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Soutien à Nicolas Sarkozy pour 2007
 
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Ségolène Royal est-elle une "vraie" menace pour Nicolas Sarkozy ?
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MessageSujet: chez nos amis les socialistes   royal - chez nos amis les socialistes EmptyJeu 27 Oct - 1:38:44

Dans une interview pour le journal Libération du 25 octobre, Jean-François Copé, porte-parole du gouvernement, a dénoncé le « culot » de Laurent Fabius, lorsqu’ il qualifie de « copinage fiscal » l’exonération de 75% de l’ISF pour les actionnaires d’entreprises. Car c’est bien ce même Laurent Fabius qui est à « l’origine de la première exonération de l’impôt sur la fortune en sortant les oeuvres d’art de son assiette! » rappelle-t-il.

Dans un communiqué, Pierre Méhaignerie, président de la Commission des finances de l’Assemblée nationale, et Gilles Carrez, rapporteur du Budget, ont qualifié « de démagogiques et caricaturaux » les propos de l’ancien Premier ministre socialiste et qui ne reflètent en rien l’esprit de cette mesure « dont le but est de renforcer l'attractivité du territoire, de lutter contre les délocalisations, et de favoriser l'emploi dans notre pays et la stabilité des capitaux propres ».

Aux attaques portant sur le budget, Jean-Copé a objecté que l’exonération de 75% des actions d’entreprises sur l’ISF coûterait « moins de 100 millions d’euros» alors qu’en même temps l’Etat va consacrer un milliard d’euros pour l’augmentation de la Prime pour l’emploi, « une mesure de justice » qui vise à revaloriser « les rémunérations des salariés les plus modestes ». Quand à la réforme de l’impôt sur le revenu, les principaux bénéficiaires seront les classes moyennes : « la réforme concentre sur eux 80 % de la baisse globale de l'impôt ». Au final, en 5 ans, « l'impôt sur le revenu de 3,5 millions de contribuables aura baissé de 30 % ! ».


Pour Jean-Claude Gaudin, qui s’exprimait sur Europe 1, la surenchère à laquelle se livre le Parti socialiste ne peut profiter « qu’aux groupuscules de gauche qui s’associent actuellement avec le Parti communiste pour essayer de faire une espèce de révolution sociale un peu partout, chaque fois qu’on le peut ». « Le PS est un parti de gouvernement. A trop jouer ce jeu -là, il n’aura pas le vote des Français, comme il l’espère, et ce sera tant mieux » a-t-il conclu.


Dernière édition par le Dim 26 Nov - 18:22:15, édité 3 fois
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MessageSujet: chez nos amis les socialistes   royal - chez nos amis les socialistes EmptyLun 31 Oct - 18:59:11

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Arrow
DSK pense déjà à 2007

Le député PS entend exposer son projet pour la présidentielle "à partir du lendemain du congrès du Parti socialiste", du 18 au 20 novembre.

Le député du Val d'Oise Dominique Strauss-Kahn, candidat à la candidature, au sein du PS, pour la présidentielle de 2007, a déclaré dimanche 30 octobre qu'il entendait exposer son projet aux Français "à partir du lendemain du congrès du Parti socialiste", du 18 au 20 novembre au Mans.
Invité du "Grand rendez-vous" d'Europe 1, il a déclaré qu'"il faut créer l'alternative sur des idées et sur un projet. Nous ne gagnerons qui si nous montrons aux Français que (...) nous avons un chemin à leur tracer. Et moi, je veux, à partir du lendemain du congrès du Parti socialiste, montrer ce chemin aux Français".

Soutien à Hollande

"La division de la gauche n'est pas la seule cause de notre échec" en 2002. "Ce que nous avons proposé aux Français, et j'en prends ma part de responsabilité, n'était pas un projet susceptible de les conduire sur les dix ans qui viennent", a-t-il dit.
Dominique Strauss-Kahn a ensuite énoncé les qualités requises pour être chef de l'Etat. "Un président, c'est quelqu'un qui est capable donner des grandes orientations au pays, qui est capable de trancher en cas de crise, qui est capable de représenter la France dans les relations avec les grands de ce monde (...)".
Il a enfin estimé que si la motion de François Hollande gagne le congrès du Mans, "la majorité sera stable, cohérente", précisant que "plus elle sera large, mieux ce sera".
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MessageSujet: Re: chez nos amis les socialistes   royal - chez nos amis les socialistes EmptyMar 1 Nov - 0:41:42

Citation :
"Ce que nous avons proposé aux Français, et j'en prends ma part de responsabilité, n'était pas un projet susceptible de les conduire sur les dix ans qui viennent", a-t-il dit.

Pour le moment, les partis de gauche n'ont toujours pas changer de programme. Leurs seul convictions proposez les idées contraire du gouvernement. En gros, il font leurs courses,

Pour le moment, le seul gouvernement qui a oser faire quelques chose, qui à fait des réformes justes, c'est celui de Monsieur Jean-Pierre Raffarin, que j'apprécie beaucoup.
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MessageSujet: Re: chez nos amis les socialistes   royal - chez nos amis les socialistes EmptyMar 1 Nov - 1:08:46

Au PS, le compte à rebours du vote est lancé


GAUCHE A dix jours du vote des militants, la motion de François Hollande reste favorite. Mais tout dépendra de la mobilisation.

