chez nos amis les socialistes

Il n'est pas digne. Comme il sait que FReche le soutient pour 2007, il n'a meme pas le courage de le sanctionner.

Qu'est ce que serait avec Sarko!!!!

Qui sera le candidat ps...?

Pour l'instant Ségolène Royal est en tête, même sur ce forum !!!

nicolasledur a écrit:

Pour l'instant Ségolène Royal est en tête, même sur ce forum !!!

Oui. Mais je ne pense pas qu'elle sera la candidate...

je pense qu'ils seront très nombreux les candidats PS.

emmanuel a écrit:

moi aussi je le préfère à HOLLANDE car il est libéral dans l'ame.

Tu rigoles toi ou quoi ?! C'est lui qui souhaites encadrer les mesures de licenciement, c'est lui qui souhaite nationaliser EDF/GDF, c'est lui qui veut metttre le SMIC à 1500 euros, c'est lui qui est contre le CPE/CNE, c'est lui qui est pour les emplois jeunes ...

Je te rappelle que suis Sarkozyste et je te dis que le moins pire de tous est DSK.

Si le PS ne porte pas Royal en candidate il perdra à coup sûr. Il n'y a qu'elle qui peut rivaliser avec Sarkozy, tant sur le plan idéologique que communication. Et puis Royal peut rassembler pas mal de monde, elle a son origine à gauche, mais elle est bien dans l'aile droite, elle peut prendre un peu au centre. Elle a toutes ses chances donc !

Je partage ce que tu dis, mais je ne suis pas d'accord avec le fait que notre zapaterreur nationale ait une idéologie, un programme en clair ... Démontres moi le contraire alors

Elle persiste et signe la bougresse d'anesse du poitou, à la place de "fraise des bois", je me méfirai, y a du cocufiage dans l'air !

Ségolène Royal loue à nouveau Tony Blair dans un journal britannique

LONDRES (AFP) - Ségolène Royal rend à nouveau hommage à Tony Blair dans le Guardian vendredi, un mois après avoir loué le Premier ministre britannique dans une interview à un autre quotidien londonien.
"Il y a des choses avec lesquelles je ne suis pas d'accord, comme la guerre en Irak, mais je reconnais qu'il a donné un merveilleux élan à son pays", déclare au Guardian la personnalité de gauche la mieux placée, selon les sondages, pour la prochaine présidentielle en France.

Mme Royal s'était attirée des reproches au sein du PS en déclarant le 2 février au Financial Times son adhésion à certains aspects de la politique de Tony Blair, dont l'investissement dans les services publics, ou les mesures contre le chômage des jeunes.

La présidente de la région Poitou-Charentes (ouest) se décrit dans le Guardian comme une "sociale-démocrate", et appelle à "de nouvelles solutions qui réconcilient le progrès social, la réduction des inégalités et l'efficacité économique".

Elle s'en prend dans le Guardian, sans les citer, à ceux qui mettent en cause la "légitimité" de son éventuelle candidature.

"Si un homme avait été conseiller du président de la République comme je l'ai été pour le président Mitterrand pendant sept ans, s'il avait été ministre trois fois et élu député quatre fois de suite comme je l'ai été, s'il avait battu le Premier ministre de l'époque lors des dernières élections régionales comme je l'ai fait, est-ce qu'il verrait sa légitimité contestée et sa capacité à gouverner mise en cause ?", demande la députée socialiste, avant de répondre elle-même : "Non".

"Je me sens rationnelle et sereine", dit par ailleurs Ségolène Royal, en assurant "travailler pour être prête si le moment devait venir".


Publié le: 03/03/2006 à 10:48:36 GMT Source : AFP

Thierry

EVA, le contre-CPE de Martine Aubry

L 'ancienne ministre du Travail lance ce vendredi une offensive contre le Contrat première embauche de l'UMP. Elle propose une nouvelle indemnisation mensuelle : "l'Entrée dans la vie active". Martine Aubry se défend de vouloir instaurer un RMI pour les jeunes. Son idée, au moyen d'un montage complexe, consiste à offrir un revenu aux jeunes, étudiants ou en recherche d'emploi. Les futurs actifs auraient ainsi leur autonomie contre un engagement à suivre une formation ou à chercher un emploi.


