chez nos amis les socialistes

Ségolène Royal "probablement" candidate "si ça continue comme en ce moment"

PARIS (AFP) - La socialiste Ségolène Royal a déclaré mardi soir sur Canal + qu'elle sera "probablement" candidate à la présidentielle de 2007 "si ça continue comme en ce moment", alors qu'on venait de l'interroger sur ses intentions et sa première place dans les sondages.

Comme le comédien Jamel Debbouze lui demandait si elle serait candidate à l'élection présidentielle de 2007, lors de l'émission Le Grand Journal, la députée des Deux Sèvres a répondu: "Si ça continue comme en ce moment, probablement oui".

Canal + avait montré quelques instants plus tôt le sondage Ifop-Paris Match publié ce mardi qui montre que dans le duel Nicolas Sarkozy/Ségolène Royal, la présidente de la région Poitou-Charentes arrive en tête, avec 52% des sondés contre 47% au président de l'UMP, qui est lui-même en tête des personnalités de droite.

"Ces sondages ne me donnent que des devoirs d'être à la hauteur de cette confiance, ils ne me donnent aucun droit. (...) Mais le courant que je sens vers moi me donne des possibilités nouvelles", a-t-elle ajouté.

Ces déclarations de Mme Royal marquent une nette évolution dans ses intentions, par rapport à ses déclarations antérieures.

Elle était jusqu'à présent restée beaucoup plus prudente, se disant certes "prête" mais "pas encore dans la peau d'une candidate".

Les candidats socialistes à la candidature pour la présidentielle seront enregistrés en septembre, et les adhérents au PS feront leur choix en novembre.

Mme Royal, 52 ans, a encore expliqué que les contributions étaient très nombreuses sur le site internet qu'elle a ouvert à ses sympathisants, et dont elle va faire un livre.

Outre Mme Royal, les anciens Premiers ministres Laurent Fabius et Lionel Jospin, le premier secrétaire du PS et compagnon de Mme Royal François Hollande, les anciens ministres Jack Lang et Dominique Strauss-Kahn sont les candidats déclarés, virtuels ou supposés du camp socialiste pour l'Elysée en 2007.

Ségolène Royal surfe depuis plusieurs mois en tête des sondages, une popularité qui agace ses concurrents dans le parti, qui lui reprochent plus ou moins ouvertement de jouer la carte du charme et de la féminité, en l'absence d'un programme précis pour diriger le pays.

Ignorant ces critiques, la candidate potentielle à l'Elysée continue de poser les petits cailloux d'un discours de proximité, sur des thèmes concrets et souvent renouvelés tels que la famille, l'éducation, le service national, la sécurité ou l'artisanat.

Une "politique payante du coucou", loin des grands discours de ses rivaux, déclarait récemment à l'AFP le président socialiste du Conseil régional d'Ile-de-France Jean-Paul Huchon.

Ségolène Royal confirme qu'elle compte être candidate en 2007



Ségolène Royal a confirmé son intention de briguer l'investiture du Parti socialiste en vue de l'élection présidentielle de 2007.

"La route n'est pas simple, elle est semée d'embûches. Mais voila, c'est dit", a déclaré la présidente de la région Poitou-Charentes, invitée d'un "chat" internet sur LCI.fr.

"Ce qui pourrait me faire renoncer, c'est si quelqu'un d'autre est mieux placé que moi pour faire gagner la gauche, et à ce moment-là, je le soutiendrai sans aucune réserve", a-t-elle ajouté.

Jusqu'à cette semaine, Ségolène Royal restait prudente, au moins sémantiquement, sur son éventuelle candidature à l'investiture du PS, mettant en avant son travail à la tête de sa région qu'elle a ravie à la droite au printemps 2004.

Elle avait franchi un nouveau pas vers sa candidature mardi soir. Interrogée sur Canal+ par l'humoriste Jamel Debbouze dans l'émission Le Grand Journal, elle avait reconnu qu'elle serait "probablement" candidate, "si ça reste comme ça".

Deux sondages, rendus publics mardi et mercredi, la donnent gagnante face à Nicolas Sarkozy si le second tour de l'élection présidentielle avait lieu aujourd'hui.

"Je n'ai pas demandé ce qui m'arrive. Je n'ai pas été programmée pour cela", a-t-elle expliqué au millier d'internautes connectés sur le site internet, promettant "d'intensifier travail", notamment au sein du Parti socialiste.