PLUS que dix jours pour convaincre. Les militants socialistes seront appelés à départager les cinq motions présentées au congrès du Mans le 9 novembre. Les dirigeants du parti entrent donc cette semaine dans la dernière ligne droite : ils seront tous sur le terrain. Mercredi, François Hollande et Dominique Strauss-Kahn s'afficheront ensemble à Pau. Le lendemain, Laurent Fabius sera dans l'Essonne, le département de son allié Jean-Luc Mélenchon. Le même jour, Henri Emmanuelli, représentant de la motion du Nouveau Parti socia liste, rencontrera les salariés de Hewlett-Packard à Grenoble... «Tout n'est pas joué», assure-t-on de part et d'autre.


A l'approche du scrutin, les discours se sont inversés. Il y a quelques semaines, la direction de François Hollande ne cachait pas sa confiance. Aujourd'hui, l'expert des fédérations, François Rebsamen, feint de s'inquiéter : le résultat dépendra de la «mobilisation». «Si il n'y a que 90 000 votants [sur les 127 000 adhérents du PS], on a perdu», affirme-t-il. Les fabiusiens, de leur côté, ont retrouvé une assurance qui semblait perdue. Laurent Fabius n'hésite pas à dire : «Si le vote se fait à partir du débat, nos idées sont majoritaires.»


Les rapports de force ont en réalité peu évolué : Fran çois Hol lande bénéficie toujours de l'appui des plus grosses fédérations. Or, l'influence des élus locaux est déterminante. «Les marges de manoeuvre pour faire bouger les lignes sont très limitées», dit un membre de la majorité. Un élu d'une des minorités avoue son pessimisme : «La victoire de Hollande sera nette».

«Eviter la réédition de Rennes»


Ce qui ne signifie pas que les résultats sont sans enjeu. L'écart de voix entre la majorité et l'opposition sera déterminant. Un parti divisé en deux parts quasi égales pourrait devenir rapidement ingouvernable. Pour réaffirmer une autorité contestée après le référendum de mai, François Hollande aurait besoin d'une majorité large. Rien n'est moins sûr.


La concurrence fait rage aussi entre la motion de Laurent Fabius et celle de Vincent Peillon, Arnaud Montebourg et Henri Emmanuelli. L'ancien premier ministre espère arriver devant le Nouveau Parti socialiste en position de force. «Je mets en garde ceux qui seraient en train de jouer à qui sera la plus grosse minorité», explique David As sou line, sénateur NPS de Paris. Dans l'entourage de Fabius, on assure constater «beaucoup de ralliements» venus de la motion NPS.


A écouter le débat houleux à la Mutualité, il y a deux semaines, on peut s'interroger sur le climat du futur congrès. Il faut «éviter la réédition du congrès de Rennes», met en garde Jack Lang. «Ce n'est pas du tout la même atmosphère», veut croire Jean-Paul Huchon, tandis que Rebsamem rappelle : «On a déjà fait des synthèses entre des textes plus contradictoires.» Les résultats du 9 novembre détermineront l'ambiance du Mans.
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MessageSujet: Re: chez nos amis les socialistes   royal - chez nos amis les socialistes EmptyMar 1 Nov - 1:11:00

Ils sont déjà six sur les rangs

PS : désignations, mode d'emploi


Les socialistes auront recours deux fois à des primaires dans les mois à venir. Dans les deux cas, choix du candidat de la majorité puis du candidat à l'Elysée, il y a un précédent

Le modèle 1988 : désignation du candidat du courant majoritaire
Le 13 mai 1988, dans la salle Clemenceau du Sénat, le courant majoritaire du PS désigne celui qui sera le premier secrétaire du parti. Avant même l'ouverture de la campagne électorale qui vient de se conclure par la réélection triomphale de François Mitterrand, Lionel Jospin a annoncé qu'il renonçait à son poste à la tête du PS afin d'entamer une carrière ministérielle. Pour le remplacer, il y a un candidat officiel, soutenu par l'Elysée : Laurent Fabius. Mais au dernier moment un concurrent se déclare : Pierre Mauroy. Les deux hommes appartiennent au courant majoritaire du PS. D'où l'organisation d'une primaire dont le but est de sélectionner celui qui portera les couleurs de ce courant lors de la désignation officielle du nouveau premier secrétaire. C'est encore l'époque où le patron du PS est élu non pas directement par les militants du parti mais par les membres du comité directeur. En bonne logique, seuls les 117 délégués mitterrando-mauroyistes sont donc convoqués, le 13 mai, pour une primaire interne dans laquelle Laurent Fabius part largement favori. Au final, c'est pourtant Pierre Mauroy qui l'emporte avec 63 voix contre 54 à son rival, victime de la défection inattendue des représentants des Bouches-du-Rhône. Deux jours plus tard, Mauroy sera élu premier secrétaire par l'ensemble du comité directeur, les autres courants - rocardien et chevènementiste - ayant renoncé à présenter des candidats contre lui.

Et en 2007 ?
La procédure suivie en 1988 pour choisir un candidat au poste de premier secrétaire peut-elle être reprise pour la sélection d'un candidat à la présidentielle ? Confronté à la multiplicité des ambitions au sein de son propre courant, François Hollande vient d'en avancer l'idée. Le but de l'opération ? faire en sorte que l'actuelle majorité du PS se rassemble d'emblée derrière un champion unique pour affronter Laurent Fabius lors du premier tour de la primaire devant l'ensemble des militants. Pour cela, deux conditions doivent être réunies : obtenir l'accord de principe des candidats à la candidature et trouver une procédure acceptable par tous. Sur le papier, la première condition est désormais remplie. La seconde en revanche ne l'est pas. La sélection de ce candidat unique par les membres du conseil national appartenant à l'actuelle majorité (modèle 1988) - avec ou sans les premiers secrétaires fédéraux ? - paraît inadaptée pour une candidature à la présidentielle. La réunion - a posteriori - des délégués du courant, lors du congrès du Mans, pose des problèmes de méthode et de légitimité. L'ouverture aux sympathisants aurait quelque chose d'incongru dès lors qu'il s'agit de choisir le simple candidat d'un courant. Dans cette affaire, l'objectif de François Hollande est davantage l'affichage d'un objectif - le rassemblement de son courant - que le choix d'une procédure. Plus qu'une solution, il recherche un semblant d'ordre. Et c'est déjà beaucoup !

