chez nos amis les socialistes

Les éléphants du PS sont tellement machistes (DSK, Lang, Delanoe, Fabius, Emmanuelli, etc) qu'ils feront TOUT pour que Ségolène ne passe pas ! C'est pourquoi Jospin parait le seul à pouvoir incarner ce "tous contre Ségolène" !

le capitaliste a écrit:

Les éléphants du PS sont tellement machistes (DSK, Lang, Delanoe, Fabius, Emmanuelli, etc) qu'ils feront TOUT pour que Ségolène ne passe pas ! C'est pourquoi Jospin parait le seul à pouvoir incarner ce "tous contre Ségolène" !

Et ça continue...


Isabelle Mandraud - Le Monde - 06/09/2006

Arrivé en retard au siège du PS, où se tenait, mardi 5 septembre, le bureau national hebdomadaire du parti, le député de la Nièvre, Gaëtan Gorce, partisan de Ségolène Royal, dit avoir eu "le sentiment de rentrer dans le film des Tontons flingueurs". Electrisés par les propos tenus, deux jours plus tôt, par la présidente de Poitou-Charentes en faveur d'un assouplissement de la carte scolaire, ses opposants, qui n'attendaient que ça, ont ouvert le feu.

En première ligne, Claude Roiron, secrétaire nationale à l'éducation, proche de Laurent Fabius, puis le député du Nord, Yves Durand, ami de Martine Aubry et enfin Razzye Hammadi, président du Mouvement des jeunes socialistes (MJS), ont vertement critiqué la position de Mme Royal, accusée de semer, sur ce sujet, la "confusion" avec la droite. Au début, François Hollande a tenté de cadrer le débat en rappelant qu'il n'était pas question, dans le projet socialiste pour 2007, de supprimer la carte scolaire. Mais devant l'effervescence de la salle, le premier secrétaire a ajouté que si une candidate s'éloignait de ce projet, elle n'aurait qu'à "s'en expliquer devant les militants"...

LA FIÈVRE MONTE

Rassemblant à huis clos, quelques heures plus tôt, son "conseil politique" dans une salle de l'Assemblée nationale, Mm Royal, qui n'est pas membre du bureau national du PS, a en quelque sorte sollicité la protection de ses partisans - dont fait désormais partie l'ex-premier ministre socialiste, Edith Cresson. "Il faut éviter un débat dégradé", a souligné Ségolène Royal, non sans avoir rappelé sa ligne. "Elle a insisté sur la nécessité de se lancer dans la reconquête idéologique de la gauche sur des sujets qui n'appartiennent pas à la droite, comme le travail", rapporte M. Gorce.

Mais à un mois du dépôt officiel des candidatures pour l'investiture du PS, clos le 3 octobre, la fièvre monte de plus en plus dans le parti. Mercredi, dans un entretien publié par Le Parisien, Lionel Jospin est de nouveau sorti de sa réserve. S'opposant sur tous les sujets - emploi, immigration, Gaz de France - à Nicolas Sarkozy, il précise cependant avoir "au moins un point commun" avec le chef de l'UMP : "Parce qu'il prend la politique sérieusement."

Visée, Ségolène Royal. "Je n'attaque pas les personnes", prétend l'ancien premier socialiste, mais, ajoute-t-il, "il est vrai que j'insiste sur le lien qui doit exister entre la personnalité qui portera nos couleurs et une grande formation politique comme le PS". Et encore : "L'aboutissement même de la parité, c'est qu'on puisse aussi juger une femme comme un homme."

Sur ses propres ambitions, M. Jospin procède par étapes. "Pour le moment, je participe librement à une discussion qui me paraît essentielle pour l'avenir du pays." Toutefois, "je ne me sens pas du tout fatigué, et je pense que j'ai suffisamment peu servi, ces derniers temps, pour ne pas être usé". Il en dit plus sur sa détermination, en rappelant qu'il a fait son service militaire dans "l'arme blindée cavalerie" : "Les socialistes doivent faire le choix de leur candidat les yeux ouverts. Je peux aider le PS de différentes façons. Mon cheval peut-être à la tête d'une charge, ou bien dans le peloton des cavaliers." C'est Jospin à l'attaque.