PAS DE "COMMENTAIRE DES COMMENTAIRES"

Depuis le début du mois de février, Ségolène Royal s'est lancée dans une série de déplacements dans les fédérations socialistes.

Elle sera notamment à Brest jeudi, où le maire, François Cuillandre, devrait lui apporter son appui, puis à Metz samedi, avant un nouveau rendez-vous dans le Pas-de-Calais, où elle avait été fraîchement accueillie en février.

"En ce moment, les gens me rejoignent et viennent travailler avec moi, créent dans toute la France des groupes "Désir d'avenir" pour travailler justement, pour réfléchir (...) Tous ces ralliements me donnent des possibilités nouvelles mais des obligations nouvelles aussi. Je n'ai aucun droit, je n'ai que des devoirs", a souligné la député des Deux-Sèvres, pour qui renoncer "serait indigne" de ces soutiens.

Sans entrer dans les détails, elle a souhaité pour 2007 "un projet à gauche, une volonté profonde de changement".

Cette envolée médiatique - pas moins de quatre couvertures d'hebdomadaires la semaine dernière, le 20h00 de TF1 jeudi et le plateau de Canal+ mardi - est accueillie avec scepticisme par une partie des dirigeants socialistes.

"J'ai toujours pensé que ce qui était le plus important c'était le projet", a déclaré mercredi sur France Info l'ancienne ministre des Affaires sociales Martine Aubry.

Pour l'ancien Premier ministre Laurent Fabius, l'un des trois autres candidats déclarés à l'investiture socialiste, avec Jack Lang et Dominique Strauss-Kahn, c'est "l'expérience" qui doit primer.

Des critiques en creux que Ségolène Royal balaie d'un revers de main. "Je m'interdis de commenter les commentaires et de me commenter moi-même", a-t-elle souligné sur LCI.fr.

"Je suis toujours favorable au débat, à tout ce qui est utile pour éclairer l'intelligence citoyenne et défavorable à tout ce qui est inutile ou qui divise les socialistes", a-t-elle ajouté.

Pour le PS, la question du maintien de Villepin se pose

La question du maintien de Dominique de Villepin à Matignon se pose après le retrait de son contrat première embauche (CPE), à l'issue de deux mois de crise, a déclaré un porte-parole du Parti socialiste.

"Je regardais hier sur les bancs de l'Assemblée nationale (...) la tête de M. de Villepin et je me demandais s'il n'avait pas déjà la tête de quelqu'un qui s'apprêtait à partir", a dit Julien Dray, invité de l'émission Questions d'Info-La Chaîne parlementaire Assemblée nationale-France Info.

"Je ne suis pas devin mais j'avais le sentiment que, quelque part dans sa tête, cette idée-là cheminait", a-t-il ajouté. "Se demander 'à quoi je sers finalement et qu'est-ce que je peux faire et est-ce que je suis encore utile?' (...), je pense qu'en ce moment, en se levant le matin, il doit se poser cette question-là."

Julien Dray a estimé que la décision du gouvernement de surseoir à des mesures d'interdiction de fumer dans les lieux publics illustrait le "vrai problème qui est posé désormais".

"On a un Premier ministre qui est très affaibli et qui a un problème d'autorité. Et la vraie question qu'on se pose c'est: peut-il encore rester à Matignon et peut-il diriger le pays encore pendant 11 mois (jusqu'à l'élection présidentielle de 2007), ce qui est très long?", a-t-il poursuivi.

Il a cependant estimé qu'il serait "trop facile" de dire que la crise du CPE était "la faute à M. de Villepin" car "tout le gouvernement et toute l'UMP (ont) voté le CPE".

"Donc je ne vois pas pourquoi on ferait porter toute la charge aujourd'hui sur M. de Villepin, alors que toute l'UMP était derrière M. de Villepin, et tout le gouvernement, et (le ministre de l'Intérieur Nicolas) Sarkozy n'était pas le dernier à revendiquer la paternité au départ de ce CPE", a conclu le député socialiste.

Ils parlent beaucoup mais je suis certain que les socialistes sont maitres de l'immobilisme !! Qui a crée la TUC si ce n'est pas eux ? et les contrats aidés ?

