Les Verts

Yann Wehrling: "la campagne de 2007 est engagée"

PARIS (AFP) - Yann Wehrling, secrétaire national des Verts, a estimé samedi que "la campagne de 2007 est engagée" et s'est félicité que les Verts puissent être, en finalisant leur programme, "le premier parti à gauche" à présenter "des propositions alternatives" à celles du gouvernement.

A l'occasion du conseil national inter-régional (CNIR), consacré pour l'essentiel au programme des Verts pour 2007, il a aussi balayé du revers de la main la possibilité, pour la présidentielle, d'une candidature conjointe des Verts avec le PCF et l'extrême gauche derrière José Bové.

"Si José Bové avait souhaité être le candidat de l'écologie politique, tout restait possible pour nous", a-t-il dit. "Mais il été clair, s'il y va, c'est pour représenter tant les Verts que le PCF, la LCR et d'autres partis", autrement dit "la gauche de la gauche".

Il a souligné à cet égard les divergences entre le programme du PCF et de la LCR et celui du parti écologiste, attaché "à bien des fondamentaux que nous sommes les seuls à porter dans le paysage politique et qui justifie notre présence au premier tour de la présidentielle".

Le secrétaire national s'est dit aussi résolument hostile à une modification du calendrier électoral fixé par les Verts : mi-février date limite du dépôt des candidatures, 30 mai choix de leur candidat. "Cela ne ferait qu'accréditer l'idée que nous sommes (...) incertains de ce que nous voulons faire", a-t-il dit.

Aucun débat politique n'a été organisé dans l'enceinte du CNIR, mais dans les couloirs la modification du calendrier polarisait les discussions. Elle était défendue notamment par les partisans d'une candidature Bové, qui ont besoin d'un calendrier moins serré.

Ainsi, le porte-parole Sergio Coronado estimait le calendrier "un peu précipité". Francine Bavay, vice-présidente de la région Ile-de-France, s'est dite favorable à un report en octobre pour "donner le temps à la gauche de mettre sur pied un projet anti-libéral et anti-productiviste crédible".

La députée Martine Billard a argué de la nécessité de "parler contenu", estimant aussi que "faire partir trop tôt le candidat le fragiliserait". "Il faut être réaliste, et reporter le choix de notre candidat en novembre", a-t-elle dit.

Comme Dominique Voynet, Noël Mamère -pour qui une candidature Bové est "caduque"- a admis que l'inconvénient de choisir un candidat très tôt, "c'est qu'il a un an à tenir". "En même temps, a dit le député, reporter la date c'est envoyer un signe au PS sur les primaires qu'ils voudraient imposer à leur main". Un candidat unique de la gauche, "je ne le vois pas", a-t-il dit.

Le report du calendrier nécessite 60% des voix pour être adopté, et selon plusieurs membres du CNIR il ne devrait pas être voté dimanche.

j'attend toujours que les verts PROPOSENT des choses pour le futur concernant le destin de notre planète ... et je crois que je peux encore attendre lorque je vois des verts dirent qu'ils sont contre le projet ITER

Yves CANTASSOT s'est porté candidat pour les présidentielles.

oui cf. article ci dessus

Les Verts veulent leur candidat malgré la mise en garde de Hollande

Les Verts ne vont pas jusqu'à parler de «chantage», comme l'a fait avant-hier le PCF, mais ils n'en ont pas moins décliné catégoriquement l'offre du premier secrétaire du PS de trouver un accord en vue de proposer un candidat unique à gauche dès le premier tour de la présidentielle de 2007, moyennant la garantie d'un groupe à l'Assemblée. «Si chacun mobilise son électorat au premier tour, nous faisons le pari que cela sera bon pour battre la droite au second», a expliqué, hier, à l'occasion de ses voeux, Yann Wehrling, le secrétaire national des Verts. Tandis que pour Cécile Duflot, porte-parole, «la présidentielle étant le seul moment où un parti peut présenter un projet global de société, nous ne pouvons pas nous permettre d'être absents au premier tour». Député-maire de Bègles, Noël Mamère abonde : «Il ne faut pas mettre la charrue avant les boeufs, définissons d'abord notre projet de société.» Autre porte-parole, Sergio Coronado ne se montre pas plus tendre avec le PS. Et glisse que «l'union ne se décrète pas, elle se fait dans le respect des partenaires». Allusion à l'organisation de la réunion unitaire de la gauche, prévue le 8 février, où, selon lui, le PS aurait tenté d'imposer un ordre du jour. «Quand on a du mal a se mettre d'accord sur une lettre de convocation, observe-t-il, ça veut dire qu'on est encore loin de l'accord gouvernemental.»

samedi 11 février 2006, 20h47
Présidentielle : Dominique Voynet lance sa pré-campagne à Paris



PARIS (AFP) - Dominique Voynet, sénatrice et ex-ministre Verts, a lancé samedi sa campagne de candidate à l'investiture des Verts pour l'élection présidentielle de 2007, une campagne qu'elle veut "en positif" et où il s'agira de mettre en avant "des urgences" en parlant "clair".