Agence France-Presse - 06/09/2006

Ségolène Royal, favorite socialiste des sondages pour la prochaine présidentielle en France, a une nouvelle fois semé le trouble dans son camp : en s'attaquant à un tabou dans le domaine de l'éducation, elle a suscité un rappel à l'ordre de son compagnon et chef du PS François Hollande.

Après ses propos sur la sécurité, l'ordre ou l'immigration, qui ont heurté les sensibilités les plus à gauche, Ségolène Royal a provoqué un tollé en mettant en cause dimanche la «carte scolaire», qui impose aux élèves de fréquenter l'établissement le plus proche de leur domicile au nom de la mixité sociale.

À la veille de la rentrée scolaire en France, la candidate a ainsi proposé de «desserrer la contrainte de la carte scolaire», suggérant de laisser aux parents le choix entre deux ou trois établissements.

Le MJS s'adresse fermement à Royal

NOUVELOBS.COM - 06/09/2006

Pour le président du Mouvement des jeunes socialistes, Razzye Hammadi, Ségolène Royal doit cesser d'envoyer "des messages à l'électorat de droite".

Dans un entretien au Républicain Lorrain paru mercredi 6 septembre, le président du Mouvement des jeunes socialistes (MJS) Razzye Hammadi a demandé à Ségolène Royal qu'elle cesse d'envoyer "des messages à l'électorat de droite", dans un entretien au Républicain Lorrain paru mercredi 6 septembre.

"On ne peut pas jouer avec le feu. On ne peut pas continuer à envoyer des messages à l'électorat de droite, ce qui permet d'augmenter les résultats dans les sondages et donne du crédit à la victoire de la gauche avec elle comme candidat", a estimé Razzye Hammadi.

Hollande doit "taper du poing sur la table"

Le président du MJS a également appelé le premier secrétaire du Parti socialiste, François Hollande, à "taper du poing sur la table" pour retrouver la place qui lui incombe auprès des medias.
"Quand (Ségolène Royal) fait répondre directement (à Nicolas Sarkozy) par son porte-parole, il y a institutionnalisation du lien. C'est au chef du parti socialiste de répondre. Le premier secrétaire est dévalorisé et par là le parti dans son ensemble", a-t-il déploré.

"Le candidat socialiste doit d'abord rassembler son camp, pour le premier tour, avant d'élargir au second tour", a souligné Razzye Hammadi. "Ségolène Royal est en train de mener une campagne de second tour avant même d'avoir été investie."
Le MJS s'était déjà opposé lundi à Ségolène Royal, qui avait proposé de "desserrer la contrainte" de la carte scolaire.

C'est la cacophonie au PS ! Ségolène met de l'huile sur le feu et souhaite mettre à mal l'unité socialiste. Que du bon pour les vrais républicains, ceux de droite.

Citation :

Jack Lang, candidat à l'investiture socialiste pour la présidentielle, a déclaré vendredi "aimer Ségolène" Royal, en faisant valoir les "grandes qualités" de la députée des Deux-Sèvres.

Interrogé sur la campagne interne au PS, l'ancien ministre a estimé "insupportable" de tenter d'opposer entre eux les présidentiables socialistes.

"Moi, j'aime Ségolène. C'est une amie, on a travaillé ensemble beaucoup, elle a de grandes qualités", a-t-il déclaré sur Canal+.

Il a énuméré "les bons critères" pour être le candidat du PS: "quel peut être le meilleur président, quel est celui qui pourra mener la campagne la meilleure face à un candidat qui sera brillant, quel est celui qui rassemblera le mieux les socialistes".

Le député du Pas-de-Calais s'est dit confiant sur la victoire du candidat de gauche à la présidentielle de 2007, sauf si les socialistes "se bagarrent" entre eux.