Citation :

Evaluation des aides à l’emploi dans le secteur non marchand

Demandeur : ministère de l’emploi et de la solidarité

Le ministère de l’emploi et de la solidarité dispose d’études sur le comportement des acteurs du secteur marchand (sur les entreprises multi-utilisatrices des aides à l’emploi, notamment), il ne dispose en revanche que d’éléments concernant le secteur non marchand et souhaite pousser les investigations sur les logiques d’utilisation des aides en ce domaine.

Les dispositifs d’aide à l’emploi se sont fortement développés à partir du milieu des années 1980 (PIL, PLIF, TUC) ; ils ont connu une expansion notable à partir du début des années 1990, avec la mise en œuvre des CES (1990), des CEC (1992) et des " emplois jeunes " (fin 1997). Si l’aspect quantitatif est connu, il est nécessaire d’apprécier ce que ces dispositifs ont produit : le volume d’emplois aidés et le recul sont suffisants pour que l’on puisse étudier les diverses logiques à l’œuvre. De surcroît, les statuts de ces emplois ont fortement évolué dans le temps, et les dispositifs proposés à l’étude sont - parmi l’ensemble des emplois aidés - ceux dont l’effet sur l’emploi et le chômage est le plus élevé.

Les ministères de l’intérieur, de la jeunesse et des sports, de l’éducation nationale, de l’économie, des finances et de l’industrie, de l’aménagement du territoire et de l’environnement, de la culture et de la communication, sont associés à ce projet.

La composition de l’instance est en discussion.

Durée souhaitée : un an.

Intérêt général et opportunité

Le projet concerne l’ensemble des dispositifs d’aide à l’emploi dans le secteur non marchand mis en œuvre depuis le milieu des années 80 : travaux d’utilité collective (TUC), programmes d’initiative locale (PIL), remplacés en 1990 par les contrats emploi solidarité, les emplois ville et les contrats emplois consolidés (CEC). Le programme " nouveaux services-nouveaux emplois " (les emplois-jeunes), en dépit de son caractère innovant, s’inscrit dans la continuité de cette politique dont il constitue le plus récent développement.

L’intérêt d’évaluer cette politique résulte d’abord de son importance quantitative : 444 000 personnes étaient titulaires d’un contrat de travail aidé dans le secteur non marchand à la fin de l’année 1998. L’intérêt du projet résulte également du fait que les mesures à évaluer visent pour l’essentiel les publics dont l’accès à l’emploi est le plus difficile, et qui bénéficient le moins de la reprise actuelle de l’emploi. Parallèlement à cet objectif d’insertion, les dispositifs d’aide à la création d’emploi dans le secteur non marchand ont également pour finalité, et cela depuis la création des TUC, de favoriser le développement d’activités nouvelles répondant à des besoins insuffisamment pris en compte par les services publics et les entreprises privées.

Sur fonds de permanence de ces deux objectifs, l’évolution des dispositifs a été marquée par un mouvement de pérennisation et de consolidation des statuts d’emploi, avec la création des CEC puis des emplois-jeunes, ces derniers se traduisant en outre par une nouvelle segmentation au sein du public cible.

Faisabilité

Les questions posées par le projet d’évaluation élaboré par le ministère de l’emploi et de la solidarité concernent classiquement l’effet net de cette politique sur l’emploi et le chômage, l’efficacité des dispositifs en termes de réinsertion professionnelle des bénéficiaires, leur impact sur la gestion de l’emploi et de développement de l’activité dans les organismes employeurs, l’apparition de nouveaux métiers et de nouvelles compétences, la révélation d’une nouvelle demande de services, solvable ou non.

Méthodes et suggestions

Compte tenu du nombre et de la qualité des études déjà réalisées relativement à certaines de ces questions, le Conseil national de l’évaluation recommande d’en effectuer un bilan précis, et de réserver les nouvelles études aux points qui ont été jusqu’ici insuffisamment étudiés :

Quel est l’impact à long terme du passage en emploi aidé sur les parcours professionnels des bénéficiaires ?

Est-il possible d’analyser en termes économiques la valeur créée par les activités développées grâce aux emplois aidés ?

Quel est l’impact de ces emplois sur la gestion des ressources humaines dans le secteur public (effets de substitution, amorce d’une nouvelle segmentation ou mise en place d’une nouvelle modalité de recrutement des agents publics) ?

La gestion des dispositifs par le service public de l’emploi est-elle favorable à la mobilisation du secteur associatif ?

