence de l'Union pour un mouvement populaire (UMP) suite au départ d'Alain Juppé, Jacques Chirac, dans son entretien télévisé du 14 juillet 2004, le met en demeure de choisir entre ce dernier poste et le ministère. À une question à ce propos, le Président français lance un « Je décide, il exécute » qui est mal perçu par les proches Nicolas Sarkozy. Quelques mois avant le premier congrès de l'UMP, le mot d'ordre des cadres du parti était « tout sauf Sarkozy » (TSS). Lors de la convention des 28 et 29 novembre 2004, il est élu président de l'UMP par les militants avec 85,1 % des voix. Le lendemain, il présente sa démission à Jacques Chirac et Jean-Pierre Raffarin ; il est remplacé par Hervé Gaymard.
Il fait de son épouse un de ses principaux conseillers à ses ministères, puis son chef de cabinet en tant que président de l'UMP. Il met en scène son couple et s'affiche en famille dans les médias. En mai 2005, des problèmes conjugaux sont longuement médiatisés, en particulier dans Le Matin, que Nicolas Sarkozy souhaite attaquer en justice pour « intrusion et atteinte dans la vie privée ». Finalement le 26 août 2005, Paris-Match présente Cécilia avec Richard Attias en Une. Cécilia Sarkozy est remplacée par Anne Fulda, une journaliste du quotidien Le Figaro, avant que Patrick Balkany, un ami du couple, n'annonce sa reformation dans le Parisien du 11 janvier 2006.

Ministre de l'intérieur (depuis 2005)

Le résultat négatif du référendum portant sur le Traité constitutionnel européen (29 mai 2005), le gouvernement de Jean-Pierre Raffarin démissionne (31 mai 2005). Si Nicolas Sarkozy n'est pas nommé Premier Ministre, il obtient néanmoins le poste de ministre d'État, ministre de l'Intérieur et de l'Aménagement du territoire, au second rang de préséance. Il explique entre autres vouloir « reprendre en main la DST et [...] éviter les coups tordus montés contre lui » et en évoquant « des officines qui, depuis six mois, ont pris [sa] famille pour cible ». Il cumule ainsi un poste ministériel régalien avec la présidence de l'UMP, alors que ce cumul avait été jugé impossible par le chef de l'État lors de son interview du 14 juillet 2004. Il conserve en même temps la présidence du Conseil Général des Hauts-de-Seine.
Dans son livre La République les religions, l'espérance il parle de la reconnaissance des « nouveaux mouvements spirituels » qui est l'expression par laquelle les sectes se qualifient. La représentante en France de la scientologie affirme avoir bénéficié d'une certaine clémence depuis l'arrivée du ministre de l'intérieur. Nicolas Sarkozy, après avoir rencontré Tom Cruise le 30 août 2005, un membre du mouvement, a expliqué ne pas avoir d'opinion arrêtée sur la scientologie.

Émeutes de 2005

Les relations entre le ministre et une partie des jeunes des quartiers se tendent, du fait de la politique de Nicolas Sarkozy et des mots parfois très crus qu'il emploie (« Kärcher, racaille », etc.). À la suite de la mort d'un enfant tué par une balle perdue lors d’un règlement de compte dans une cité de la Courneuve (juin 2005), il emploie l'expression « nettoyer au Kärcher [la cité des 4 000] ». L'expression est aussitôt interprétée par les média comme une attaque contre la population immigrée.