Selon lui, face à "une droite rejetée" et à Nicolas Sarkozy "qui fait peur", "ce sera un candidat de gauche qui sera élu l'année prochaine" à l'Elysée.

Il a toutefois mis un "seul bémol". "Nous gagnerons l'an prochain sauf si on se désaccorde, sauf si on se bagarre entre nous", a-t-il dit.

Interrogé sur l'engagement de Johnny Hallyday et Doc Gynéco aux côtés de Nicolas Sarkozy, l'ancien ministre de la Culture a indiqué ne pas vouloir "transformer les artistes en homme ou en femme sandwich". Il a ajouté qu'il préférait les voir s'engager sur "des actions positives, militantes, concrètes", comme l'ont notamment fait auprès des immigrés sans papiers les acteurs "Philippe Torreton, Charles Berling, Josiane Balasko".

Par ailleurs interrogé sur l'examen au Parlement du projet de privatisation de GDF, le candidat à l'investiture du PS pour la présidentielle a affirmé que les socialistes avaient "le devoir national de défendre le secteur public de l'énergie".

Jack Lang a dit regretter qu'"un gouvernement illégitime, en fin de course, épuisé, se permette en fin de législature d'infliger au pays une mesure aussi contre-nature que la privatisation de GDF".

"La France se désarme. C'est une question d'intérêt national supérieur", a-t-il ajouté.

Il a observé que l'"héritage des grands service publics, c'est De Gaulle". "Notre devoir national est de défendre le secteur public de l'énergie", a-t-il insisté.

Interrogé sur les chances de faire reculer le gouvernement, Jack Lang a observé qu'au moment du contrat première embauche (CPE), on prédisait aux socialistes "une bataille perdue d'avance". "On s'est bagarré, bagarré, bagarré et nous avons gagné", a-t-il dit.

Le projet de loi sur l'énergie, rejeté par la gauche et l'UDF, prévoit notamment la privatisation de GDF en vue de permettre sa fusion avec Suez. L'examen du texte à l'Assemblée nationale a commencé jeudi. Plus de 137.600 amendements ont été déposés.

Quelle belle déclaration ... d'amour !

le capitaliste a écrit:

Quelle belle déclaration ... d'amour !

En ce moment, au PS, c'est "Je t'aime, moi non-plus"

NOUVELOBS.COM - 10/09/06

"Il est le premier secrétaire du PS. Il doit être l'arbitre de tous", estime le candidat à l'investiture du PS.

Dominique Strauss-Kahn a estimé dimanche 10 septembre qu'il revenait à François Hollande d'être "responsable" et de rester un "arbitre impartial" dans la compétition entre socialiste pour l'investiture du Parti socialiste à l'élection présidentielle de 2007.
François Hollande, premier secrétaire du PS, est le compagnon de Ségolène Royal, la favorite des sondages.
Les candidat déclarés à la candidature, Ségolène Royal, Laurent Fabius, Dominique Strauss-Kahn, Jack Lang, ainsi que les candidats potentiels, Lionel Jospin, Martine Aubry et François Hollande, doivent intervenir le 16 septembre devant les militants du Pas-de-Calais. François Hollande a déclaré samedi que ce débat supposait "beaucoup de responsabilité de la part de ceux qui vont participer".

"L'arbitre de tous"

"On n'a jamais vu une situation pareille, où un couple se trouvait dans la situation où se trouvent François Hollande et Ségolène Royal. Donc c'est compliqué, et parce que c'est compliqué pour lui il faut que plus encore que dans une situation normale il soit un arbitre impartial. J'espère qu'il le sera," a déclaré Dominique Strauss-Kahn sur Canal +.