Donner leur autonomie aux jeunes

Comme le CPE, ce sont trois lettres : EVA pour "Entrée dans la vie active". Trois lettres pour contrecarrer le Contrat première embauche de l'UMP. L'idée vient de Martine Aubry, ancienne ministre du Travail, qui souhaite, avec le Parti socialiste, instaurer une nouvelle indemnisation pour les jeunes. Avant de donner plus de précisions ce vendredi (3 mars) à 19h30 lors d'une conférence de presse, elle se défend déjà de vouloir créer un nouveau RMI.

Au moyen d'une refonte des aides déjà existantes pour les jeunes actifs et les étudiants, Martine Aubry envisage donc une indemnisation mensuelle. Grâce à elle, les jeunes auraient une autonomie suffisante pour poursuivre leurs études ou chercher un emploi. Plus protecteur que le CPE, ce dispositif reposerait sur un montage complexe. En échange de ce revenu, les jeunes gens s'engageraient à suivre des formations ou à essayer de s'insérer dans la vie active. Une obligation que le RMI imposait aussi à l'origine...


La mobilisation étudiante perdure

Les occupations d'universités par des étudiants anti-CPE se multiplient un peu partout en France en attendant la mobilisation du 7 mars. Une grève à laquelle six syndicats de l'Anpe ont décidé de se joindre. A travers le pays une douzaine de facultés sont bloquées, sous forme de blocages ou de filtrages, selon un recensement de l'AFP et de l'Unef, principal syndicat étudiant. A Tours, la mobilisation a mal tourné vendredi : une centaine d'étudiants de l'IUT, évacués de leur établissement dans la matinée, se sont rendus dans les locaux du Medef. Lors de l'intervention des forces de l'ordre, une jeune fille a alors été légèrement blessée et conduite à l'hôpital.

Dans le Sud, c'est le site d'Aix-en-Provence de l'université d'Aix-Marseille I qui est bloqué depuis mercredi. A Paris, les assemblées générales estudiantines se multiplient, notamment à Censier. L'amphithéâtre y est occupé par plusieurs centaines d'étudiants autour d'un débat non pas "pour ou contre le CPE", mais '"pour ou contre le blocus des locaux". A Bordeaux mercredi, le ministre de l'Education nationale, Gilles de Robien, a estimé que ces occupations d'université représentaient "du temps perdu pour les jeunes", sa "seule inquiétude", étant le "chômage", et sa "seule certitude", "que le CPE va créer des emplois".

Source
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Incorrigible ces socialistes, pour solutionner un problême grave, ils ont recours à leur bonne vielle méthode de l'assistanat, comme si le RMI était une réussiste.

Une question : qui va financer , et qui va en supporter le financement, le département, la région ?

Je doute que cela soit possible, vu que le gouvernement actuel dans le cadre de la décentralisation doit un max de thunes aux régions et départements( justement en ce qui concerne le RMI).

Décidemment, les gonzesses du PS, n'ont pas leur pareil pour faire parler d'elles !

Thierry

Pauvre MArtine AUbry, quand on voit l'état de la Ville de Lille c'est encore pire que les petites villes dans lesquelles le FN est passée

Très honnêtement j'espère qu'en 2007 le PS soit pour de bon démocratiquement rayé de la carte

Citation :

Incorrigible ces socialistes, pour solutionner un problême grave, ils ont recours à leur bonne vielle méthode de l'assistanat, comme si le RMI était une réussiste.

L'assistanat est créateur de pauvreté, de stagnation voir de régression sociale et économique, de déficit intellectuel et culturel vis à vis de notre conception de la vie, de l'existence; et est un gaspillage économique du fait qu'il entretient un énorme gouffre financier ... P.Rosenvallon (économiste/sociologue) a d'ailleurs montré que l'Etat-Providence traditionnel est confronté à une crise financière (coût énorme), d'une crise d'efficacité (la pauvreté a-t-elle réellement décrue?), d'une crise de légitimité car le peuple ne souhaite plus cautionner de telles pratiques. Mettons-y donc FIN en 2007 en votant SARKOZY ! Votons libéral !

moi qui ait vécu 6 mois à LILLE, je peux vous dire que Pierre Mauroy est regretté.

emmanuel a écrit:

moi qui ait vécu 6 mois à LILLE, je peux vous dire que Pierre Mauroy est regretté.