Le modèle 1995 : désignation du candidat
Le 3 février 1995, à une très large majorité, 103 000 militants socialistes désignent Lionel Jospin comme candidat de leur parti à l'élection présidentielle prévue trois mois plus tard. Avec plus de 65% des voix, celui qui n'est alors que simple conseiller général de Cintegabelle devance largement le premier secrétaire du PS, Henri Emmanuelli, pourtant soutenu par l'appareil du parti et poussé en avant par toute la mitterrandie, à commencer par Laurent Fabius. C'est la première fois dans l'histoire du PS - et la dernière à ce jour - que le champion socialiste dans la course à l'Elysée est choisi dans de telles conditions.
En 1974, 1981 et 1988, François Mitterrand - comme Lionel Jospin en 2002 - n'avait pas eu de concurrent au sein du parti. Si, en 1981, Michel Rocard était allé jusqu'au bout de ses ambitions contre François Mitterrand, la rivalité entre les deux hommes aurait d'ailleurs été réglée, selon les statuts alors en vigueur au PS, dans le cadre d'un congrès et non pas dans celui d'une désignation au suffrage direct des militants. L'exemple de 1995 montre que ce nouveau mode de désignation qu'on appelle primaire privilégie le poids des personnalités et affaiblit du même coup celui de l'appareil.

Et en 2007 ?
Même si Lionel Jospin revient et même si quelques-uns des compétiteurs aujourd'hui affichés finissent par renoncer, il y a fort à parier que plusieurs candidats brigueront, au final, l'investiture du PS. Ce sera d'ailleurs la grande nouveauté d'une compétition dont la date a d'ores et déjà été fixée au mois de novembre 2006. Les socialistes, on l'a vu, ont déjà expérimenté, en 1995, le duel dans le cadre d'une primaire. Ils n'ont jamais été confrontés à une situation où la multiplicité des ambitions entraînerait l'organisation d'un second tour, aucun candidat n'ayant obtenu au premier - comme l'exigent les statuts du PS - la majorité des suffrages militants. Dans ce cas de figure, seuls les deux candidats arrivés en tête pourront participer au tour décisif. Concrètement, cela signifie qu'au sein de l'actuelle majorité l'enjeu principal sera de sélectionner le ou la candidate qui devra affronter Laurent Fabius, au second tour, devant les militants du PS.
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MessageSujet: Re: chez nos amis les socialistes   royal - chez nos amis les socialistes EmptyMar 1 Nov - 1:17:22

Merci pour cette recherche.
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MessageSujet: Re: chez nos amis les socialistes   royal - chez nos amis les socialistes EmptyMar 1 Nov - 1:18:34

Laurent Fabius: "Il est tout à fait légitime" que Lionel Jospin écrive un livre



PARIS (AP) - Le député socialiste de Seine-Maritime Laurent Fabius a estimé lundi "tout à fait légitime" que Lionel Jospin écrive un livre.

L'ancien Premier ministre socialiste lui "a envoyé ce livre avec une dédicace gentille", a commenté Laurent Fabius sur Europe-1. "J'ai commencé de lire, c'est un livre intéressant".

"Il y a des points avec lesquels je suis tout à fait accord, il y a des points avec lesquels on peut avoir des désaccords mais il est tout à fait légitime que Lionel Jospin puisse écrire un livre", a-t-il assuré.

Si Lionel Jospin "a dit 'je me retire de la politique active', cela ne l'empêche pas d'écrire un livre quand même", s'est exclamé l'ancien Premier ministre socialiste.

Interrogé sur les propos de Dominique Strauss-Kahn qui a déclaré dimanche ne pas "imaginer" que Laurent Fabius "se présente contre le PS", l'intéressé a rétorqué: "il a raison et réciproquement". AP
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MessageSujet: Re: chez nos amis les socialistes   royal - chez nos amis les socialistes EmptyMar 1 Nov - 1:20:18

La question d'une candidature Jospin en 2007 "ne se pose pas", tranche "DSK"



PARIS (AP) - Lui-même prétendant à l'investiture du PS pour 2007, Dominique Strauss-Kahn a estimé dimanche que la question d'une candidature de Lionel Jospin à la prochaine présidentielle "ne se posait pas" et que l'ancien Premier ministre n'était "pas la solution à lui seul".

Interrogé au "Grand rendez-vous" Europe-1/TV5 sur l'attitude qui serait la sienne si l'ancien Premier ministre briguait la candidature du PS en 2007, "DSK" a écarté cette hypothèse d'un revers de main: "J'ai dit qu'étant candidat à la candidature, je n'avais pas de raison a priori de retirer cette candidature. D'ailleurs, la question ne se pose pas".

"Lionel Jospin est un homme qui pèse ses mots, qui n'aime pas qu'on le fasse parler comme une marionnette. A aucun moment, que je sache, il n'a dit qu'il souhaitait être candidat à la candidature, donc il n'y a pas de raison de vouloir créer une situation hypothétique", a-t-il fait valoir.