"Hollande a raison et il faut que lui soit responsable, il est le premier secrétaire du PS. Il doit être l'arbitre de tous", a-t-il insisté.
Interrogé sur la possibilité que François Hollande soit de parti pris, le député du Val-d'Oise à répondu: "Certains le disent". Pour autant, il dit ne pas faire partie de ceux-l": "Non, pas encore", a-t-il lancé.
Dominique Strauss-Kahn a assuré qu'il ne se "désisterait pas" et souhaité que "la compétition ait lieu pour que l'on choisisse celui ou celle qui sera le mieux à même de battre (Nicolas) Sarkozy, qui sera sans doute le candidat en face". "L'unité sera indispensable quand on entrera dans la bataille", a-t-il estimé.

C'est impossible ! Hollande est le grand chef du PS, en même temps que présidentiable et conjoint d'une candidate ... Vivement la fin du PS !

NOUVELOBS.COM (avec Reuters) - 13/09/06

Contrairement à lui, elle refuse toute "déclaration brutale" contre l'entrée de la Turquie dans l'Europe. Mais comme lui, elle envisage un "partenariat".

C ontrairement à Nicolas Sarkozy, Ségolène Royal s'est dite, mercredi 13 septembre, opposée à toute "déclaration brutale" contre l'entrée de la Turquie. Mais comme le ministre de l'Intérieur, la socialiste française n'a pas pour autant écarté l'idée, plutôt qu'une adhésion à part entière, d'un "partenariat" avec la Turquie.
"On a besoin d'arrimer les pays qui sont aux pourtours de l'Europe au processus démocratique et aux valeurs qui sont les nôtres, et donc je crois que toute déclaration brutale comme celles que l'on a entendues rejetant la Turquie aurait des effets désastreux", a indiqué à Bruxelles Ségolène Royal.
"En même temps, a-t-elle ajouté, je crois qu'il faut regarder avec réalité la préoccupation qui consiste à dire à un moment: il faut que les frontières de l'Europe soient stables, mais que des partenariats soient noués avec des pays qui ont envie de partager nos valeurs et auxquels nous devons tendre la main".

Bientôt un discours-programme

Sur l'immigration clandestine, elle n'est pas non plus très éloignée de la position de Nicolas Sarkozy.

Ce dernier avait fustigé les opérations de régularisation réalisées en Italie et en Espagne, qui ont selon lui provoqué un "appel d'air" dont on mesure les conséquences avec l'arrivée massive de candidats aux Canaries ou à Lampedusa.
"Je pense que c'est regrettable", a-t-elle aussi répondu à une question sur ces régularisations réalisées sans aucune concertation avec les autres pays européens, tout en prônant, tout comme Nicolas Sarkozy, une politique européenne de l'immigration.
Il faut, a-t-elle dit, "maîtriser l'immigration si l'on veut que nos opinions publiques comprennent que le pouvoir politique a un sens et a une efficacité" et aider les pays d'origine.
Ces commentaires succincts ne valent pas un discours-programme que son entourage promet pour bientôt.

Rocard : "je soutiens Dominique Strauss-Kahn"

Royal a toutefois tenu à montrer son engagement européen en s'entourant lors de ses rencontres avec Barroso et Borrel de personnalités europhiles, comme Savary lui-même, l'ancien Premier ministre Michel Rocard et Jean-Louis Bianco, secrétaire général de l'Elysée sous François Mitterrand.
Mais Michel Rocard a immédiatement modéré son appui.
"Je soutiens Dominique Strauss-Kahn", a-t-il dit en souriant. "Je suis là pour afficher le bloc du PS."

Et Ségo continue à faire du copier-coller sur Nico !... Elle manque vraiment d'inspiration, la pauvre !!!

Voulez-vous aider Madame Royal ? Oui ?
Et bien remplissez le formulaire d'adhésion à l'UMP à son nom !

http://www.u-m-p.org/site/Adhesion.php



Qu'est-ce qu'on l'aime notre Sarkolène !

LA FRANCE A BESOIN D'UNION

MONSIEUR SARKOZY EST IL VRAIMENT APTE?

25 ANS DANS LES ALLES DU POUVOIR ET IL PENSE SEULEMENT AUX INEGALITES DES RETRAITES.....

MAIS IL NE PARLE PAS DES PRETS BONIFIES DES ELUS DES ASSEMBLEES... NATURELLEMENT

http://www.santeducation.com/

Citation :

Fauchon: minitel 36-15 pigeons...