Devant quelque 150 personnes réunies dans un théâtre de la place de la République, Dominique Voynet, déjà candidate en 1995, a réitéré qu'il était "inimaginable" que les Verts soient absents du rendez-vous de la présidentielle, même si la bataille devrait être "extraordinairement difficile".

"Je veux montrer que les sujets écologiques ne sont pas un petit quelque chose en plus, mais qu'il faut les placer au coeur de la démocratie", a-t-elle expliqué.

Sa campagne, a-t-elle dit, aura un ton "gai et généreux", et sera basée sur le programme des Verts mais "simplifié, épuré, accessible à tous".

"Très attachée à la dynamique d'union de la gauche", elle a souligné son souci d'aller "à la rencontre des partenaires de demain de façon décomplexée", et souhaité que les Verts redeviennent "un parti qui pèse".

Mme Voynet dispose de quelque 700 soutiens, parmi lesquels Guy Hascoët, ancien ministre, Pénélope Komitès, adjointe au maire de Paris, Jean-Luc Bennahmias, député européen, Danielle Auroi et Michel Bock, membres du collège exécutif.

Mardi soir est la date limite pour le dépôt des candidatures à l'investiture des Verts, avec au moins 100 signatures de soutien, issues d'au moins cinq régions.

Citation :

Cependant, avec la montée en force des communistes et de l'extrême-gauche, la situation a évolué et le premier secrétaire du PS semble prêt à offrir aux verts la possibilité de constituer un groupe parlementaire lors de la prochaine législature . Evidemment, en contre-partie de leur soutien ...

Une chose tout à fait INUTILE ! Les verts ne sont pas un parti de gouvernement ...

mardi 14 février 2006, 17h34
Début des grandes manoeuvres pour 2007 chez les Verts

PARIS (AP) - Qui portera le dossard des Verts en 2007? Les candidats à l'investiture du parti écologiste pour la prochaine présidentielle, dont Dominique Voynet et Yves Cochet, avaient jusqu'à mardi minuit dernier délai pour déposer la liste de leurs parrains. Le nom du vainqueur de la primaire sera connu le 30 mai.

Pour postuler, les apprentis-candidats devaient récolter au moins cent signatures de soutien de militants issus de cinq régions. Les quelque 8.500 militants encartés voteront par correspondance pour les départager. Le premier tour s'achèvera le 14 avril. Si aucun candidat n'a dépassé les 50%, un second tour sera organisé jusqu'au 23 mai, avec annonce des résultats le 30 mai.

Quatre à six candidats devraient être sur les rangs, à commencer par la favorite Dominique Voynet, 47 ans. L'ancienne ministre de l'Environnement (1997-2001) a déjà défendu les couleurs écolo à la présidentielle de 1995, où elle avait recueilli 3,32%. Figure historique du parti, elle en a été cofondatrice en 1984, porte-parole (1992-1997) et secrétaire nationale (2001-2003). La sénatrice de Seine-Saint-Denis affiche environ 700 soutiens.

Elle aura face à elle le député de Paris Yves Cochet, 60 ans mercredi et 484 soutiens, qui lui a succédé au ministère de l'Environnement (2001-2002). Le sénateur de Paris Jean Desessard, 53 ans, est aussi en lice. Membre des Verts depuis 1989, il a défendu le "non" au référendum sur la Constitution européenne. Enfin, la porte-parole Cécile Duflot, 30 ans, revendiquait mardi 430 soutiens.

Deux autres candidats restaient incertains: Alain Uguen, conseiller régional de Bretagne, et Yves Frémion, conseiller régional d'Ile-de-France et collaborateur du journal "Fluide glacial".

Le député de Gironde Noël Mamère, auteur du meilleur score des Verts à une présidentielle en 2002 (5,25%), avait quant à lui jeté l'éponge le 4 décembre. D'autres, telle Francine Bavay, ancienne avocate du "non", plaident pour une candidature de José Bové à la gauche de la gauche.

De fait, les sondages créditent les Verts d'un piètre score. Selon une enquête CSA de janvier, Dominique Voynet ne recueillerait que 2% au premier tour. Les écologistes pourraient faire les frais du vote utile de la part d'électeurs soucieux d'éviter une réédition du 21 avril 2002, quand Lionel Jospin avait été évincé.