En octobre 2005, suite à la mort de deux adolescents dans un transformateur EDF, des émeutes éclatent en banlieue de Paris, qui se répandent en province. Nicolas Sarkozy prône et applique une tolérance zéro, et annonce que les étrangers ayant participé aux émeutes, seront expulsés du territoire. Une partie de la gauche demande la démission du ministre tandis que les médias jugent sévèrement son action. Toutefois un sondage annonce une majorité d'opinions favorables (68 % d'après la société de sondage IFOP). Au terme des émeutes, 120 étrangers ont été arrêtés et condamnés, mais à ce jour seul un malien a été expulsé, tandis que 6 autres personnes attendent encore qu'un jugement soit rendu.
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Serge
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Serge


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MessageSujet: Re: Biographie de Nicolas Sarkozy   Biographie de Nicolas Sarkozy EmptyDim 9 Avr - 15:59:39

Citation:
Le 22 décembre Nicolas Sarkozy condamne les propos d'Éric Raoult contre la mairie socialiste de Clichy-sous-Bois, alors que le PS somme le président de l'UMP de le sanctionner. À cette occasion, Julien Dray, un habitué des questions de sécurité au Parti socialiste, déclare que « son bilan sur la sécurité est mitigé ». Julien Dray nuance et critique ses résultats sur la baisse de la délinquance, rappelant que, s'il existe une baisse générale des crimes et délits entre 2002 et 2005, ceux-ci ont augmenté dans les quartiers dits « sensibles ».
Selon Nicolas Sarkozy, les émeutes sont le fait de « bandes organisées », de « véritables mafias ». Toutes ces informations sont en partie relativisées dans les rapports publics des Renseignements Généraux, contradiction relevée par des journaux comme le Parisien ou le Nouvel Observateur.

Nicolas Sarkozy et les médias

Depuis 2002, Nicolas Sarkozy est l'objet d'une importante médiatisation. Il est par exemple le seul à avoir été invité trois fois à l'emission Cent minutes pour convaincre; il y a réalisé le plus gros score d'audience pour une émission politique en 2003, avec 7,73 millions de téléspectateurs. Cette médiatisation s'étend à sa vie privée, ce qui conduit en 2005 à une exposition de ses difficultés conjugales avec Cécilia Sarkozy dans la presse. Selon le Canard Enchaîné, Nicolas Sarkozy est intervenu pour empêcher la publication d'un livre de Valérie Domain sur Cécilia Sarkozy chez First Editions en octobre 2005. Ceci déclenche en France un débat sur la médiatisation de la vie privée des hommes politiques. Suite aux diverses affaires concernant sa vie privée, il déclare début 2006 « regretter » avoir présenté sa famille médiatiquement et souhaiter qu'elle ne le soit plus. Cette biographie de Cécilia Sarkozy par Valérie Domain a été publiée, sous forme de fiction, le 8 février 2006 sous le titre Entre coeur et raison aux éditions Fayard.
Ami proche de Martin Bouygues et Etienne Mougeotte (TF1), son cercle amical comprend également Michel Denisot (Canal+) et Marc-Olivier Fogiel (France 3), ainsi que Jean-Marie Bigard avec qui il a passé le réveillon 2005-2006.
Selon l'emission Arrêt sur image, les journaux télévisés, durant les émeutes de 2005, présentent intentionnellement Nicolas Sarkozy en conflit avec la population des cités. Selon Françoise Laborde, présentatrice du journal de France 2 et invitée de l'emission, l'explication de ce traitement médiatique est, d'une part la tentation d'aller au sensationnel, d'autre part un parti-pris des journalistes contre Nicolas Sarkozy.

Carrière

Carrière élective locale

Depuis 1977, Conseiller municipal de Neuilly-sur-Seine ;
1983 - 2002, Maire de Neuilly-sur-Seine (60 364 habitants) ; (depuis 2002 : adjoint « hors rang ») ;
1983 - 1988, Conseiller régional d'Île-de-France ;
1986 - 1988, Vice-président du Conseil général des Hauts-de-Seine, chargé de l'enseignement de la culture ;
Depuis 2004, Conseiller général du Canton de Neuilly-sur-Seine Nord, président du Conseil général des Hauts-de-Seine.