Lille, poubelle de France ?

Non, Lille est une belle ville.

Ce n'est pas le sujet les amis.

La droite ferait bien de prendre Ségolène Royal très au sérieux

Dumait Alain - dimanche 26 février 2006


Il se dit que Ségolène Royal est conseillée par Christophe Lambert, Président de Publicis Conseil et auteur à succès de l’ouvrage « La société de la peur », paru chez Plon au mois d’août dernier.

L’auteur s’interroge sur le processus qui a fait basculer la société française, en moins de trente ans, de l’espoir à la peur. Ses réflexions inspirent la candidate socialiste. S’il en était besoin, on en a eu la preuve, le 2 février dernier, dans le quotidien britannique « Financial Times ». La dame de Niort y déclarait un soutien total à la ligne politique de Tony Blair, abhorré par les dirigeants du PS (à l’exception de Jean-Marie Bokel dont la motion, au congrès du Parti socialiste du Mans, le 22 novembre dernier, n’a pas réussi à atteindre la barre de 1 % des suffrages).

Le blairisme, vu de France, comporte différents aspects qui tous sont autant de leçons que les hommes politiques français seraient bien inspirés d’écouter, ce qui explique d’ailleurs leur commune détestation.
Quand Tony Blair arrive au pouvoir en 1997, il a 43 ans. Il doit à la mort accidentelle, en 1994, du précédent leader de son parti, John Smith, d’être alors Premier ministre. Sa première et principale décision est de conserver, même de poursuivre, les réformes mises en œuvre par Margaret Thatcher, malgré les réclamations bruyantes de l’aile syndicale du Labour. Le pouvoir des syndicats reste contenu. Les privatisations se poursuivent. Les dépenses publiques sont réduites. Le budget est équilibré. La législation sociale simplifiée. En Grande-Bretagne, la feuille d’impôt ne comporte que trois ou quatre lignes.

Le programme législatif de Tony Blair tient tout entier au dos de sa carte de visite. Pendant huit années, le succès économique est au rendez-vous. La Grande-Bretagne a rattrapé la France. Londres demeure, et de loin, la première place financière européenne. Les Anglais se félicitent tous les jours de ne pas avoir adopté les facilités de l’euro. Au plan économique, Tony Blair est un pragmatique, adepte de la flexibilité et de la concurrence. Mais c’est aussi un socialiste, partisan d’une forte redistribution des revenus par le biais de la fiscalité et des dépenses publiques, en particulier au profit des jeunes, des familles et des catégories défavorisées.


En politique étrangère, conformément à une longue tradition britannique, il privilégie toujours la relation transatlantique avec les États-Unis, quelle que soit la couleur politique du Président de la première puissance mondiale. C’est un socialiste qui croit au capitalisme, qui aime l’Amérique et qui défend l’Occident. Pour un observateur français, c’est évidemment un drôle de zèbre !...

Le blairisme n’est pas que ça. Le Premier ministre britannique s’est engagé dans le sens d’une politique de sécurité qui, en France, ferait frémir les bonnes âmes. Cette politique a évidemment été renforcée après les attentats de Londres du 7 juillet 2005. Un seul exemple parmi beaucoup d’autres : il y a Outre Manche un programme au terme duquel le nombre de caméras installées pour la surveillance de l’espace public passera bientôt de 2 à 20 millions d’appareils ! En France, nous n’en sommes qu’à quelque dizaine de milliers de ces mouchards, et les socialistes, en particulier à Paris, trouvent que cela fait déjà beaucoup…

En se livrant à ce panégyrique, Ségolène Royal, qu’on dit souvent prudente, jusqu’à préférer ne rien dire que d’en dire trop, s’est clairement et courageusement positionnée. En tout cas aussi loin (aussi bien) qu’on puisse l’attendre d’une candidate socialiste.

La presse internationale ne s’y trompe pas qui multiplie les portraits de la Présidente de la région Poitou-Charentes.
Nous examinerons ses déclarations à la loupe. Répondant aux questions du « Financial Times », au début du mois, elle a dit autre chose qui est passé à peu près inaperçu de mes confrères : elle prendra sa décision définitive en septembre prochain. Et de toute façon, ce sera elle ou son compagnon François Hollande. On a compris qu’ensemble ils feront obstacle à tout autre.

