LES GREVES DE FONCTIONNAIRES

Transports marseillais: grève reconduite dans l'attente des discussions

MARSEILLE (AFP) - Les traminots de la Régie des transports de Marseille (RTM) ont reconduit jusqu'à lundi la grève des bus et métros qui paralyse la ville depuis quarante jours, dans l'attente de discussions qui devaient s'ouvrir en fin de matinée vendredi, a-t-on appris auprès des syndicats.

La poursuite du mouvement a été votée à main levée dans les quatre dépôts de la RTM.

Les syndicats ont par ailleurs présenté aux grévistes le texte qu'ils ont élaboré jusqu'à minuit jeudi pour servir de base à une nouvelle réunion prévue en fin de matinée vendredi avec la direction de la RTM et Gérard Pelzer, le directeur général de la communauté urbaine Marseille Provence Métropole (18 communes).

Le document porte sur les points de sortie de crise avancés par la direction de la RTM, le dialogue social, les revendications salariales, le plan d'entreprise et le développement de l'emploi.

L'intersyndicale a par ailleurs organisé un scrutin à bulletin secret à l'attention de l'ensemble des 3.000 traminots de la régie.

Ceux-ci ont jusqu'à dix-sept heures pour se prononcer par oui ou non sur un "contrat d'assistance technique" d'une entreprise privée "la Connex ou autre" auquel la RTM pourrait recourir pour aider au démarrage du tramway. Le texte insiste sur le fait que "la RTM a la compétence technique" pour exploiter le futur tramway.

Les syndicats ont accepté l'idée de ne plus conditionner la reprise du travail au retrait de la délégation de service public (DSP) pour l'exploitation du futur tramway, leur revendication initiale. Le seul candidat connu pour répondre à l'appel d'offres concernant cette DSP est le tandem RTM/Connex (groupe Veolia).

Les syndicats de la SNCF lancent encore un mot d'ordre de grève !


Alors que le salaire moyen des cheminots est de 2 800 euros par mois d'après les chiffres officiels du contrôle de gestion de la SNCF, avec en prime 125 milliards de dettes pour le transport ferroviaire ! Aucune réaction des Français face à ces catastrophes financières que sont la SNCF et les "services publics" en général...

Les comptes de la SNCF font peur ! Heureusement les Français sont tranquilles car ils ne s'y intéressent pas et la SNCF publie de jolis contes pour les bercer dans leurs illusions au lieu de les afficher clairement. Cependant, l'IFRAP a déniché le véritable chiffre d'affaires de la SNCF. Il est révélé à la ligne produit des trafics (l'expression est vraiment justifiée !) publiée dans le Mémo Stat du contrôle de gestion central de la SNCF alors qu'il aurait dû figurer en première ligne des comptes certifiés.

Pour le seul transport ferroviaire, 8,6 milliards d'euros seulement sont effectivement payés par les clients de la SNCF (par les voyageurs et pour le fret) pour un total des produits de 16,3 milliards en 2004, ce qui signifie que les clients ne paient que 53 % du véritable coût de leurs billets. Le reste, 7,7 milliards d'euros en 2004 soit 47 % est constitué de diverses subventions payées finalement par les contribuables… En transposant ces ratios pour le groupe SNCF, avec un chiffre d'affaires de 22 milliards d'euros, les subventions sont de l'ordre de 10 milliards. En outre, les contribuables supportent une dette à long terme de 55 milliards pour le transport ferroviaire (au 31 décembre 2004) selon les chiffres publiés dans les comptes certifiés de la SNCF et de RFF (Réseau Ferré de France).

Par ailleurs, les charges de retraite ne sont pas provisionnées… en conformité avec des lois fort opportunes ! Elles ne sont pas publiées. Cependant, ces créances existent. Elles sont certaines et elles sont à la charge des contribuables. Il en est de même pour La Poste dont le rapport de gestion retient 70 milliards d'euros pour… ce poste (note 26 page 92). Comme le nombre de retraités est du même ordre dans ces deux entreprises dont les caractéristiques sont très proches, les charges de retraite de la SNCF peuvent être évaluées à ce même montant.

Au 31 décembre 2004, la SNCF avait donc 55 milliards d'euros de dette à long terme + 70 milliards de charges de retraite soit 125 milliards de dettes, 2 000 euros par Français du nouveau né au centenaire, auxquels s'ajoutent une dizaine de milliards d'euros en 2005 de subventions pour couvrir les dépenses courantes.