Jeudi, sur France-2, Lionel Jospin n'avait pas écarté formellement de postuler à l'Elysée en 2007: "A partir de 1995 (date de sa première candidature présidentielle, NDLR) et peut-être même avant, j'ai été une solution pour le Parti socialiste, quand même, avec les autres. Je n'ai pas l'intention de devenir un problème", avait-il expliqué.

Revenant sur ces propos, "DSK" reconnaît que Lionel Jospin "apporte beaucoup de solutions" et "pèse son poids" dans les débats du PS en vue de son congrès de la mi-novembre. Mais "il n'est pas la solution à lui seul", a glissé l'ancien ministre de l'Economie.

Enfin, Dominique Strauss-Kahn a écarté toute possibilité de candidature dissidente au sein du PS en 2007. "Il n'y aura évidemment qu'un seul candidat représentant le PS", a-t-il affirmé. Et si son rival Laurent Fabius n'était pas investi par les militants socialistes en novembre 2006, "je n'imagine pas" qu'il "se présente contre le PS", a conclu "DSK". AP
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MessageSujet: Re: chez nos amis les socialistes   royal - chez nos amis les socialistes EmptyMar 1 Nov - 1:20:49

Citation :
je me retire de la politique active

Non c'est :

Citation :
Je me retire de la vie politique
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MessageSujet: Re: chez nos amis les socialistes   royal - chez nos amis les socialistes EmptyMar 1 Nov - 1:21:29

Le NPS tente de relancer la campagne avant Le Mans


PARIS (Reuters) - Congrès du "sursaut", Parti socialiste en danger de "mort clinique", dernier vote "avant le désert": le Nouveau Parti socialiste hausse le ton avant le rendez-vous du Mans et tente de relancer une campagne interne marquée par la lassitude des militants après la bataille de la Constitution européenne.

A dix jours du vote dans les fédérations, le 9 novembre, les cofondateurs du courant, Arnaud Montebourg et Vincent Peillon, préconisent à nouveau un changement de direction à la tête du parti au risque de perdre tout crédit auprès des militants et des Français avant la prochaine présidentielle.

"De quoi aurions-nous l'air si, dans quelques jours, le seul message que nous adressions à l'opinion publique était: 'rien n'a changé, la direction est la même, l'orientation politique demeure identique' ?", s'interroge dimanche Arnaud Montebourg dans un entretien le quotidien Sud-Ouest.

"Depuis trois ans, trop de temps a été perdu: la gauche est divisée, nous le sommes aussi, aucune espérance n'est identifiée. Le congrès du Mans, le dernier avant 2007, doit donc être celui du sursaut", renchérit Vincent Peillon dans les colonnes du Journal du Dimanche.

Désormais alliés à Henri Emmanuelli, les deux hommes sont en campagne pour la "motion 5", qu'ils défendront lors du congrès du Mans, du 18 au 20 novembre.

Le programme avec lequel ils entendent remettre le PS en état de marche en vue de 2007 s'organise autour de trois grands axes: institutionnel, avec le passage à la VIe République, salarial et européen - suppression du Pacte de stabilité et de croissance et renégociation de la Constitution à la clé.

Pour Benoît Hamon, "troisième homme" du NPS, il reste trois semaines pour "absolument redonner de l'intensité politique à un débat interne qui s'enlise".

LE NPS "MENOTTÉ" ?

Depuis le début de la campagne, mi-septembre, la direction "hollandaise" manie carotte et bâton face aux militants. D'un côté, elle insiste sur les similitudes entre les différentes motions et de l'autre elle met en garde contre le chaos que représenterait à ses yeux une victoire des minoritaires.

"Il faut dire que si nous gagnons, il y aura un vrai changement au PS alors qu'il n'y a pas une seule idée nouvelle dans la motion 1 (défendue par François Hollande) par rapport au programme présidentiel de 2002" de Lionel Jospin, explique Benoît Hamon, qui rejette à nouveau toute alliance "a priori" avec Laurent Fabius.

"Voter NPS au Mans, ce n'est pas choisir Fabius pour 2007. Nous ne sommes menottés à personne et surtout pas par une quelconque logique présidentielle", martèle-t-il.

Mais ce qui frappe surtout le député européen, qui enchaîne sur le terrain les "assemblées générales contradictoires" pour présenter la motion NPS-Emmanuelli, c'est la démobilisation des militants, tous courants confondus.

Depuis l'électrochoc de 2002, ils ont été sollicités pour le congrès de Dijon en 2003, les élections régionales, cantonales et européennes de 2004 et se sont éreintés dans la bataille de la Constitution européenne pendant plus d'un an.

Dans les réunions publiques, "on fait le plein, les gens viennent mais ils ont le sentiment que leurs voix pèseront très peu sur le projet du PS pour 2007", analyse Benoît Hamon, qui voit dans cette désaffection un des "effets pervers de la Ve République, la personnalisation à l'extrême de la vie politique".

Pour éviter que la présidentielle ne parasite tous les débats à venir, le Nouveau Parti socialiste milite désormais pour l'accélération du calendrier de désignation du futur candidat socialiste, officiellement fixée à la fin 2006 par François Hollande.

Le trop-plein de candidats PS - au moins huit "éléphants" se sont déclarés candidats à la candidature - est "désobligeant pour les militants, ridicule pour les intéressés, irresponsable pour les Français", souligne Vincent Peillon dans le JDD.