C'est très clair leur schéma ... la France aux mains du couple Hollande qui d'ailleurs n'est pas marrié.

Ce qui leur permettrait de cumuler les mandats à 2 , François le joufflu rougeaud à la grande finesse intellectuelle mais manquant de punch mais pas de ténacité. Et la Ségolène, rêche, aggressive et autoritariste derrière son sourire relooké par un chirurgien récemment.

De plus, ils ont un cabinet d'avocats d'affaire et un très gros réseau de copains dans l'administration et les grandes entreprises ...

A suivre , parce que Sarkozy à côté de ces deux là est un gentil centriste ...

Delanoë pour la Gayzidenzielle !

Bon allez, Ségolène ? Son père était Pinochetiste ^^

French elections

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Is this the face of France's first Madame la Présidente?

Despite her country's macho politics, Ségolène Royal is increasingly seen as a future leader

Kim Willsher in Paris
Friday March 3, 2006
The Guardian


Ségolène Royal. Photograph: Martin Bernetti/AFP



In the fusty and unrelentingly chauvinistic gentlemen's club of French politics Ségolène Royal is a one-woman revolution. Little more than a year from polling day in France and the phénomène Ségo is gathering strength. She is up against centuries of ingrained sexism, but there is a growing sense that this elegant luminary of the Socialist party could become France's first Madame la Présidente.
Opinion polls suggest the 2007 presidential elections will pit two of the country's brightest rising stars against one another: Ségo versus Sarko, the ambitious rightwing interior minister, Nicolas Sarkozy. Mr Sarkozy has had the good grace to say he respects his rival, and even President Jacques Chirac's wife Bernadette said she was a serious candidate "who might even win".


Article continues

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Such testimonials merely add to the air of confidence around Ms Royal, 52. "I am feeling rational and serene," she told the Guardian this week. "I am working to be ready should the moment eventually come."
Anything can happen in a year, but a Royal ascent looks a good bet. A survey in Le Figaro has put her ahead of Mr Sarkozy, while a survey for Elle magazine found that six out of 10 people said they would consider voting for her. Newsweek magazine went as far as to hail her as the "sexy socialist", a double-edged label for a politician anxious to emphasise substance over style.

Ms Royal laughs and says she is happy to take compliments where she finds them. "I don't try to explain them, I just accept them," she said.

In fact just about everyone has something nice to say about Ségolène Royal - apart from the so-called "dinosaurs" in her own party. The very suggestion that Ms Royal, a mother of four, might be clack-clacking her way to the Elysée Palace in stilettos and Chanel-style suits has clearly stoked the machismo rooted in Gallic public life. "Who will look after the children?" her Socialist rival Laurent Fabius was reported to have asked when Ms Royal was tipped to run. It was supposedly a joke.

Mention the in-party squabbling and Ms Royal's eyes lose their twinkle, even if she keeps on smiling. "Listen, it would be very monotonous if one only had admirers," she said, a trace of steel in the voice. "It's pretty simple. If a man had been an adviser to the president of the republic as I was to President Mitterrand for seven years, if he had been a minister three times and elected as an MP four times consecutively as I have been, if he had beaten the then prime minister in the last regional elections as I did, would he find his legitimacy contested and his capacity to govern questioned? No."

She added that the example of Angela Merkel, who remains popular in Germany after 100 days as chancellor, proves it is time for primitive attitudes to change. "We have seen in other countries, such as Germany with Angela Merkel, this deep-seated idea of some intrinsic incompatibility between being a woman and being in charge. That I cannot accept."

Charm
In person Ségolène Royal is charm personified - far from the cold authoritarian her detractors portray. Born in Dakar, Senegal, in 1953, she was the fourth of eight children of a Catholic, conservative French army colonel who held strident rightwing and anti-feminist views. In his book Madame Royal, the journalist Daniel Bernard describes her father Jacques as a "colonel with a monocle and a shaved head". A stickler for discipline, he imposed on his tribe of children "a harsh life of deprivations and punishments in the middle of which mass and vespers were almost distractions", according to Bernard. Ségolène was the rebel who knew all about toughness and intransigence.