Ce sont les contribuables qui paieront ! La SNCF n'est pas un service public que le monde entier nous envie, mais une catastrophe financière qui s'ajoute à d'autres comme celle de La Poste, EDF, GDF, la RATP, la SNCM, etc. Ce sont des centaines de milliards d'euros de dettes qui devront être payées à l'avenir par des impôts.


Les anciens dirigeants communistes ont provoqué de très grandes catastrophes financières. 900 millions de Chinois sont très pauvres. 400 millions d'autres travaillent très durement sans en profiter car il leur faut engranger 700 milliards de dollars de réserves dans les coffres de la Banque centrale pour compenser les 300 à 500 milliards de dollars de dettes d'entreprises publiques. Cependant, les Chinois ont de la chance car leurs dirigeants communistes actuellement au pouvoir ont compris que seul le capitalisme libéral peut assurer la richesse des nations et de ses habitants, et ils l'appliquent pour leur plus grand bonheur.

Aux Etats-Unis, les compagnies de transport ferroviaire sont des sociétés privées cotées en bourse qui gagnent de l'argent et qui en font gagner à leurs actionnaires et aux retraités qui placent leur épargne dans des fonds de pension qui l'investissent dans de telles entreprises.
Les centaines de milliards d'euros dilapidés par les administrations et les entreprises publiques auraient pu créer de la richesse au lieu d'en détruire s'ils avaient été investis dans de véritables entreprises. C'est de l'argent non gagné qui circule en contrepartie d'un travail dont le produit n'est pas payé par des clients, et c'est inflationniste pour l'avenir proche.
Les Français, sont très majoritairement opposés au libéralisme. Tant pis pour eux, tant pis pour nous. C'est du suicide collectif dit Silvio Berlusconi qui sait lire et comprendre des bilans, lui, et qui est confronté aux mêmes problèmes.


Jean-Pierre Chevallier

Johanna a écrit:

si les salariés avaient repris le travail c est parce qu'on les avait menacé d'une lourde amende!!

tout a fait normal, il y aurait meme du y avoir une réquisition

La grève est reconduite dans trois des quatre dépôts de la RTM

MARSEILLE (Reuters) - Les traminots de Marseille ont reconduit leur mouvement de grève lundi dans trois des quatre dépôts de la Régie des transports de Marseille (RTM), apprend-on de source syndicale.

Le dépôt de la Rose, dans les quartiers nord de la ville, s'est prononcé pour une reprise du travail conformément aux directives de Force Ouvrière, fortement implantée sur les lieux. Avec l'Unsa, FO avait appelé à la reprise du travail dimanche.

"Le projet proposé par la direction nous semblait acceptable. Au bout de 42 jours, j'ai pris mes responsabilités. On ne peut pas laisser les agents dans l'incertitude face à des gens qui changent d'avis tous les deux jours", a déclaré à Reuters le délégué FO Alain Réquéna.

Le délégué CGT, Alain Vercellone, a minimisé la portée de cette reprise du travail de la part de deux syndicats.

"FO et l'Unsa ne représentent que 20% du personnel. Six autres syndicats, soit 80% des agents, ont décidé que les propositions formulées étaient insuffisantes et inadaptées", a-t-il dit.

Les trois autres dépôts de la RTM ont décidé la poursuite du mouvement entamé le 4 octobre pour dénoncer un "début de privatisation" et le fait que la délégation de service public associe pour l'exploitation du futur tramway, en 2007, la RTM au groupe Connex, filiale transports de Veolia Environnement.

"On veut un tramway à 100% RTM avec une aide technique privée limitée dans le temps. Ce n'est pas ce qui nous est proposé. On nous parle toujours de privatisation, on ne l'accepte pas", a rappelé Alain Vercellone.

Au 43e jour de grève, le trafic restait très perturbé dans les transports en commun marseillais avec environ 20% des bus en circulation et 60% des rames de métro en fonctionnement.

Le juge des référés devait étudier pour sa part, lundi après-midi, une requête des syndicats qui ont attaqué la décision de la direction d'embaucher 42 chauffeurs en contrat à durée déterminée pour "remplacer le personnel malade".