Ces différentes questions valent pour l’ensemble des dispositifs considérés. Cependant, l’évaluation devra également prendre en compte et analyser les innovations, voire les ruptures, introduites par le programme " nouveaux services-emplois jeunes ", du point de vue notamment des préoccupations suivantes :

La priorité accordée au développement d’activités répondant à une véritable demande sociale potentiellement solvable.

Le renforcement d’une logique de professionnalisation (l’identification de nouveaux métiers).

La volonté de passer d’une logique de guichet à une logique de projet, instaurant une nouvelle forme de coopération entre l’administration et le secteur associatif.

Instance d’évaluation

S’agissant des modalités de pilotage de cette évaluation, il semble préférable d’opter pour une instance d’évaluation de taille réduite composée de personnes disponibles et compétentes, disposées à s’investir fortement pendant toute la durée de l’évaluation. Quitte pour cette instance à procéder à des auditions, ou à s’élargir ponctuellement à un groupe plus nombreux comprenant l’ensemble des partenaires administratifs, ou non, susceptibles d’avoir un point de vue pertinent sur les questions étudiées

________________



Evaluation du programme " nouveaux services-emplois jeune "
dans le champ d’intervention du ministère de la jeunesse et des sports

Demandeur : ministère de la jeunesse et des sports

Projet complémentaire du précédent, dont l’approche était plus vaste et davantage macro-économique ; les problématiques ne sont pas identiques, puisque le projet " jeunesse et sports " s’intéresse aux questions de formation-qualification et au développement de nouvelles activités : en effet, le secteur, déjà familiarisé avec une démarche d’aide aux associations peut envisager la question de la professionnalisation des jeunes ayant bénéficié du programme. De façon adjacente, ce projet permet de s’interroger sur les mécanismes de l’alternance et les entrées en apprentissage.

Des enquêtes sont prévues sur les répercussions de ce programme en matière de convention collectives, de regroupement d’employeurs, etc. Le programme d’enquêtes, très détaillé, est prévu en six phases, seules les trois premières font partie de cette évaluation qui devrait apporter ses premiers résultats d’ici un an.

Ministères concernés : le ministère de la jeunesse et des sports, le ministère de l’économie, des finances et de l’industrie, le ministère de l’emploi et de la solidarité et le ministère de l’intérieur.

Durée souhaitée : 15 mois.

Intérêt et opportunité

Le choix de ce domaine particulier de l’action publique pour évaluer de manière approfondie les effets du programme " nouveaux services-nouveaux emplois " semble pertinent, compte tenu de la dynamique quantitative qui s’y dessine (30 000 emplois créés au 1er janvier 1999), et du rôle joué par les associations (60% des emplois créés l’ont été par des associations). C’est également dans ce secteur que le pari de la " solvabilisation " progressive de nouvelles activités par le marché a le plus de chance d’être gagné.

A contrario, toutes les conclusions de cette évaluation ne seront pas nécessairement transposables à d’autres secteurs utilisateurs des emplois-jeunes. Par ailleurs, certaines questions importantes telles que le devenir professionnel des jeunes à l’issue des contrats ne pourront recevoir de réponse avant plusieurs années. Il convient donc de considérer le projet d’évaluation figurant dans le présent programme comme la première étape d’un projet de plus longue échéance qui cherchera à mesurer et analyser ex-post les effets du programme sur l’emploi et les parcours professionnels des bénéficiaires.

Faisabilité

Le projet élaboré par le ministère de la jeunesse et des sports, très complet et détaillé, aborde l’ensemble des questions que l’on peut se poser au sujet du programme : impact sur le développement des activités, impact sur le développement de l’emploi, impact sur la situation des jeunes, impact sur les organismes employeurs, impact sur les formations et les diplômes propres au ministère de la jeunesse et des sports, impact sur la coopération inter-institutionnelle au plan local et central. Pour chacun de ces items, les rédacteurs du projet ont prévu des méthodes qui paraissent bien adaptées. Par ailleurs, de nombreuses études locales pourront être utilisées.