François Hollande sera-t-il mis en examen pour ses liens présumés avec l'ancienne mutuelle des instituteurs, aujourd'hui en faillite ?

C'est ce que réclament à la justice les milliers d'anciens sociétaires ruinés par une gestion calamiteuse.

Ceux qui croyaient que la justice finirait par s'endormir sur le dossier du Cref en seront pour leurs frais. À peine la juge Sylvia Legendre a-t-elle clos, le 10 juillet, son instruction sur la gestion du Cref et les abus présumés ayant concouru à sa faillite, qu'une autre bataille commence, nettement plus gênante politiquement pour le PS : les parties civiles exigent désormais la mise en examen de François Hollande entre autres dans le cadre de ce même dossier !

Depuis que Valeurs Actuelles a révélé le scandale du Cref, dans son numéro du 29 juin 2001, les investigations de la juge du pôle financier de la rue des Italiens, à Paris, épaulée par les policiers de la Brigade financière, avaient déjà abouti à neuf mises en examen pour abus de confiance, dont celle, emblématique, en février 2002, de l'ancien ministre socialiste des Affaires sociales, René Teulade, qui a cumulé la présidence de la mutuelle et celle de la Fédération nationale de la Mutualité française, de 1974 à 1992.

Le même René Teulade qui, dans son inoubliable rapport sur les retraites remis en 2000 à Lionel Jospin, concluait à l'urgence de ne toucher à rien !
C'est que, non content d'avoir été le pape du mutualisme à la française, René Teulade fut aussi, jusqu'en 2003, à la tête du comité économique, social et culturel du PS.

Engagé politiquement sur le terrain, suppléant du député Hollande jusqu'en juin 2002, il est toujours le maire socialiste d'Argentat, en Corrèze.

Mais ces mises en examen sont loin de satisfaire les 450 000 anciens sociétaires du Cref, regroupés au sein du CIDS (Comité d?information et de défense des sociétaires de la mutuelle retraite de la fonction publique). Il est vrai que la plupart de ces fonctionnaires, souvent modestes, ont été spoliés, voire ruinés, on estime que leurs pertes financières représentent jusqu'à 75 % de l'épargne investie, après la disparition du Cref, mort de la gestion pour le moins aléatoire de ses responsables.

De sa gestion mais aussi des largesses que se sont accordés ces derniers, des années durant, tant à eux-mêmes qu'à leurs amis (lire Valeurs Actuelles du 11 juillet 2003) : frais de bouche somptuaires, club direction avec maître d'hôtel recourant aux plus grands traiteurs de la place de la Madeleine, cartes de crédit corporate, golden parachute dignes d'une multinationale, voitures de fonction, logements spacieux pris en charge et équipés aux frais de la direction. Bref, l'esprit mutualiste ! Application peut-être un peu trop large du principe de la répartition, prôné par le Cref, par opposition au système de capitalisation, jugé, comme son nom l'indique, trop capitaliste.

Pour les parties civiles, défendues notamment par Me Nicolas Lecoq-Vallon, on est donc loin du compte : d'autres personnes sont susceptibles d'être poursuivies. Disposant d'un délai légal pour formuler une dernière demande d'actes, l'avocat réclame sept nouvelles mises en examen.
Celles notamment de Danielle Mitterrand et de François Hollande, en leur qualité, respectivement, de présidente et trésorier de l'association Cause commune.
Les faits remontent à la fin des années 1980. Le siège de l'association était situé dans le bâtiment même de la mutuelle au 1, rue Paul-Baudry dans le VIIIe arrondissement de Paris.
Selon les policiers de la Brigade financière, qui enquêtent alors sur plusieurs associations proches du Cref, le dossier Cause commune démontre que les loyers n'ont pas été demandés au responsable de l'association qui, à l'époque, était Danielle Mitterrand, l'épouse du président de la République .