Malgré la réapparition remarquée de Lionel Jospin sur la scène médiatique cette semaine, pas question pour le NPS que l'ancien Premier ministre revienne dans le jeu socialiste.

"Son retour (...) assombrirait l'horizon politique de la gauche", tranche sans appel Arnaud Montebourg.
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MessageSujet: Re: chez nos amis les socialistes   royal - chez nos amis les socialistes EmptyMar 1 Nov - 1:22:45

Citation :
Nouveau Parti socialiste


Le NPS, mais ils sont divisé par combien à gauche?
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MessageSujet: Re: chez nos amis les socialistes   royal - chez nos amis les socialistes EmptyMar 1 Nov - 1:24:18

voila la réponse :

Citation :
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MessageSujet: Re: chez nos amis les socialistes   royal - chez nos amis les socialistes EmptyMar 1 Nov - 1:30:18

Que du bon pour nous Smile
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MessageSujet: Re: chez nos amis les socialistes   royal - chez nos amis les socialistes EmptyMer 2 Nov - 0:20:30

le ps démagogue ?!?

A BON ?!? ... Mr.Red Twisted Evil

bien sur que oui c'est fabius qui a commencé a vouloir supprimé ou plutot réformé en partie l'isf ... Laughing ce bon vieux libéral, il est franchement cool !!! cheers
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MessageSujet: Re: chez nos amis les socialistes   royal - chez nos amis les socialistes EmptyMer 2 Nov - 0:50:30

:: Mobi-tests :: a écrit:
Que du bon pour nous Smile
non !!!!
ne crois pas que c'est gagné ...
nous a l'ump, il y a sarko, de villepin, dupont aignan ...
et a droite, l'ump et l'udf de bayrou, le mpf, le fn, le mnr ... Shit Evil or Very Mad
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MessageSujet: Re: chez nos amis les socialistes   royal - chez nos amis les socialistes EmptyDim 6 Nov - 17:26:28

PS: les congrès qui ont fait date

PARIS (AP) - Du congrès de Rennes de 1990 de sinistre mémoire à l'abandon des oripeaux marxistes au congrès de Toulouse en 1985, retour en arrière sur les grands congrès qui ont jalonné l'histoire du Parti socialiste, entre combats sur la ligne et querelles d'hommes:

- Le congrès d'Epinay (Seine-Saint-Denis), 11 au 13 juin 1971:

C'est l'unification de la famille socialiste, le baptême du PS né des cendres d'une SFIO usée, qui a raté le coche de mai 1968 et n'a pas su se qualifier au second tour de la présidentielle de 1969. Avec l'appui de l'aile gauche du parti emmenée par Jean-Pierre Chevènement et des puissantes fédérations des Bouches-du-Rhône de Gaston Defferre et du Nord de Pierre Mauroy, François Mitterrand rafle le contrôle du PS. Il promet la rupture avec le capitalisme et entreprend de nouer un accord de gouvernement avec le Parti communiste. Ce sera le Programme commun, signé en juin 1972.

- Le congrès de Metz (Moselle), 6 au 8 avril 1979:

Alors que se profile la présidentielle de 1981, la réunion vire au duel entre François Mitterrand et Michel Rocard, chantre d'une "deuxième gauche" plus réaliste sur le plan économique. Mitterrand écrase son rival, impose sa candidature pour l'Elysée et sa ligne d'union de la gauche, malgré la rupture du Programme commun en 1977. Mandaté par Mitterrand, Laurent Fabius tire à boulets rouges sur Michel Rocard. Un échange restera dans les annales. Alors que Rocard lance à la tribune qu'"entre le plan et le marché, il n'y a rien", Fabius réplique: "Entre le plan et le marché, il y a le socialisme".

- Le congrès de Toulouse (Haute-Garonne), 11 au 13 octobre 1985:

Après s'être frotté aux difficultés du pouvoir depuis 1981 avec François Mitterrand à l'Elysée, contraint de prendre le "tournant de la rigueur" en 1983, le PS abandonne ses velléités marxisantes de rupture avec le capitalisme et infléchit sa ligne dans un sens plus "réaliste" et social-démocrate. C'est le sacre du jeune Premier ministre Laurent Fabius et de sa politique de poursuite de la rigueur, amorcée avant lui par Pierre Mauroy.

- Le congrès de Rennes (Ille-et-Vilaine), 15 au 18 mars 1990:

C'est le cauchemar du PS, le congrès repoussoir dont le traumatisme reste encore vif. Toutes les sensibilités ont décidé de se compter et pas moins de sept motions sont en lice dans une ambiance délétère qui tourne au combat fratricide entre jospiniens et fabiusiens, tous deux héritiers de Mitterrand. Aucune majorité ne peut être formée pour diriger le parti. Pierre Mauroy est finalement réélu à la tête du PS dans les jours qui suivent. C'est la dernière fois que les fabiusiens se sont comptés (28% des voix).

- Le congrès de Dijon (Côte-d'Or), 16 au 18 mai 2003:

C'est le dernier congrès en date. Sonné par le traumatisme du 21 avril 2002 où Lionel Jospin a été évincé du premier tour de la présidentielle, le PS tente de se remettre sur pied. François Hollande, soutenu par les "éléphants" -dont Laurent Fabius-, est largement réélu face aux minorités du "Nouveau PS" et de "Nouveau monde". Hollande impose sa ligne, le "réformisme de gauche", mais peine à en définir les contours. AP
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MessageSujet: Re: chez nos amis les socialistes   royal - chez nos amis les socialistes EmptyDim 6 Nov - 17:27:08

Le congrès du PS, mode d'emploi


PARIS (AP) - Du renouvellement des instances dirigeantes au choix de la ligne politique, un congrès socialiste est un rituel bien codifié. Petit rappel des principales étapes:

- le congrès du PS se tient tous les trois ans et le prochain aurait dû avoir lieu en mai 2006. Le 4 juin dernier, le PS a toutefois décidé de convoquer un congrès anticipé du 18 au 20 novembre au Mans dans la Sarthe. S'en est suivi une première phase de débat sans vote sur les 18 contributions générales et les quelque 220 contributions thématiques déposées début juillet, sortes de brouillon des motions.