Alors que les discussions ont repris à gauche en vue d'un accord pour 2007, le Premier secrétaire du PS François Hollande a tenté de dissuader ses turbulents alliés d'aligner un candidat, en s'engageant à leur permettre de constituer un groupe à l'Assemblée (20 députés au moins, contre trois actuellement). Sans succès. AP

Verts: les candidats à la candidature ont déposé leurs signatures

PARIS (AFP) - Les principaux candidats à l'investiture des Verts pour l'élection présidentielle ont déposé mardi soir, les uns après les autres, leur dossier de candidature avec plus d'une centaine de soutiens, ce qui leur assure de pouvoir participer au vote interne des adhérents pour choisir le candidat du parti.

Jean Desessard, sénateur, puis Yves Cochet, député, Dominique Voynet, sénatrice, et Cécile Duflot, porte-parole, ont déposé ou fait déposer les signatures de leurs soutiens. Il en faut 100 émanant de 5 régions au moins pour avoir le droit d'entrer dans la compétition.

En ce qui concerne le nombre des signataires, Dominique Voynet est arrivée nettement en tête (770 signatures), devant Yves Cochet (485), Cécile Duflot (440) et Jean Desessard (250).

De l'avis de plusieurs Verts, le nombre des soutiens, pour la plupart des cadres du parti, ne correspond pas forcément au résultat obtenu lors du vote des adhérents.

La situation était moins claire pour les deux autres candidats en lice.

Yves Frémion avait abandonné la compétition mardi après-midi faute d'avoir obtenu le nombre des signatures requis. Alain Uguen disposait de plus de 100 signatures d'adhérents à jour de cotisation, mais sans certitude qu'ils aient vraiment seulement signé pour lui (une double signature annule le soutien). Son dossier de candidature devrait être soumis mercredi à vérification.

Quant à Moucef Khdir, il laissait planer le suspense : ce candidat mystérieux, maître de conférences de droit public à l'Institut d'études politiques de Lyon, qui s'est mis sur les rangs dans la dernière semaine, n'avait toujours pas déposé ses signatures deux heures avant la limite.

Les Verts sur la ligne de départ pour la campagne présidentielle de 2007

ÉCOLOGISTES. La primaire interne des Verts a bel et bien débuté : candidat à l'investiture écologiste pour la présidentielle de 2007, Yves Cochet a estimé, hier sur France Info, que «les bons sentiments ne font pas une bonne politique» pour parler des «idées» de son amie Dominique Voynet, au demeurant du même courant que lui, et elle-même candidate à la candidature... Tout comme le sont le sénateur de Paris Jean Desessard, la porte-parole du parti Cécile Duflot et l'ancien conseiller régional de Bretagne, inconnu en dehors du parti, Alain Uguen.


Le député du XIVe arrondissement de Paris, volontiers qualifié de «millénariste» par ses camarades depuis la sortie de son livre Pétrole apocalypse – Cochet, qui prône la décroissance, n'en est plus à réfléchir sur le partage des richesses, mais de la pauvreté –, a ajouté qu'il n'avait pas «la même vision du monde» et «les mêmes analyses» que l'élue de Seine-Saint-Denis. Il lui avait succédé au ministère de l'Environnement en 2001, quelques mois après la très controversée gestion gouvernementale du naufrage de l'Erika.


Comme Voynet, Desessard, Duflot et Uguen, Cochet a obtenu avant-hier les cent parrainages de militants, issus d'au moins cinq régions, nécessaires pour concourir à l'investiture écologiste. Sa sortie hier sur les ondes, à propos de Voynet, semble préfigurer une campagne interne musclée. D'autant que le handicap est grand : selon les dernier sondages, les Verts sont crédités d'à peine 2% des intentions de vote.

Verts: fin du premier tour pour l'investiture à la présidentielle

Après un mois de débats contradictoires dans toute la France, les Verts ont achevé vendredi la première étape de leur campagne interne pour départager leurs cinq candidats à l'investiture pour l'élection présidentielle de 2007.

Le premier tour du vote des adhérents Verts, par courrier, pour le choix du candidat du parti à la présidentielle de 2007 devait s'achever vendredi à minuit, cachet de la poste faisant foi. Pour éviter toute pression sur les 8.237 adhérents susceptibles de participer au vote, les bulletins envoyés ont été bloqués dans une boîte postale.