Aucune facture, aucun règlement d'un loyer ni d'aucune charge n'a été retrouvé par les enquêteurs lors des différentes perquisitions, tant au siège du Cref qu'à celui du Gaia, l'organisme qui gérait le parc immobilier de la mutuelle.

Interrogé le 24 avril dernier par les policiers ils ont fait le déplacement rue de Solférino, au siège du PS, François Hollande a déclaré ne rien savoir : « J'ai été trésorier de l'association de 1984 à 1986, a-t-il expliqué. La présidente était effectivement Mme Mitterrand. Je savais, comme trésorier, que cette association était hébergée dans les locaux de la mutuelle, comme d'autres associations, mais je n'avais pas connaissance des conditions du bail, ignorant même s'il y avait un bail ou pas. En 1986, j'ai quitté l'association sans avoir à connaître le moindre rappel de factures ou autres. »


LA SUITE : Franck Hériot
<http://www.valeursactuelles.com/magazine/france/visu_france.php?position=1&nb=&num=3636>

Allez après 2007 on tire la chasse d'eau : aux chiottes les pourris, les ripoux, les corrompus !

Par élimination DSK pour sa culture économique, son intelligence et sa vision moins archaique de la société Française, mais davantage Kouchner cependant il ne figure pas dans le sondage !

Kouchner dérange tellement le PS et ses éléphants qu'il n'est même pas invité aux diverses réunions du parti ... Risible !

le capitaliste a écrit:

Kouchner dérange tellement le PS et ses éléphants qu'il n'est même pas invité aux diverses réunions du parti ... Risible !

C'est bien la démocratie au PS ! (Entre nous, ça ne m'étonne qu'à moitié...)

© La Libre Belgique 2006

Les candidats à l'investiture peuvent se déclarer à partir de ce samedi à 00 heure, et ont jusqu'à mardi à 15 heures pour ce faire. La campagne sera rude.

C'est parti. Dominique Strauss-Kahn a officialisé vendredi sa candidature à l'investiture socialiste pour 2007 et la déposera ce samedi. Ségolène Royal a fait de même vendredi soir. Laurent Fabius son discours dimanche. Et Jack Lang, s'il parvient à décrocher les trente parrainages de membres du Comité national du PS exigé de tout candidat, devrait lui aussi passer à l'acte d'ici à mardi 15 heures, moment où tous les candidats devront s'être déclarés.

Le rapport de forces est plus que jamais en faveur de Ségolène Royal, a fortiori depuis le retrait de Lionel Jospin mercredi soir. D'après les derniers sondages, la présidente de la Région Poitou-Charentes pointe à 59 pc des intentions de vote des sympathisants socialistes. Mais ce sont les adhérents et non les sympathisants qui voteront les 16 et 23 novembre; or, les profils de ces deux groupes ne sont pas forcément identiques. Jack Lang est donné à 20 pc, Dominique Strauss-Kahn à 19 pc et Laurent Fabius ferme la marche avec 12 pc.

Les appuis engrangés au sein du parti par les différents candidats traduisent le même rapport de forces. Ségolène Royal bénéficie du soutien supposé du Premier secrétaire François Hollande et du support avéré du n° 2 du parti François Rebsamen, de son porte-parole Julien Dray, et du chef de groupe à l'Assemblée Jean-Marc Ayrault. Sont également derrière elle une bonne trentaine de la centaine de fédérations départementales du PS, dont trois poids lourds (les Bouches-du-Rhône, le Nord et, bientôt probablement, Paris). La supportent aussi une partie de la direction du Nouveau parti socialiste (NPS, l'aile gauche du PS) et environ un président de Région socialiste sur trois.

Laurent Fabius revendique le soutien d'une vingtaine de fédérations. Il pourra aussi compter sur une bonne partie de la base du NPS et des Jeunes socialistes. Dominique Strauss- Kahn s'attend à ce que 25 à 30 fédérations le rejoignent. Les soutiens de Jack Lang sont moins ostensibles. Et une des grosses interrogations de la campagne sera le candidat sur lequel les jospinistes reporteront leurs voix.