"Ce n'est qu'une nouvelle manÅ“uvre pour briser les reins de la grève. On ne laissera pas faire", a estimé le délégué CGT.

Fin de la grève des transports en commun à Marseille

par Jean-François Rosnoblet

MARSEILLE (Reuters) - Les traminots marseillais ont voté dans l'amertume la suspension de la grève à la Régie des transports de Marseille (RTM) après 46 jours de conflit, apprend-on de source syndicale.

"Après 46 jours de grève, cela devenait difficile. Aucun accord n'a été trouvé avec une direction qui bafoue le dialogue social", a déclaré à Reuters le délégué CGT de l'entreprise Alain Vercellone.

"Il n'y a eu aucun accord sur la privatisation du tramway, que nous refusons toujours. Pas davantage sur les revendications d'entreprise", a-t-il ajouté.

Le sénateur-maire UMP de Marseille a exprimé "une réaction de satisfaction pour les Marseillaises et pour les Marseillais" qui ont été confrontés à de grandes difficultés de circulation dans la cité phocéenne.

"Cette grève était aussi illégale qu'injuste car depuis 46 jours je n'ai pas cessé de dire que nous n'avions pas l'intention de privatiser quoi que ce soit à la RTM", a ajouté Jean-Claude Gaudin, qui était interrogé dans le cadre de l'émission Questions d'info par France Info et la Chaîne parlementaire.

Les grévistes avaient cessé le travail le 4 octobre pour dénoncer ce qu'ils considèrent comme un "début de privatisation" et le fait que la délégation de service public (DSP) associe la RTM, pour l'exploitation du futur tramway de Marseille, en 2007, au groupe Connex, filiale transports de Veolia Environnement.

L'issue du conflit était apparue inéluctable après que deux des huit syndicats, Force ouvrière (FO) et l'Unsa, aient brisé dimanche le front syndical en appelant à la reprise du travail.

JOURS DE GREVE NON PAYES

"Le préavis est maintenu et la lutte se poursuit sous d'autres formes, sur le plan juridique ou sous la forme de débats et de distribution de tracts pour réaffirmer notre attachement au service public", a dit Alain Vercellone.

Le délégué syndical CGT a dénoncé "l'aveuglement" d'une direction de la RTM qui a refusé selon lui le "dialogue social".

"A la SNCF, deux jours de conflit et des négociations sérieuses ont suffi pour trouver une solution de sortie. Après 46 jours à la RTM, on en est toujours au point de départ", a-t-il regretté.

Jean-Claude Gaudin a fait valoir que le budget de la RTM n'était équilibré que grâce à un "chèque" de la communauté urbaine de Marseille.

Cette "subvention d'équilibre" s'élève en 2005 à 116 millions d'euros, auxquels s'ajoutent six millions du conseil général des Bouches-du-Rhône au titre du transport des bénéficiaires du RMI et 20 millions d'euros de la ville de Marseille, a rappelé le président délégué de l'UMP.

"Mon désir est d'avoir le meilleur tramway au meilleur coût mais que ce déficit abyssal on puisse le réduire", a-t-il ajouté. "Voilà pourquoi nous souhaitons une association (...) entre la RTM et Connex."

Jean-Claude Gaudin a réaffirmé que les jours de grève ne seraient pas payés aux grévistes non signataires d'un accord élaboré avec la direction de la RTM.

"Il y a eu un accord qui a nécessité 50 heures de discussion. La CGT jusqu'à présent ne veut pas signer cet accord" prévoyant "un étalement du paiement des jours de grève sur plusieurs mois", a-t-il expliqué.

"Mais attention, il y a ceux qui ont signé l'accord et ceux qui n'ont pas signé l'accord. Nous ne nous engageons pas, la RTM ne s'engage pas pour ceux qui n'ont pas signé l'accord."

Par Nicolas Dupont-Aignan, lundi 12 décembre 2005




La grève des conducteurs du RER de la ligne D s’étend aujourd’hui à d’autres lignes. Cette paralysie prend en otage des centaines de milliers d’habitants de notre région qui connaissent depuis des années des conditions de transports de plus en plus déplorables.

Comme à chaque grève, je mets en place un système de navettes de substitution pour dépanner ceux qui ont l’obligation de se rendre à Paris.