Ms Royal said she became interested in politics around the age of 16 when she was "passionate about political debates on the television". She was an exceptional student and gained a place at the prestigious Ecole Nationale d'Administration - the hothouse for France's political elite. Here she met her partner, François Hollande, the leader of the Socialist party and father of her four children, aged 14-22.

After graduating in 1980 both were appointed advisers to the Socialist president François Mitterrand. Ms Royal was later education minister, environment minister, and family and childhood minister.

Having worked through pregnancies and motherhood, Ms Royal says she understands the juggling involved in maintaining a high-profile career and a family. "It's difficult but it's enriching. Today my children have grown up but I am vigilant with my 14-year-old daughter because she's the one who is under the most pressure," she said. "But the others have passed their baccalauréat, are happy and haven't been damaged by my political engagement.

"If anyone has suffered it's me. I wasn't always there at the school entrance or when needed but the children tell me that I'm the one who has suffered and they're fine. They support me and that's a great comfort."

What her partner of 25 years - sometimes jokingly called Monsieur Royal - thinks of her presidential chances is anyone's guess. Last year Mr Hollande had ambitions of his own to lead the country before being left trailing in the polls. As a result the subject is reportedly avoided in the family home.

Politically Ms Royal, who must wait until a poll of party members in November before finding out if she will be the Socialist party presidential candidate, describes herself as a "social democrat" who believes "we have to propose new solutions that reconcile social progress, the reduction of inequality and economic efficiency". She has bravely called for a more "supple" approach to the Socialists' sacred cow, the 35-hour working week, and even praised Tony Blair in an interview with the Financial Times, giving the dinosaurs another chance to maul her. "I was heavily criticised for saying what I did about Tony Blair, but I stand by it. My political backbone is not formed by caricaturing others," she said. "There are things I don't agree with, such as the war in Iraq, but I recognise that he has given his country a wonderful boost."

When it comes to values, there is something of the younger Blair in her convictions as well. "I am a socialist and at the same time clear about a certain number of values ... family values, environmental values, the value of succeeding at school, the value of merit and respect for work. To me these are not incompatible with being of the left."

The big question is whether, when push comes to polling day, France is ready for a Royal presidency. This is after all a country where women got the vote only in 1944, where only 71 of the 577 MPs are women and where political parties prefer to pay fines than adhere to legal quotas for women candidates.

"It depends on her conviction, qualities, those around her ... and her courage. But the opinion polls suggest France is ready," said Ms Royal.

"If someone better than me steps forward then I have no problem with that. If I'm the best candidate, then those who think that I won't go all the way just because I'm a woman are very much mistaken."

Grandes Dames: Women in French politics

Edith Cresson The first and only woman to become prime minister in France, she also spent the shortest time in the job. Her unpopularity saw her forced out after less than a year. As a European commissioner she was the target of repeated fraud allegations that led to the resignation of the entire commission in 1999.

Michèle Alliot-Marie France's first woman defence minister. Tough and super-intelligent, she holds a doctorate of law and a masters degree in ethnology. Protege of Jacques Chirac, has been touted as a possible presidential candidate in 2007.

Marine Le Pen A 37-year-old lawyer, daughter and heir apparent of the National Front leader Jean-Marie Le Pen. Heads the party's youth wing.

Martine Aubry Socialist party stalwart and daughter of Britain's EU bete noir, Jacques Delors. A passionate socialist who bulldozed the 35-hour working week on to statute books. Former minister and now mayor of Lille.

Arlette Laguiller, 66, leader of the Trotskyist Lutte Ouvrière (Workers Struggle) party, will run for president for the sixth time.

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En fait çà nous fait un candidat de droite en plus ...

Rencontre au sommet !

Thierry

"on avait dit - pas de poule au salon de l'agriculture -"

le capitaliste a écrit:

Une personne très populaire car non connue, car portant des jupes, car défiant les géants internes du PS, car n'ayant aucun programme novateur car défilant au salon de l'agriculture, etc.
Voilà ce qu'une grande partie des français veut: il faut vite renverser la vapeur ...

ton Sarko est mal barré,lui qui veut fliquer les français depuis le berceau!