La rupture, c'est qui ?

Hormis peut-être celle de Laurent Fabius, dans la posture affichée en tout cas, ces candidatures reflètent clairement plus des rivalités d'ambitions que de réelles différences de sensibilité politique. En effet, au-delà de certaines nuances sur des points précis et/ou de différences de tactique, tous ces présidentiables s'inscrivent dans la ligne "social réformiste" du PS.

A en croire les enquêtes d'opinion portant cette fois sur le rapport gauche-droite au second tour de la présidentielle, seule Ségolène Royal serait en mesure de rivaliser avec Nicolas Sarkozy, voire, selon certains sondages, de le battre. Mais, depuis 1981, jamais les résultats d'enquêtes d'opinion menées si longtemps avant le scrutin n'ont été confirmés le jour dit : ces élections se jouent habituellement dans les deux derniers mois de la campagne.

Jeudi, assez significativement, Nicolas Sarkozy a rendu hommage à Lionel Jospin et a regretté son choix de ne pas briguer l'Elysée. A certains égards, en effet, l'ex-Premier ministre aurait été pour lui un adversaire plus facile que Ségolène Royal.

Celle-ci, moins doctrinairement socialiste, va, si elle est investie, prendre des voix au centre voire à droite. En outre, son statut de femme (du jamais vu dans les annales), son jeune âge et son profil très atypique pourraient bien, mieux que pour Lionel Jospin en tout cas, incarner aux yeux d'un certain électorat cette fameuse "rupture" que Nicolas Sarkozy entend personnifier.



En voilà déjà deux de déclarés officiellement : DSK et Ségo !

François Hollande jette l'éponge

"Je ne serai pas un candidat de plus car je suis au service de mon parti et non l'inverse", a déclaré samedi le premier secrétaire du parti socialiste.

Jusqu'à l'élection présidentielle, il compte bien être "un acteur comme premier secrétaire, c'est-à-dire celui qui doit empêcher une nouvelle défaite de la gauche".

Citation :

Peu après Ségolène Royal, c'est au tour de François Hollande de déclarer ses intentions pour l'investiture socialiste à la présidentielle de 2007. Le premier secrétaire du PS a annoncé samedi, dans un entretien au quotidien le Dauphiné libéré, son retrait de la course.

"J'aurais souhaité qu'il y ait moins de candidats et même un rassemblement autour du Premier secrétaire ou de celui, ou celle, qui aurait entraîné l'accord général (...) Pour ma part, je ne serai pas un candidat de plus car je suis au service de mon parti et non l'inverse". Sa décision ne sera officiellement annoncée que "le 3 octobre", date limite pour le dépôt des candidatures à l'investiture au sein du PS.


"Empêcher une nouvelle défaite de la gauche"

Vendredi, deux candidats à l'investiture socialiste pour l'élection présidentielle de 2007 se sont déjà déclarés, alors que la période de dépôt des candidatures s'ouvre samedi : la favorite des sondages et compagne de François Hollande, Ségolène Royal et Dominique Strauss-Kahn.

Concernant le rôle que François Hollande entend jouer jusqu'à l'élection, le responsable socialiste a récusé le terme d'"arbitre", indiquant qu'il comptait bien être "un acteur comme premier secrétaire, c'est-à-dire celui qui doit empêcher une nouvelle défaite de la gauche"."Pour cela je veillerai à ce que le candidat, ou la candidate, désigné(e) porte le projet du PS. Il faut partir de son propre camp pour être qualifié pour le second tour, et rassembler après", ajoutant qu'il faudra "un pilote pour mener le convoi. C'est mon rôle".



Les candidatures sont ouvertes

Depuis vendredi minuit, les candidatures sont ouvertes. Elles seront closes mardi à 15h00. Quelque 185.000 militants du PS voteront le 16 novembre, et le 23 en cas de second tour, pour désigner leur candidat. Les candidatures doivent être adressées, sous enveloppe cachetée, au premier secrétaire et déposées auprès de la Coordination générale au siège du parti. La campagne pour ces primaires socialistes sera marquée notamment par trois débats télévisés sur les chaînes parlementaires les 10, 17 octobre et 7 novembre.