Aujourd’hui, le paradoxe est que cette grève est liée à l’extension du service public qui permet le doublement de la fréquence des trains le samedi. L’intégrisme syndical d’une petite minorité déconsidère tout le service public. Une fois de plus, la faiblesse politique conduit aux divisions stériles. Il était si simple, dès 2002, d’appliquer notre programme et de voter une loi instaurant un service minimum.

Comme pour la TVA sur la restauration, on tergiverse, on hésite. Moralité : la parole politique n’a plus de crédibilité.

Au-delà, la question du RER D illustre l’absence d’une réflexion minimale sur l’avenir de l’Ile de France. Cette région de onze millions d’habitants qui concentre une part importante du produit national, n’a plus de stratégie. L’Etat a de fait abandonné toute politique d’aménagement du territoire, à la fois entre Paris et la Province, et à l’intérieur du territoire francilien, qui connaît des déséquilibres croissants entre les secteurs prospères et les zones de plus en plus paupérisées La décentralisation était nécessaire mais elle doit être encadrée, pensée. L’absence de tout plan d’ensemble (le schéma directeur en préparation n’a quasiment aucune valeur coercitive) permettant de hiérarchiser les priorités d’investissements, de relancer les transports publics, de mieux répartir les activités, aboutit au désordre urbanistique, environnemental, économique et social actuel.

La préparation du prochain schéma directeur pourrait devenir pour le Gouvernement l’occasion de se préoccuper de la vie quotidienne de millions d’habitants.

Cela passe par un plan d’urgence de financement d’infrastructures de transports (il faut au moins un milliard d’euros pour remettre à niveau les lignes RER), par une fermeté accrue dans la protection des espaces naturels grignotés par une urbanisation pavillonnaire sans cohérence, par un rééquilibrage d’implantations de bureaux et de logements afin de réduire les temps de transport quotidiens.

A ceux qui auraient peur du retour de l’interventionnisme, je réponds simplement qu’aujourd’hui, l’Ile de France perd du terrain vis à vis de ses concurrentes mondiales en raison même de son incapacité à maîtriser son développement.

Preuve s’il en était besoin que l’économie libérale pour réussir, doit s’inscrire dans le cadre de l’Etat de droit et ne peut se développer dans l’anarchie !

http://www.liberte-cherie.com/article.php?id=1070&PHPSESSID=44b17351cc1af874aba8eb4f298b49e3

pour que la liberté triomphe en france

Article republié suite au problème d'hier après-midi survenu sur forumactif.com

Samedi 21 Janvier 2006, Deux responsables de l'association Meet The World étaient invités à se rendre à une réunion d'ANIMAFAC à Paris.

L'histoire commence le samedi 14 janvier 2006 aux alentours de 18h00, quand Thibaut, le président de MTW, se rend dans une agence SNCF d'un centre commercial de la métropole lilloise pour retirer les billets Aller/ Retour Lille/Paris pour le samedi suivant soit le 21 janvier 2006. Le vendeur SNCF imprime dans un premier temps les billets Lille -> Paris puis ensuite les billets pour le retour Paris -> Lille.

Jusque là, rien d'anormal pour Thibaut, le vendeur SNCF lui montre les billets en précisant les horaires de départs et d'arrivés…

Une semaine plus tard, le 21/01 les étudiants compostent respectivement leurs billets « Aller » achetés en comptant la semaine précédent. Ils se rendent chez Animafac pour le rassemblement et prennent la route du retour le soir à 18h22 Gare du Nord.

Une fois dans le TGV, ils font le point sur la journée très enrichissante quand un contrôleur de la SNCF passe et remplit son carnet pour distribuer 2 amendes aux jeunes étudiants. "Pourquoi ?" c'est la réaction qu'ont eu ces deux passagers.

Tout simplement parce que, l'agent de la SNCF qui a imprimé les billets en agence, s'est trompé dans la date du voyage retour. En effet les billets pour le retour étaient réservés pour un trajet le 14 Janvier au lieu du 21.Alors que la date des voyages allers était absolument correctes, ce qui ne leur avait donc pas prêté attention plus tôt.

Résultat : 150€ d'amende à payer à cause d'une erreur d'un agent de la SNCF !

Les étudiants ont démontré par A plus B au contrôleur qu'il était absolument impossible d'acheter un billet à 18h04 (Heure d'impression des billets !) en métropole Lilloise pour un départ 18 minutes plus tard à Paris Nord à 18h22 le 14/01.