- le 17 septembre, le PS a réuni son conseil national (son "Parlement") pour enregistrer les cinq motions finalement déposées. Ces textes sont soumis au vote des militants et fixent l'orientation du parti et sa direction pour trois ans.

- mercredi 9 novembre de 18 à 22h : les 127.414 militants à jour de cotisation votent dans les 3.500 sections socialistes pour départager les cinq motions en lice. Les premiers résultats devraient être connus dans la soirée ou dans la nuit de mercredi à jeudi.

- du 10 au 13 novembre: des congrès départementaux vont se tenir pour désigner les 614 délégués du congrès national. Les fédérations qui comptent 50 à 100 adhérents ont droit à un délégué, celles de 100 à 250 adhérents à deux délégués, avec un délégué supplémentaire par tranche de 250 adhérents.

- le 18 novembre: ouverture du congrès du Mans. Le soir même ou le lendemain, les délégués se réunissent en "assemblées de motions" pour établir la liste de leurs candidats au conseil national (le "Parlement"). Ils peuvent aussi décider si leur courant présentera un candidat au poste de Premier secrétaire.

- Le 19 novembre au soir, étape cruciale, la "commission des résolutions" se réunit pour tenter de parvenir à une synthèse entre les différentes motions, comme le prévoient les statuts du parti. Faute d'accord, c'est la ligne de la motion majoritaire qui s'impose.

Il n'y avait pas eu d'accord lors du dernier congrès de Dijon en mai 2003 entre la motion Hollande (61,37%), le "Nouveau PS" d'Arnaud Montebourg et Vincent Peillon (16,88%), "Nouveau monde" d'Henri Emmanuelli et Jean-Luc Mélenchon (16,33%) et la "motion militante" de Marc Dolez (4,38%). Le petit courant Utopia (1,05%) avait rallié François Hollande.

- Le 20 novembre, dernier jour du congrès, les 204 postes du conseil national sont attribués à la proportionnelle des résultats des motions. Le bureau national et le secrétariat national ("gouvernement" du PS) sont désignés après le congrès. Les motions qui ont obtenu moins de 5% ne sont pas représentées dans les instances de direction.

- Le 24 novembre, soit après le congrès, le Premier secrétaire est désigné. Il est élu à bulletin secret par l'ensemble des militants. Il doit obtenir la majorité absolue pour être élu au premier tour. Sinon, seuls les deux candidats arrivés en tête peuvent participer au second tour, prévu le 25 novembre.

Candidat à sa propre succession, François Hollande a été élu à ce poste le 27 novembre 1997 par 91,18% des voix. Il a été réélu au congrès de Grenoble (novembre 2000) avec 96,88% et au congrès de Dijon (mai 2003) avec 84,7% des voix. AP
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MessageSujet: Re: chez nos amis les socialistes   royal - chez nos amis les socialistes EmptyDim 6 Nov - 17:27:55

Congrès du PS: les mesures clés des principales motions


PARIS (AP) - Principales propositions des trois grandes motions déposées par François Hollande ("Volonté, vérité, unité"), Laurent Fabius et Jean-Luc Mélenchon ("Rassembler à gauche") et le trio Peillon-Montebourg-Emmanuelli ("Nouveau PS") pour le congrès du Mans.

EMPLOI ET SALAIRES

- Salaires: Laurent Fabius veut porter le Smic à 1.400 ou 1.500 euros d'ici 2012.

- Chômage: François Hollande veut diviser le chômage par deux d'ici 2012 et propose pour ce faire d'asseoir en partie les cotisations sociales patronales sur la valeur ajoutée produite par l'entreprise, et plus seulement sur les salaires. But: encourager les patrons à embaucher. Une mesure également préconisée par Laurent Fabius. Tous veulent imposer un malus aux entreprises qui ont trop souvent recours aux contrats précaires.

- Licenciements: François Hollande propose un "contrat de reclassement" d'un an pour garantir salaire et droits sociaux; "NPS" et Henri Emmanuelli veulent même autoriser les pouvoirs publics à s'opposer à des plans sociaux dictés par la recherche du profit.

- Tous veulent généraliser les 35 heures.

- Tous promettent l'abrogation du "contrat nouvelles embauches".

FISCALITE

- Impôt sur le revenu: tous proposent de fusionner l'impôt sur le revenu et la contribution sociale généralisée pour rendre l'impôt plus progressif. François Hollande veut même supprimer la CSG sur les salaires inférieurs à 1,3 Smic, ce qui reviendrait selon lui à accorder un 13e mois et rendrait inutile la PPE. Le trio Montebourg-Peillon-Emmanuelli veut fondre la CSG, l'impôt sur le revenu et les impôts locaux dans "un seul impôt universel". Tous s'engagent à revenir sur les baisses d'impôt consenties depuis 2002 et la réforme fiscale prévue pour 2007.

- Impôts locaux: François Hollande veut prendre en compte les revenus dans leur calcul.