Encore un de moins : Hollande a été évincé de la Star Academy ... Il avait sûrement peur de se disputer avec sa conjointe ! Une bonne scène de ménage a été évité !

En tout cas, je trouve vraiment bête que Hollande ne soit pas candidat car c'était le seul (avec Fabius) contrairement à Ségolène et DSK à pouvoir espérer réunir la gauche. Parce que je crois qu'il ne faut pas se leurrer : DSK et Ségo sont plus des centristes que de vrais socialistes ...

Citation :

La double amnésie des socialistes

Communiqué du 7 octobre 2006

Voilà que lors du Conseil national du PS les socialistes critiquent les opérations de police menées par Nicolas SARKOZY pour lutter contre la délinquance dans les quartiers. Leur aîné François MITTERRAND avait déjà nié les difficultés en laissant le Front National prospéré pendant plus d'une décennie sur les sujets fondamentaux que sont la sécurité et l'immigration et Lionel JOSPIN n’a rien fait rien car il ne ressentait qu'un "sentiment" d'insécurité. Les socialistes ont oublié que leur candidat a disparu dès le premier tour de l'élection présidentielle de 2002 et que leur bilan en la matière est une augmentation de 14,5 % de la délinquance entre 1998 et 2002. L'amnésie des socialistes les amène même à oublier qu'en 2001 la France a dépassé le seuil des 4 millions de faits constatés ! Les socialistes demandent aujourd'hui au Ministre de l'Intérieur de ne pas faire faire d'opérations de police dans les quartiers difficiles. Ils n'ont vraiment rien appris.

L’UMP s’indigne aussi de la morale politique à géométrie variable de Dominique STRAUSS KAHN qui appelle à la démission du Ministre de l’Intérieur parce qu’il pourrait être candidat pour l’élection présidentielle de 2007. Faut-il rappeler que le même Dominique STRAUSS KAHN n’a pas levé un sourcil lorsque Monsieur JOSPIN faisait campagne de Matignon en 2002 ? Les socialistes ont décidemment la mémoire courte.

Valérie PECRESSE et Luc CHATEL
Porte Parole de l’UMP

Et oui, les socialistes ont la mémoire courte et préfèrent jouer avec la misère des gens pour bien gagner leur vie ... Démagogie et populisme !

Pour parler de mémoire, l'UMP devrait se rappeller de son bilan depuis 2002, ils arreteraient de se prendre pour les sauveurs de la France alors qu'ils font marche arrière sur tout.

Peux-tu être plus précis stp ?

Oui je peux, éducation, retraite, 35 heures, sécurité sociale, code du travail, immigration, ... Pour eux il s'agit de réformes et d'avancées, mais quand on regarde bien le résultat est proche de celui de la construcution de ces services.

Nous essayons de réformer au mieux sachant qu'il y a une personne à la tête de l'Etat qui préfère l'immobilisme à la réforme, qui préfère baisser son froc que de rester droit dans ses bottes ...

Réformer au mieux, attendez c'est tellement drole qu'il faut que je reprenne mes esprits, on voit bien aux réactions des Français à chacune de vos réformes qu'elles sont les meilleures possibles pour la France....

No pasaran a écrit:

Réformer au mieux, attendez c'est tellement drole qu'il faut que je reprenne mes esprits, on voit bien aux réactions des Français à chacune de vos réformes qu'elles sont les meilleures possibles pour la France....

Un million, voire deux millions de français manipulés par les syndicats, les associatons et les partis gauchistes défilant dans la rue : crois-tu qu'ils sont représentatifs des français ?

Il n'y a pas besoin de manifester dans la rue pour être mécontent. Ces millions de personnes auxquelles tu fais allusion ne sont que la partie émergente de l'iceberg.