Méthodes et suggestions

Compte tenu des délais souhaitables et des moyens disponibles, des priorités devront être fixées. La réalisation en parallèle d’une évaluation sur l’ensemble de l’emploi dans le secteur non marchand suggère de s’attacher plus particulièrement à l’analyse des évolutions induites par le programme dans le champ d’activité de la jeunesse et des sports, en termes de nature des activités développées grâce au programme, d’impact sur les compétences, les formations et les diplômes, d’impact sur le tissu associatif et les relations entre ce dernier et les administrations, ainsi que de partenariat inter-administratif.

Instance d’évaluation

Dans le but d’assurer une bonne coordination entre les deux évaluations relatives aux emplois aidés dans le secteur non marchand (et notamment une complémentarité des programmes d’étude), il convient qu’au minimum une personne soit membre des deux instances d’évaluation chargées de les piloter.

Que pensez vous de l'ISF ? Faut il la garder ? la supprimer ou tout simplement la réformer ?

Je suis personnellement pour la derniere solution !!

Wehrling (Verts): Ségolène Royal ne représente pas un renouvellement

PARIS (AFP) - Yann Wehrling, secrétaire national des Verts, a estimé mardi que Ségolène Royal n'incarnait pas un "renouvellement" au Parti socialiste, puisqu'elle est dans "le champ politique" depuis des années.

Interrogé sur LCI sur le fait de savoir si la présidente de la région Poitou-Charentes, candidate socialiste préférée des Français pour 2007 selon les sondages, "incarnait un renouvellement au PS", le dirigeant Verts a répondu "non".

"Renouvellement, ce serait un grand mot" car "Ségolène Royal est dans le champ politique depuis un certain nombre d'années et elle était la conseillère du président François Mitterrand".

Toutefois, a-t-il souligné, "la nouveauté est qu'une femme puisse prétendre à la présidence de la République", ce qui est "une évolution de la société que je trouve positive".

Par ailleurs, M. Wehrling a exclu une nouvelle fois une candidature unique de la gauche à la présidentielle de 2007, en soulignant que les Verts présenteront une candidature au premier tour pour que leurs "choix soient clairement entendus", notamment sur le nucléaire.

"Seuls les Verts aujourd'hui disent clairement qu'il faut sortir du nucléaire", a-t-il précisé.

Le premier tour du vote des adhérents Verts pour le choix de leur candidat à la présidentielle a eu lieu vendredi dernier et le résultat devrait être connu à la fin de cette semaine.

@ AFP

Citation :

Interrogé sur LCI sur le fait de savoir si la présidente de la région Poitou-Charentes, candidate socialiste préférée des Français pour 2007 selon les sondages, "incarnait un renouvellement au PS", le dirigeant Verts a répondu "non".

On parle d'une soi-disante union de la gauche mais à voir les réactions que suscitent la candidature de certains montrent qu'une union ne se réalisera pas!!

Il est des "infos" ou "unfaux" croustillantes comme celle qui suit, que j'adore :

JUSTICE : Le frère de Ségolène Royal soupçonné d'escroquerie

Citation :

Selon Le Parisien, ce dernier aurait été convoqué par la police judiciaire dans une affaire d'escroquerie à la CPAM des Vosges.

Les socialos côté "affaires douteuses" y sont champions, vous me direz, la droite couille molle a aussi sont lot de casseroles au cul

Thierry

Je pense qu'il faut supprimer cet impor injuste et inéfficace ... ISF = Incitation à Sortir de France !

La faute ne vient pas seulement de la gauche (si seulement ...) ! Une bonne partie de la droite a aussi "collaboré" à propos de l'ISF, soit en refusant de supprimer, de réformer cet impôt.

Citation :

La droite "n'a pas le monopole de l'amour de la France", a déclaré samedi François Hollande

Pitoyable la réponse du flan socialiste, 1er secrétaire d'un parti complice de l'UMP.

Et de surcroït hypocrite :

Citation :

"Nous aimons la France autant que les autres, mais la France généreuse, universelle (...)celle qui n'exclut personne", a ajouté François Hollande à Lyon.

Il l'aime tellement que lui et son parti n'ont eu de cesse de la faire tomber de charybde en scylla, et si aujourdhui nous sommes dans une belle merde, c'est à cause de cet "amour généreux et universel" qui à privilégié l'immigration, le multiculturalisme et leurs nuisances au détriment des intérêts des Français, des vrais !