- Stock-options: François Hollande veut taxer plus lourdement les indemnités de départ et stock-options. Favorables à cette idée, "NPS" et Henri Emmanuelli veulent aussi taxer les revenus du capital au même niveau que ceux du travail.

LOGEMENT

- Logement social: François Hollande propose de tripler les pénalités imposées aux communes qui ne construisent pas 20% de logements sociaux (150 euros actuellement); Laurent Fabius veut supprimer toute subvention publique aux communes en infraction.

- Loyers: Laurent Fabius veut limiter leur hausse à celle des prix de la consommation.

- Accès à la propriété: le tandem "NPS"-Emmanuelli veut que les personnes locataires depuis plus de dix ans puissent se voir proposer d'acheter leur logement.

RETRAITES

- Tous promettent d'abroger la loi Fillon. François Hollande s'y est engagé oralement après les critiques sur sa motion, qui évoque simplement une "négociation" en 2007 sur les retraites.

SERVICES PUBLICS

- Tous promettent de renationaliser le service public de l'énergie, à commencer par EDF. François Hollande s'y est engagé oralement, alors que cela ne figure pas dans sa motion.

INSTITUTIONS ET SOCIETE

- République: "NPS" veut instaurer dès 2007 une "VIe République" où le chef de l'Etat se contente d'arbitrer et transfère les pouvoirs de gouvernement au Premier ministre.

- Cumul des mandats: tous préconisent que les parlementaires ne puissent pas détenir d'autre mandat. François Hollande propose qu'on ne puisse pas faire plus de trois mandats consécutifs (deux pour le chef de l'Etat).

- Vote des immigrés: François Hollande et Laurent Fabius veulent soumettre le droit de vote des immigrés au référendum; "NPS" et Henri Emmanuelli plaident pour le droit de vote aux élections locales.

- Homosexualité: François Hollande et le tandem "NPS"-Emmanuelli veulent ouvrir le mariage aux couples homosexuels et avancer sur l'adoption; Laurent Fabius évoque simplement de "nouveaux droits". AP
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MessageSujet: Re: chez nos amis les socialistes   royal - chez nos amis les socialistes EmptyDim 6 Nov - 17:28:26

L'avenir du PS entre les mains des militants


PARIS (AP) - L'heure de vérité a sonné pour François Hollande, Laurent Fabius et le "Nouveau PS". C'est mercredi, au terme d'une morne campagne interne, que les 127.000 militants socialistes vont départager les cinq motions en lice pour le congrès du Mans. Un vote crucial qui déterminera la ligne politique du parti, ses instances dirigeantes et pèsera lourd dans le choix du candidat pour la présidentielle de 2007.

Les 127.414 militants à jour de cotisation auront quatre heures, de 18 à 22h, pour trancher. Exception notable, des bureaux de vote seront ouverts dès le matin dans le Pas-de-Calais, plus grosse fédération avec 12.000 adhérents. Secret oblige, des urnes et isoloirs seront installés dans les 3.500 sections et les concurrents pourront envoyer des assesseurs s'ils redoutent des fraudes. Le dépouillement débutera dès 22h et les premiers résultats devraient être connus dans la nuit.

Les militants ont dû ingurgiter 353 pages de motions: celle de la majorité de François Hollande; de Laurent Fabius; du trio Peillon-Montebourg-Emmanuelli; du "social-libéral" Jean-Marie Bockel; et du petit groupe Utopia. Sur le fond, les idées se recoupent dans les trois grands textes sur la généralisation des 35 heures, la fusion de l'impôt sur le revenu et de la CSG ou l'abrogation des lois Raffarin-Villepin.

Partisan d'un virage à gauche, Laurent Fabius a toutefois jeté un pavé dans la mare en proposant un Smic à 1.500 euros d'ici 2012 ou une "renationalisation" d'EDF. Jugé trop "flou" par ses opposants, François Hollande a dû revoir sa copie sur les lois votées par la droite ou EDF.

Pas sûr, pourtant, que les militants se déplacent massivement après une terne campagne. Consciente qu'une forte affluence l'avantagerait, la direction sortante, plutôt confiante, joue désormais la carte de la dramatisation. Ainsi François Hollande met-il sa démission dans la balance en prévenant qu'en dessous de 50% il ne briguera pas de nouveau mandat de Premier secrétaire, poste qu'il occupe depuis novembre 1997. D'autres, tels Jack Lang, ressortent du placard le fantôme du congrès fratricide de Rennes de 1990.

Tout dépendra du résultat du vote mercredi. Si la majorité sortante, soutenue par Lionel Jospin et de grosses fédérations telles que les Bouches-du-Rhône, l'emporte largement avec près de 55% (61,37% en 2003), François Hollande est réélu. Un scénario pour l'heure privilégié, Laurent Fabius n'ayant pas réussi à fédérer les tenants du "non" au PS.

Mais les "Hollandais" peuvent aussi recueillir un score étriqué. Le PS serait alors coupé en deux, ce qui relancerait inévitablement les spéculations sur un retour de Lionel Jospin, très présent dans les médias depuis la sortie de son livre ("Le Monde comme je le vois").

Soit, enfin, les minoritaires raflent la mise, ce qui ouvrirait un boulevard à Laurent Fabius pour 2007. Coleader du "NPS", Vincent Peillon pourrait alors récupérer le fauteuil de François Hollande. Cela suppose toutefois un accord entre les deux courants, qui s'annonce délicat. Aucun des deux ne veut en effet arriver derrière l'autre. Les "fabiusiens", qui ne se sont pas comptés depuis Rennes (28% à l'époque), espèrent 20% et "NPS" 25%.