Carrière politique

1978-1979, délégué national des jeunes du RPR.
1979-1981, président du Comité national des jeunes en soutien à Jacques Chirac pour l'élection présidentielle de 1981.
1988, secrétaire national du RPR, chargé de la Jeunesse et de la Formation.
1989, secrétaire national du RPR, chargé de l'Animation, de la Jeunesse et de la Formation.
Co-directeur de la liste d'union pour les Élections européennes.
1992-1993, secrétaire général-adjoint du RPR, chargé des Fédérations.
Depuis 1993, membre du bureau politique.
1995-1997 porte-parole du RPR.
1998-1999, secrétaire général du RPR.
1999, président du RPR par intérim.
1999, tête de la liste RPR-DL pour les Élections européennes de juin
mai 2000, élu président du Comité départemental du RPR des Hauts-de-Seine.
novembre 2004, élu président de l'UMP avec 85,1 % des voix.

Carrière parlementaire

Député des Hauts-de-Seine (6e circonscription des Hauts-de-Seine) :
dates de ses mandats :
élu en 1988 (mandat jusqu'en mars 1993),
élu en mars 1993 (remplacé par son suppléant en avril 1993, après sa nomination comme ministre du budget),
élu en septembre 1995 (après la démission de son suppléant, mandat jusqu'en mai 1997),
élu en mai 1997 (mandat jusqu'en juin 2002)
élu en juin 2002 (remplacé par sa suppléante Joëlle Ceccaldi-Raynaud, en juillet 2002, après sa nomination comme ministre de l'Intérieur),
élu le 13 mars 2005 (après la démission de sa suppléante, mandat venant en principe à échéance en juin 2007) ; lors de cette élection partielle, il est réélu au premier tour, avec 70,01 % des suffrages exprimés, et 41,38 % de participation ;
membre des commissions parlementaires :
de juin 1988 à avril 1991 : membre de la commission des lois constitutionnelles, de la législation et de l'administration générale de la République ;
d'avril 1991 à avril 1993 : membre de la commission des affaires culturelles, familiales et sociales ;
d'octobre 1995 à juin 2002, membre de la commission des finances, de l'économie générale et du Plan.
député français au Parlement européen :
élu le 13 juin 1999, sur le quota réservé à la liste Union pour l'Europe, dont il était tête de liste. En raison de la loi sur le cumul des mandats (il était à ce moment-là maire de Neuilly, député des Hauts-de-Seine et député européen), il choisit, dans le délai imparti, de démissionner de son mandat de député européen, ce qui a entraîné la nomination automatique en remplacement du premier candidat non élu de la liste, son « bras droit » Brice Hortefeux, président du Comité départemental RPR des Hauts-de-Seine.

Citation:

Carrière ministérielle

Mars 1993 - janvier 1995, Ministre du budget, Porte-parole du gouvernement, puis chargé, à titre provisoire, d'exercer les fonctions du ministre de la communication (gouvernement Balladur) ;
Janvier - mai 1995, Ministre du budget, chargé d'exercer les fonctions du ministre de la communication (gouvernement Balladur) ;
Mai 2002 - mars 2004, Ministre de l'intérieur, de la sécurité intérieure et des libertés locales dans le premier et dans le second gouvernement Raffarin ;
31 mars 2004 - 29 novembre 2004, Ministre d'État, Ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie dans le troisième gouvernement Raffarin.
À partir du 31 mai 2005, ministre d’État, ministre de l’Intérieur et de l’Aménagement du territoire, dans le gouvernement Dominique de Villepin.
Débats
Le Syndicat de la magistrature lui a reproché de remettre en cause la séparation des pouvoirs et l'indépendance de la justice, notamment lorsqu'au cours de l'une de ses interventions à propos de l'affaire Nelly Crémel, qui concerne l'assassinat d'une femme par deux repris de justice tout juste libérés, il a demandé à ce que le juge de remise des peines responsable de leur sortie de prison soit puni, ce qui lui a valu un rappel à l'ordre de la part de Dominique de Villepin.
Des députés socialistes ont demandé sa démission pour avoir mis en péril la mission de la police, après qu'il ait évoqué, lors de son passage sur l'émission Pièces à conviction (France 3) le lundi 26 septembre 2005, des arrestations en cours : « À la minute où je vous parle, des arrestations ont lieu », ce qui était effectivement le cas le jour de la diffusion, alors que l'émission avait été enregistrée le mercredi après-midi précédent. Selon le cabinet du ministre, ce dernier évoquait des arrestations qui avaient eu effectivement lieu un peu avant l'enregistrement.
Suite à plusieurs incendies dans des immeubles insalubres ayant causé la mort de nombreuses personnes dont des enfants, Nicolas Sarkozy a demandé à ce que les immeubles insalubres ou dangereux, souvent voués à la destruction, soient évacués ; ce contre quoi des associations de défense des « sans-papiers », dont Droit au logement, ont protesté, car cela a entraîné l'expulsion de nombreux locataires ou squatteurs.
Le Syndicat de la magistrature lui reproche une collusion d'intérêt : « ainsi comme ministre de l´intérieur, il est le supérieur hiérarchique du préfet chargé de contrôler la légalité des actes administratifs accomplis par le président du conseil général des Hauts-de-Seine... Nicolas Sarkozy »
Des personnalités politiques de gauche lui reprochent de vouloir s'attirer l'électorat du Front National. Ainsi, Jack Lang affirme que « Nicolas Sarkozy est un Républicain, à la différence de Le Pen » mais parle de « dérive paraxénophobe ». De la même façon, Act-Up ou les Guignols de l'info présentent médiatiquement le ministre de l'Intérieur et Jean-Marie Le Pen sur un pied d'égalité. Lors d'un trajet à Aurillac, Nicolas Sarkozy répond devant des journalistes « Je ne vise pas l'électorat du FN, je l'ai déjà. De toute façon, les journalistes se sont toujours trompés dans leur analyse politique. ».
Ses projets de « discrimination positive » ou de quotas de l'immigration voient l'opposition franche du premier Ministre qui les juge contraires aux valeurs de la Cinquième République. Cette pratique, courante aux États-Unis comme en Inde et notamment expérimentée à l'Institut d'études politiques de Paris (conventions ZEP), divise la classe politique française.
En janvier 2006, l'association Act Up a publié des affiches comportant la photographie de Nicolas Sarkozy et le slogan « Votez Le Pen ». Les affiches ont été rapidement retirées sous la pression d'un cabinet d'avocats agissant au nom du photographe détenteur des droits sur la photographie, et dont le travail avait été utilisé sans autorisation. Stéphane Dassé, président de l'association Gay Lib, a quant à lui estimé que « Act Up n'est plus crédible depuis longtemps. Elle dessert la cause des gays en abusant de la provoc gratuite ». Cette campagne a également été jugée « inacceptable » par le ministre Christian Estrosi. Nicolas Sarkozy a pour sa part répondu que « cette affiche est directement inspirée des méthodes du Front national. Cela porte un nom : l'amalgame. On ne dénonce pas l'extrémisme en étant soi-même extrémiste et en cédant à la pratique systématique de l'amalgame. Voilà ce que je dis aux dirigeants d'Act Up. »
Dans le cadre de l'Affaire Clearstream, un ou plusieurs « corbeaux » envoient des dénonciations anonymes de personnalités politiques au juge Renaud Van Ruymbeke, comme Dominique Strauss-Kahn, Jean-Pierre Chevènement ou Nicolas Sarkozy. D'après Libération la seconde lettre contenait un « listing bancaire de la clientèle supposée de Clearstream, tellement trafiqué qu'il ne bénéficie pas de la moindre once de crédibilité ». Le journal regrette cependant que Nicolas Sarkozy se soit constitué partie civile pour dénonciation calomnieuse, au nom de la séparation des pouvoirs.
L'organisation Big Brother Awards qui établit chaque année un palmarès des personnalités, des entreprises et des collectivités qui, à ses yeux, menacent la liberté de chacun a décerné le 3 février 2006 un Orwells 2005 à Nicolas Sarkozy dans la catégorie « pour l'ensemble de son oeuvre ». Il était également nominé dans la catégorie « novlangue ».
Yannick Noah a affirmé dans une interview avec Le Canard enchaîné que certains de ses propos auraient été censurés par Paris Match dans son édition du 15 décembre 2005, notamment l'affirmation « Si jamais Sarkozy passe, je me casse ! ». Le rédacteur en chef de Paris Match, Alain Genestar, a formellement démenti toute censure, affirmant qu'« il a décidé avec la personne interviewée de ce qui devait ou non paraître de cet entretien ». Il a précisé qu'ils avaient effectivement jugé bon de ne pas publier certains propos, afin notamment de ne pas envenimer une situation déjà tendue par la crise des banlieues.
Le 7 mars 2006, François Hollande demande une clarification des dépenses de déplacement de Nicolas Sarkozy. Le premier secrétaire du PS déclare que « les moyens de l'État sont au service aussi bien du ministre de l'Intérieur, ce qui est normal, qu'au service du président de l'UMP, candidat, ce qui là ne l'est plus. »
Politiques économiques et sociales
Pour Nicolas Sarkozy « la réforme des 35 heures a été un contresens économique », il est favorable à une « réforme profonde » des 35 heures. Il propose de redonner sa valeur au travail, ce qu'il résume par le slogan : « nous permettons à ceux qui veulent travailler plus de gagner plus ».
En 2004, il souhaite remplacer le Prêt à taux zéro par un crédit d'impôts.
Sur l'ISF, il déclara « je soutiens ceux qui dénoncent les effets pervers de l’actuel ISF.
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MessageSujet: Re: Biographie de Nicolas Sarkozy   Biographie de Nicolas Sarkozy EmptyLun 10 Avr - 21:25:36