VEGA Thierry

Israël et Ségolène Royal

Lisez attentivement cet article, pour ma part, cela me conforte dans mon opinion à propos de faits relatés se rapportant à un certain "protocole" nous avertissant d'un danger précis du à un "certain empire invisible"

Les faits auraient tendance à se vérifier, mais bref je ne voudrais pas être taxé d' anti-si......, déjà que l'étqiette de Facho me colle à la peau !

VEGA Thierry

Cheu nous il est un adage : "quand on parle du Leu (loup), on y voit la queue"

Aprés la "louve du poitou" les médias s'intéressent à sa queue Le brave flan ayant le titre pompeux de 1er secrétaire du P.S

Le nouvel Obs titre : Premier meeting présidentiel pour le MJS

Citation :

"Ce soir, nous avons eu l'honneur et le privilège de vous présenter le seul et unique candidat que nous soutenons, le projet", a affirmé le président du MJS, Razzye Hammadi, lançant un avertissement à peine voilé aux "présidentiables" socialistes, sous les yeux de François Hollande et d'Henri Emmanuelli.

Un Président couleur locale, qui nous donne la preuve que la discrimination n'existe pas chez les jeunes socialistes

Et Rance2 d'en rajouter une couche : Le MJS fait entrer le PS en campagne

Citation :

Un millier d'entre eux, très engagés dans la lutte contre le CPE, ont exprimé leurs exigences à l'égard de leurs aînés. Ils ont ainsi décliné "12 propositions pour 2007" devant le premier secrétaire du PS, François Hollande.

Les présidents de l'UNEF (étudiants), Bruno Julliard, et de l'UNL (lycéens), Karl Stoeckel, sont intervenus à la tribune.

les agitateurs DémocraSSiques ont eu pignon sur rue lors de ce metinge !

A la vision de toute cette agitation rose, j'espére que les Français comprendrons qu'il ne faut pas commettre l'erreur irréparable de laisser une seule chance aux Socialos d'approcher le Pouvoir !

VEGA Thierry

Dernière minute : Segoléne nous le confirme, les Mammouths sont bien une espèce éteinte

Thierry

Citation :

Segoléne nous le confirme, les Mammouths sont bien une espèce éteinte

Sauf que là, elle les fait rugir les mamouths du PS ! C'est très positif pour la droite française ! Un peu de taquinneries, de critiques, de moqueries, etc.

Citation :

Lisez attentivement cet article, pour ma part, cela me conforte dans mon opinion à propos de faits relatés se rapportant à un certain "protocole" nous avertissant d'un danger précis du à un "certain empire invisible"

On peut dire la même chose concernant les nations arabes, les américains, les latinos, les asiatiques, etc. Chaque peuple a intérêt que les hommes politiques préservent leurs intérêts et assurent leurs visions des choses ! Vous voyez un président français étant incapable de gérer la crise israélo-arabe ?!

VEGA Thierry a écrit:

Israël et Ségolène Royal

Lisez attentivement cet article, pour ma part, cela me conforte dans mon opinion à propos de faits relatés se rapportant à un certain "protocole" nous avertissant d'un danger précis du à un "certain empire invisible"

Les faits auraient tendance à se vérifier, mais bref je ne voudrais pas être taxé d' anti-si......, déjà que l'étqiette de Facho me colle à la peau !

VEGA Thierry

Si tu nous parles du protocole des sages du sion, je te signale qu'il est reconnu comme un faux, dans un 1er temps, et que Hitler s'en est beaucoup inspiré pour justifier sa politique d'extermination des juifs.

Seb le gaulliste a écrit:

Si tu nous parles du protocole des sages du sion, je te signale qu'il est reconnu comme un faux, dans un 1er temps, et que Hitler s'en est beaucoup inspiré pour justifier sa politique d'extermination des juifs.

Mon expérience dans ce domaine est basée sur un principe simple :



Faux ou pas, il est des faits qui confirment que le danger est présent, et qu'il faut tout faire pour l'éliminer.

Le fait de culpabilser l'occident sur sa "colonisation", le fait d'attiser les haines revendicatives (émeutes raciales anti-Française de l'automne dernier), le fait d'une gauche et d'une extrême gauche (radio J) qui veut nous imposer de force le "multiculturalisme", le fait que cette même gauche, comme la droite (Radio J) couille molle (UMPS) encourage l'immigration et le métissage, le fait qu' il est indéniable que l'information et la culture sont controlées pas cet "empire invisible", le fait de vouloir instaurer un "monde sans frontiére", autant de faits qui font ce que ce protocole n'est pas un faux, et que le danger est réel.