Distance : Lille / Paris Nord : Environ 220 km soit :
- 2 heures de trajet en voiture.
- 1 heure en TGV…

Ils ont en vain essayé de démontrer au contrôleur qu'une erreur de la part du vendeur était évidente, il n'y avait vraiment rien à faire !!!

Résultat, les étudiants n'ont plus de preuve d'achat du billet SNCF étant donné qu'ils ont été confisqués pour être joint au PROCES VERBAL. En effet les billets étaient des preuves d'achats aux yeux de l'association Animafac afin de procéder au remboursement des frais de transport des 2 étudiants et fondateurs de l'association Meet The World.

Voici l'impression de Julien (Secrétaire général de MTW) : "Vraiment abusé !! Nous n'avons pas à payer pour les erreurs des autres !! On ne va pas se faire berner non plus. On a essayé de raisonner le contrôleur mais ce dernier n'a vraiment rien voulu savoir. Absolument aucune compréhension."

Sans commentaires.

Bonne nouvelle : meme si il y a grève, elle ne sera pas vraiment suivie notamment dans les transports. Il s'agit d'une grève pour une hausse des salaires. Par ailleurs, je pense que le 7 février, le mouvement de protestation initialisé par le PS et surtout les étudiants, ne sera de faible ampleur car beaucoup d'étudiants seront en périodes de révisions pour leurs divers examens. Mais on verra.

emmanuel a écrit:

Bonne nouvelle : meme si il y a grève, elle ne sera pas vraiment suivie notamment dans les transports. Il s'agit d'une grève pour une hausse des salaires. Par ailleurs, je pense que le 7 février, le mouvement de protestation initialisé par le PS et surtout les étudiants, ne sera de faible ampleur car beaucoup d'étudiants seront en périodes de révisions pour leurs divers examens. Mais on verra.

Le test pour les fonctionnaires, c'est cet après midi, nous verrons bien l'ampleur de la mobilisation.

Chez moi deux de mes filles n'ont pas d'écoles leurs instits et Profs faisant grêve.

Thierry

Aux infos de 13 heures, faible mobilisation, entre 20 et 30% de personnes en grêve.

Le Saint-dictat rouge CGTiste doit l'avoir mauvaise

Thierry

La faible mobilisation indique que les gens ne sont pas si mécontents que ca.

emmanuel a écrit:

La faible mobilisation indique que les gens ne sont pas si mécontents que ca.

Rien à voir, les gens sont lassés , fauchés, ceux qui ne sont pas dans la rue aujourd'hui se manifesterons en 2077, alors bye bye l'UMP, le PS, et Bonjour le Front National

Thierry

Le FN n'apporte aucune garanie.

emmanuel a écrit:

Le FN n'apporte aucune garantie.

L' UMPS apporte la garantie de mettre la France encore plus dans la merde

Thierry

Vous floodez le sujet.

Par ailleurs, à l'education nationale, le mouvement gréviste n'est heureusement pas bien suivi.

emmanuel a écrit:

Par ailleurs, à l'education nationale, le mouvement gréviste n'est heureusement pas bien suivi.

J'ai entendu 17% dans l'enseignement.

Moi, cela ne m'etonne pas, les gens on prit conscience de l'inéfficacité, de l'impuissance des Saint-dictats face à la determination gouvernementale d'imposer leur dictat.

Thierry

Entre nous, 17 ù c'est faible.

emmanuel a écrit:

Entre nous, 17 ù c'est faible.

Ce n'est que 17%, c'est tout !

Thierry

c tout car les gens ont pris conscience que le CPE était bénéfique.

emmanuel a écrit:

c tout car les gens ont pris conscience que le CPE était bénéfique.

Tout faux, les gens s'en moquent du CPE, surtout que cela ne concerne pas les fonctionnaires.

Le CPE, le CNE, na rien de bénéfique c'est une imposture supllémentaire de ce gouvernemlent de tartuffes aux ordres du MEDEF.

VEGA

Vous floodez le sujet

emmanuel a écrit:

Vous floodez le sujet

Non j'y réponds justement, et à ta question, principalement :

Citation :

c tout car les gens ont pris conscience que le CPE était bénéfique.

A moins que tu ne te souvienne pas de ce que tu écris

VEGA