Ministre d'Etat, ministre de l'Intérieur et de l'aménagement du territoire

Né le 28 janvier 1955 à Paris XVIIème

Études :
Maîtrise de droit privé (1978)
Certificat d'aptitude à la profession d'avocat (1981)
DEA de Sciences Politiques avec mention (mémoire sur le Référendum du 27 avril 1969)
Institut d'Études Politiques de Paris (1979-1981)

Activité professionnelle :
Avocat au barreau de Paris

Ouvrages :
Georges Mandel, Le Moine de la Politique - Editions Grasset - 1994
Au bout de la passion, l'équilibre - Entretien avec Michel Denisot - Editions Albin Michel - 1995
Libre - Editions XO / Robert Laffont - Janvier 2001

Fonctions politiques :
Conseiller municipal de Neuilly-sur-Seine en 1977
Maire de Neuilly-sur-Seine depuis 1983
Vice-Président du Conseil Général des Hauts-de-Seine, chargé de l'enseignement de la culture (1986-1988)
Député des Hauts-de-Seine (6ème circonscription) depuis 1988, réélu le 25 mai 1997 au premier tour
Elu Président du Comité départemental du RPR des Hauts-de-Seine le 3 mai 2000
Elu président de l'UMP en novembre 2004

Ministre du Budget (1993-1995) et de la Communication (1994-1995)
Porte-Parole du Gouvernement (1993-1995)
Ministre de l'Intérieur (mai 2002 - mars 2004)
Ministre de l'Economie, des Finances et de l'Industrie (mars 2004 - novembre 2004)

Secrétaire national du RPR, chargé de la Jeunesse et de la Formation (1988)
Secrétaire national du RPR, chargé de l'Animation, de la Jeunesse et de la Formation (1989)
Co-directeur de la liste d'union pour les Élections européennes (1989)
Secrétaire Général Adjoint du RPR, chargé des Fédérations (1992-1993)
Membre du Bureau Politique du RPR (depuis 1993)
Coordonnateur et porte-parole de l'équipe de transition (10 juillet 1997)
Secrétaire général du RPR (6 février 1998)
Président par intérim du RPR (avril 1999-octobre 1999)
Tête de la liste RPR-DL pour les Élections européennes de juin 1999
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VEGA Thi
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MessageSujet: Re: Biographie de Nicolas Sarkozy   Biographie de Nicolas Sarkozy EmptyMar 11 Avr - 8:49:41

Dans son propre camp, lui reprochent toujours sa "trahison" balladurienne de 1994.