Ces faits ne sont pas une projection de ma parono anti-s...., ils sont flagrants, palpables dans le vie de tout les jours.

OUI, ce protocole n'est pas un faux, c'est une une réalité flagrante que nous subissons et qui provoquera la destruction de notre civilisation chrétienne occidentale, si nous ne réagisssons pas !

VEGA THierry

VEGA Thierry a écrit:

Seb le gaulliste a écrit:

Si tu nous parles du protocole des sages du sion, je te signale qu'il est reconnu comme un faux, dans un 1er temps, et que Hitler s'en est beaucoup inspiré pour justifier sa politique d'extermination des juifs.

Mon expérience dans ce domaine est basée sur un principe simple :

" il n'y a pas de fumée sans feu"

Faux ou pas, il est des faits qui confirment que le danger est présent, et qu'il faut tout faire pour l'éliminer.

Le fait de culpabilser l'occident sur sa "colonisation", le fait d'attiser les haines revendicatives (émeutes raciales anti-Française de l'automne dernier), le fait d'une gauche et d'une extrême gauche (radio J) qui veut nous imposer de force le "multiculturalisme", le fait que cette même gauche, comme la droite (Radio J) couille molle (UMPS) encourage l'immigration et le métissage, le fait qu' il est indéniable que l'information et la culture sont controlées pas cet "empire invisible", le fait de vouloir instaurer un "monde sans frontiére", autant de faits qui font ce que ce protocole n'est pas un faux, et que le danger est réel.

Ces faits ne sont pas une projection de ma parono anti-s...., ils sont flagrants, palpables dans le vie de tout les jours.

OUI, ce protocole n'est pas un faux, c'est une une réalité flagrante que nous subissons et qui provoquera la destruction de notre civilisation chrétienne occidentale, si nous ne réagisssons pas !

VEGA THierry

Qui critique la France sur la colonisation ? la gauche ? Etonnant en effet vu que c'est elle qui à l'époque l'a fait. On se souvient des propos des Ferry, Blum et compagnie.

D'ailleurs je viens de voir sur France 3 Serge Moati qui prétendait que Vichy c'était la droite. Cet inculte oublie sans doute que les députés socialistes ont voté les pleins pouvoirs à Pétain et que certains comme Déat, Doriot, Renaudel et Mitterrand ont même participé à la politique de collaboration.

La gauche ne devrait pas être aussi moralisatrice surtout quand on a du sang sur les mains !

Moati, l'exemple même du journaliste aux ordres du PS, du parti de la décadence de la France ... Ce vieux papi gateux ne devrait même plus être présent face aux caméras ! Quelle honte ! Quel gros c*n !

La parenthèse est fermée ...

nouvelle campagne de publicité au PS: preuve qu'ils ne savent pas quoi faire de leur argent:

"Pour soutenir Jack Lang: Adhérez au Parti socialiste avant le 31 mai 06 pour 20 €seulement" !!

Quelle honte !! Car attention après le prix augmente

Mon dieu!!! je viens de voir le film Le promeneur du champ de Mars



Inadmissible que l'on fasse ainsi l'apologie d'un tyran sanguinaire .C'est une atteinte grave au peuple français.

Citation :

Dominique Strauss-Kahn n'est pas content. L'ancien ministre de l'Economie et des Finances n'a pas apprécié que l'actuel ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy, utilise - et selon lui, déforme - ses récentes déclarations sur la régularisation des clandestins. Et sur son propre blog, DSK lance une invitation au président de l'UMP. « Plutôt que de chercher à utiliser la peur et à polémiquer inutilement, Nicolas Sarkozy devrait plutôt accepter de débattre sur l'immigration comme sur les autres sujets. On pourrait même choisir un terrain neutre. Pourquoi pas le blog de Loic Le Meur ? », propose le candidat à la candidature présidentielle du parti socialiste. Il y a quelques mois, Loic Le Meur qui est également vice-président de la plate-forme d'édition de blogs SixApart, avait réalisé les tout premiers podcasts vidéo d'hommes politiques. Parmi lesquels, ceux de Nicolas Sarkozy et de Dominique Strauss-Kahn.

Affaire à suivre......................

si, si

Thierry

A-t-il si peur d'un VRAI débat homme à homme, face à face notre DSK ?!