Reste une question: un congrès anticipé, pour quoi faire? Convoquée dans la foulée du référendum européen du 29 mai, la réunion du Mans (18 au 20 novembre) semble avoir surtout pour but de remettre de l'ordre dans un PS englué dans le clivage oui-non. Le projet pour 2007, que le congrès était censé entériner, ne sera validé qu'en mars 2006. Au grand dam de ceux qui, tel "NPS", rêvent d'un aggiornamento pour doter le parti d'une matrice idéologique autre que le "réformisme de gauche" aux contours flous, imposé par les "Hollandais" en 2003.

Ce congrès fera en tout cas figure de primaire pour 2007. Bien que François Hollande ait pris soin de renvoyer à novembre 2006 le choix du champion du PS, les ambitions plus ou moins avouées pullulent. Dans la majorité, Dominique Strauss-Kahn, Martine Aubry, Jack Lang ou Ségolène Royal sont déjà sur les rangs. "Leur rassemblement sur la motion s'arrêtera dès que les lumières du congrès du Mans s'éteindront", prédit, mordant, le fabiusien Claude Bartolone. AP
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MessageSujet: Re: chez nos amis les socialistes   royal - chez nos amis les socialistes EmptyDim 6 Nov - 18:07:35

Violences urbaines: Vincent Peillon contre la démission de Nicolas Sarkozy


PARIS (AP) - Le député socialiste européen Vincent Peillon a estimé dimanche que la flambée de violences qui touche actuellement plusieurs villes françaises témoigne d'"une crise nationale importante", mais il s'est prononcé contre la démission du ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy.

"C'est une crise très profonde et je crois que c'est une crise des banlieues et c'est une crise, très au-delà, de la société française et même de l'identité française qui se révèle à travers la crise des banlieues", a expliqué le co-fondateur du Nouveau parti socialiste (NPS) lors du Forum de Radio J. "Je pense que nous vivons une crise nationale importante".

S'il a jugé que "les propos de Nicolas Sarkozy mais aussi son action" sont "incontestablement une cause déclencheuse" des violences actuelles, Vincent Peillon a toutefois estimé que le ministre de l'Intérieur ne devait pas démissionner sous la pression de la rue.

"Si on veut le respect de l'Etat républicain, quel que ce soit ce que je pense de Nicolas Sarkozy, non, le ministre de l'Intérieur n'a pas à démissionner parce que des gens qui brûlent des voitures lui demandent", a-t-il déclaré. "Honnêtement, c'est du bon sens".

Selon lui, "nous n'avons pas, les uns et les autres, à surfer politiquement ou pas sur la démission de Nicolas Sarkozy. Les Français jugeront le bilan".

Le député socialiste européen a également assuré ne rien attendre d'une éventuelle intervention de Jacques Chirac sur ce dossier. "Le président de la République coûte très cher à la France depuis plusieurs années, alors qu'il parle ou qu'il ne parle pas, ça ne changera rien".

"Il n'y a rien à attendre de Jacques Chirac, si ce n'est qu'il s'en aille", a-t-il ajouté, rappelant qu'il avait voté pour lui en 2002 "mais (qu')on savait que cet homme était un incapable profond, un incompétent et un homme assez malhonnête au fond".

Enfin, Vincent Peillon a jugé que "les conflits qu'il y a à l'intérieur du gouvernement ont beaucoup compté dans cette affaire, parce que la première préoccupation est une préoccupation de marquage à la culotte entre le Premier ministre et le ministre de l'Intérieur".

La France paie en ce moment "en grande partie" la guerre Villepin-Sarkozy, a-t-il souligné. "Il ne faut pas réduire cette crise très profonde que nous vivons à ça, mais elle est là et, dans l'étincelle, ça compte". AP
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MessageSujet: Re: chez nos amis les socialistes   royal - chez nos amis les socialistes EmptyDim 6 Nov - 20:18:45

Citation :
S'il a jugé que "les propos de Nicolas Sarkozy mais aussi son action" sont "incontestablement une cause déclencheuse" des violences actuelles

Mais où vas le monde? Faut se laisser marcher dessus comme de la merde, comme on a fait pendant plus de 18 ans (avant j'été pas née Mr. Green ) Question
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MessageSujet: Re: chez nos amis les socialistes   royal - chez nos amis les socialistes EmptyDim 6 Nov - 20:20:35

moi j avais un an quand tu es né!! Mais bon en tout cas, lui est honnête il ne veut pas la démission de Sarkozy!!
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MessageSujet: Re: chez nos amis les socialistes   royal - chez nos amis les socialistes EmptyDim 6 Nov - 20:23:19

Johanna a écrit:
moi j avais un an quand tu es né!! Mais bon en tout cas, lui est honnête il ne veut pas la démission de Sarkozy!!
Attention la gauche sa peut-être lêche cul par devant et Censuré par derrière Mr.Red
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MessageSujet: Re: chez nos amis les socialistes   royal - chez nos amis les socialistes EmptyDim 6 Nov - 20:28:44

peut etre qui sait ?? je ne suis pas socialiste ?
Un sondage disait vendredi que les français étaient anti capitaliste !! Moi j y crois à moitié!!!
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MessageSujet: Re: chez nos amis les socialistes   royal - chez nos amis les socialistes EmptyDim 6 Nov - 20:32:22

Et? Tu peut être de droite et avoir des idées de gauche. Pas toutes heureusement Mr. Green
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