Ils seront récupérés après Pâques, avec mise au point des listes d'émargement les 18 et 19 avril et dépouillement, par région, jeudi 20 au siège du parti. Les résultats de ce premier tour devraient être connus aussitôt. Il est très peu probable qu'un des cinq candidats - le député Yves Cochet, le sénateur Jean Desessard, la porte-parole Cécile Duflot, le militant Alain Uguen et la sénatrice Dominique Voynet - parvienne à obtenir dès le premier tour 50% des voix. Les deux candidats arrivés en tête devraient donc participer à un second tour, organisé dans le courant du mois de mai, avec fin du vote le 23 mai et dépouillement le 30 mai.

C'est à cette date que sera connu le candidat des Verts à l'élection présidentielle. Les candidats en lice -Yves Cochet (député), Dominique Voynet (sénatrice), Jean Desessard (sénateur), Cécile Duflot (porte-parole) et Alain Uguen, ex-conseiller régional de Bretagne- ont sillonné le pays, pour sept meetings organisés par la direction du parti où l'assistance variait de 80 à 200 personnes. Outre ces meetings "nationaux", les cinq candidats ont participé ensemble à des rencontres locales, de Clermont-Ferrand à Bayeux, Orléans ou Sèvres.

"Au total, nous avons pu parler devant quelque 1.500 militants", a noté Yves Cochet. Yann Wehrling, secrétaire national, s'est félicité de la "très bonne tenue" des rencontres, sans "attaques sur les personnes, avec des échanges de fond". "Les débats ont montré une vraie diversité de positionnements", a noté Mireille Ferri, secrétaire nationale adjointe. Au fil des débats "les opinions devenaient plus affirmées, plus tendues entre nous et plus claires pour ceux qui nous écoutaient", a renchéri Yves Cochet.

"J'étais attendue au tournant, tout le monde pensait que j'allais m'écrouler, mais finalement j'ai pu prouver aux gens qui je suis et ça m'a affermie dans ma ligne politique", raconte Cécile Duflot, la benjamine de l'épreuve, 30 ans.

Avec la maîtrise de celle qui a déjà été candidate (en 1995) pour les Verts, Dominique Voynet est intervenue sur une large palette de problématiques, Yves Cochet a défendu un projet "très vert", insistant sur responsabilité environnementale et solidarité, Cécile Duflot a défendu "la radicalité de l'écologie politique", Jean Desessard s'est présenté en candidat de "l'écologie sociale" et du non au référendum européen.

Alain Uguen, favorable à une primaire à gauche, a martelé son credo: "plutôt cinquante députés pendant cinq ans qu'un candidat pendant cinq mois". Pour lui, "l'Italie vient de faire la démonstration qu'une primaire peut être utile: sinon Berlusconi repassait". Aucun candidat n'a estimé que ces débats contradictoires, souvent qualifiés d'"apaisés", aient divisé le parti. Plusieurs candidats ont regretté seulement que le processus de vote ait été enclenché avant même le premier meeting, le 13 mars à Paris, ce qui donnait moins d'impact aux débats.

L'inconnue du probable tiercé de tête -Yves Cochet, Cécile Duflot et Dominique Voynet- reste cependant l'ordre d'arrivée. "C'est très incertain et très ouvert", estime Cécile Duflot. Rares sont ceux qui pensent que Dominique Voynet puisse ne pas être au second tour, qui opposera les deux candidats arrivés en tête.

Les Verts doivent aussi mettre la touche finale à leur programme pour 2007, ce qui sera fait lors du prochain conseil national du parti, en juin.

J'ai fait deux post sur mon forum sur les Verts :

- Un(e) Vert(e) Président(e) de la République Française ?

- Corinne Lepage : Madame la Présidente ?

Pour votre information, voici aussi l'interview sur Election Politique de Madame France Gamerre une candidate pour l'election de 2007 qui se réclame de l'écologie, ainsi que celle de Corinne Lepage (Cap21)

C'est assez détaillé, vous pouvez vous faire une opinion sur cette écologie rose rouge inutile, si ça vous tente vous pouvez toujours donner votre opinion !

Thierry

Je préfére Corinne Lepage !! Elle est plus écologiste que les verts

Une chose que j'ai du mal à comprendre: pourquoi aller chercher des écologistes ailleurs alors qu'Ecologie bleue fait partie des 5 membres fondateurs de l'UMP?
Encore une énigme......
Site d'Ecologie bleue:http://www.ecobleue.com

pgt a écrit:

Une chose que j'ai du mal à comprendre: pourquoi aller chercher des écologistes ailleurs alors qu'Ecologie bleue fait partie des 5 membres fondateurs de l'UMP?
Encore une énigme......
Site d'Ecologie bleue:http://www.ecobleue.com

C'est simple, la France est une nation Démocratique qui accepte le pluripartisme, même si parfois certains partis sont inutiles.