Qui trahit un jour, trahit toujours Mr.Red

VEGA Twisted Evil
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MessageSujet: Re: Biographie de Nicolas Sarkozy   Biographie de Nicolas Sarkozy EmptyMar 11 Avr - 9:11:29

Il n'empêche que Balladur aurait été meilleur que Chirac. Vous me direz que ce n'est pas difficile ...
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VEGA Thi
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MessageSujet: Re: Biographie de Nicolas Sarkozy   Biographie de Nicolas Sarkozy EmptyMar 11 Avr - 9:28:19

Serge a écrit:
Il n'empêche que Balladur aurait été meilleur que Chirac. Vous me direz que ce n'est pas difficile ...

Je vous l'accorde, nous aurions du nous débarasser de Chirac depuis fort longtemps (dès 1995) son Machaviélisme à porté préjudice à la France, et celui que vous soutenez fera de même s'il est porté à la Présidence de la France.

Thierry
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Serge
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MessageSujet: Re: Biographie de Nicolas Sarkozy   Biographie de Nicolas Sarkozy EmptyMar 11 Avr - 11:50:50

VEGA Thierry a écrit:
Serge a écrit:
Il n'empêche que Balladur aurait été meilleur que Chirac. Vous me direz que ce n'est pas difficile ...

Je vous l'accorde, nous aurions du nous débarasser de Chirac depuis fort longtemps (dès 1995) son Machaviélisme à porté préjudice à la France, et celui que vous soutenez fera de même s'il est porté à la Présidence de la France.

Thierry

Il est quand même un peu plus main que Chirac Wink (pas difficile non plus lol!)
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MessageSujet: Re: Biographie de Nicolas Sarkozy   Biographie de Nicolas Sarkozy EmptyMar 11 Avr - 12:08:03

Serge a écrit:


Il est quand même un peu plus main que Chirac Wink (pas difficile non plus lol!)

Je suppose qu'il faut lire "malin", effectivement si c'est dans le sens du vocable attribué au "diable"

Thierry Mr.Red
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MessageSujet: Re: Biographie de Nicolas Sarkozy   Biographie de Nicolas Sarkozy EmptyDim 30 Avr - 23:37:58

Il est tellement aimé et adulé, au point qu'un nouveau blog de soutien vient d'être crée :

- http://nicolas.sarkozy.over-blog.net/

Comble de l'ironie, je viens de recevoir cette nouvelle dans ma boîte courriel, et en plus c'est moi le vilain facho du FN qui vous l'annonce !

Le monde à l'envers !

Thierry
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MessageSujet: Re: Biographie de Nicolas Sarkozy   Biographie de Nicolas Sarkozy EmptyDim 14 Jan - 21:57:27

"Ses parents, divorcés en 1960, ses frères, Guillaume le chef d'entreprise et François le médecin, et ses amis, ont gardé le souvenir d'un adolescent coléreux et bagarreur, complexé par sa relative petite taille et à la scolarité mouvementée".

Source: Yahoo! Les gens ambitieux sont souvent de petite taille: cf Napoléon...
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MessageSujet: Re: Biographie de Nicolas Sarkozy   Biographie de Nicolas Sarkozy EmptyDim 14 Jan - 23:14:36

Pff. Quand on n'a rien à dire sur le programme des gens, on les attaque sur leur physique. Dixit Sacha Guitry.
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