Que l'UMP ouvre la voie du bon sens en ayant en son sein sa propre mouvance écologique est une bonne chose, les autres partis devrait en prendre exemple !

Thierry

On ne connait pas très bien ce mouvement !! peut etre pourrais tu nous éclairer !

Johanna a écrit:

On ne connait pas très bien ce mouvement !! peut etre pourrais tu nous éclairer !

A qui s'adresse cette requête, charmante johanna ?

Thierry

à pgt pour écologie bleue

Mme Voynet et M. Cochet en tête au premier tour des primaires des Verts pour la présidentielle

Dominique Voynet et Yves Cochet, tous deux anciens ministres, sont arrivés en tête, jeudi 20 avril, lors du scrutin interne organisé pour choisir le candidat des Verts à l'élection présidentielle. Mme Voynet obtient 35,45 % des voix, contre 28,33 % pour M. Cochet.

Un second tour va être organisé au mois de mai pour départager les deux candidats arrivés en tête. Le résultat sera connu le 30 mai.

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Je doute fort que ces joyeux lurons verts passent le 1er tour de la Présidentielle, mais? le vert n'est-il pas la couleur de l'espérance ?

TH.

Pour johanna, un peu d'historique.

Ecologie bleue, mouvement écologiste lié jusque là à l'UDF, et dirigé par Patrice Hernu devient en novembre 2002 mouvement fondateur de l'UMP avec la bénédiction de Jacques Chirac. Se crée alors sous l'autorité d'Alain Juppé le réseau UMP-écologie bleue censé réunir tous les écolos de l'UMP de manière transverse.

Hélas, en rupture de tous les engagements pris, les écolos de l'UMP sont écartés de toutes les listes aux régionales et la même chose allant se reproduire pour les européennes, Patrice Hernu prend la tête d'une liste Pasqua dans le nord, composée d'écologistes de droite, d'UMP et de RPF.
Il sera exclu de l'UMP pour cela (alors que de nombreux dissidents ne le seront pas).

Il crée alors le réseau France bleue ouvert à toutes les composantes de la majorité, comptant aujourd'hui quelque 40000 affiliés et auquel écologie bleue est affilié.

L'arrivée de Nicolas Sarkozy nous faisant espérer des jours meilleurs, nous sommes un certain nombre à l'UMP à vouloir faire vivre ce réseau toujours avec la même philosophie transversale (je suis adhérent de la droite libre, mon ami Williams Vanseveren pour le 06 du parti radical, Bernard Mollet du 50 n'a pas d'engagement autre que UMP,...)

Noël Mamère réclame la démission de Dominique de Villepin

Mais de quoi se mêle t'il ? Il ne propose rien mais se permet de faire la morale

Johanna a écrit:

Noël Mamère réclame la démission de Dominique de Villepin

Mais de quoi se mêle t'il ? Il ne propose rien mais se permet de faire la morale

Comme quoi quand sur mon forum j'ai illustré mon sujet sur les Verts avec cette image :



Je ne faisait qu'illustrer la vérité !

Si,si

Thierry

Verts : près de 61% de participation pour choisir le candidat de 2007

Près de 61% des adhérents Verts ont participé au deuxième tour de scrutin pour choisir leur candidat à l'élection présidentielle de 2007, a indiqué mercredi le secrétaire national, Yann Wehrling. Les deux candidats en compétition sont la sénatrice Dominique Voynet et le député Yves Cochet.

Le vote par courrier prenait fin mardi soir. Mercredi, 5.175 votes valides avaient été comptabilisés sur un total de 8.490 adhérents, soit 60,95% de participation.

Ce chiffre, a précisé Yann Wehrling, pourrait encore légèrement progresser, avec la réception dans les prochains jours des derniers envois.

Au premier tour, la participation avait été de 60,42%.

Le dépouillement du vote interviendra mardi 30 mai.

Lipietz attaque l'Etat et la SNCF

Le député européen (Verts) Alain Lipietz poursuit l'Etat et la SNCF pour complicité de crimes contre l'humanité au titre de leur responsabilité dans l'internement et la déportation de juifs pendant l'Occupation. S'appuyant sur une jurisprudence contestable datant de 2002 (une condamnation de l'Etat à verser un euro symbolique au titre des agissements de Maurice Papon, jugement qui rend la République comptable des forfaits du régime de Vichy, comme si le gouvernement de la France Libre n'avait pas existé...), Alain Lipietz poursuit l'action engagée par son père et son oncle qui avaient été arrêtés et internés à Drancy du fait de leur origine juive.