L'affaire Clearstream : une "sale affaire" ?

Clearstream: enquête pour "violation du secret de l'instruction"

Ce genre "d'unfaux" je la classe sans hésiter dans la catégorie "Cerise sur le gâteau du foutage de gueule"

Car, il y a belle lurette que le secret de l'instruction concernant cette affaire à été foulé ignominieusement aux pieds !

Décidément, Ils nous prennent vraiment pour des crétins CON-génitaux !

Si, si

VEGA Thierry

sarkozy connaissait cette affaire depuis 2 ans,il manipule tout autant les français!

didier.sym a écrit:

sarkozy connaissait cette affaire depuis 2 ans,il manipule tout autant les français!

Il a juste porter au bon moment le coup de grace contre la Chiraquie !

dont il est ministre de l'intérieur donc complice comme tous les députés UMP
conclusion:tous pourris

Est-ce que tu parodies Jean-Marie Le Pen et ses discours ?!

il suffit de regarder l'image déplorable de la classe politique française,refusant de renverser ce gouvernement,elle en devient complice

Je crois qu'hélas l'opposition a épuisé tous les recours légaux pour jeter ce gouvernement aux orties. Et il ne faudra rien attendre de la motion de censure socialiste...

l'UMp avec à sa tête Sarkosy pourrait le renverser mais il est complice de Chirac et toutes ses magouilles

Tout ça n'est que de la présomption, mais j'ai vraiment du mal à imaginer un type comme Sarkozy en victime... Pure méchanceté de ma part

didier.sym a écrit:

il suffit de regarder l'image déplorable de la classe politique française,refusant de renverser ce gouvernement,elle en devient complice

En effet si on fait un bilan de cette affaire on constate que

1) Chirac et Villepin ont essayé de pièger Sarkozy
2) L'ambiguité de la position de Michèle Alliot-Marie dans cette histoire
3) Sarkozy qui était au courant de cette affaire depuis 2004 mais qui l'a fait ressortir seulement maintenant. Comme c'est bizarre à 1 an juste des présidentielles.

Résultat vous le verrez cela ne profitera à personne (tout du moins personne à droite). Par contre Le Pen il a encore grimpé.

Si la motion de censure n'est pas acceptée on va vers une situation difficile avec un gouvernement peut crédible pour gouverner le pays et une droite qui ramassera les morceaux de cela en 2007.

Cette affaire prend chaque jour des proportions plus aberrantes et communique même avec l'affaire des frégates!!!! Quelle bande de ******* ces ******** de ministres: s'enrichir comme ça avec tout ce qu'ils gagnent, c'est dégueulasse! Sarkozy veut en plus passer pour une victime mais c'est une victime pour le moins conscentante qui a mis longtemps avant de s'apercevoir qu'on l'arrosait. Bizarre! Sur ce coup t'es décevant, Nicolas!

Clearstream : "Le Monde" s'attend à une perquisition

et prévient ses lecteurs, dont je fait partie :

- Editorial : A nos lecteurs, par Jean-Marie Colombani

Extrait :

Citation :

Le pouvoir a décidé d'ouvrir une information contre X... pour violation du secret de l'instruction. Dans l'affaire Clearstream, Le Monde avance pas à pas, vérification après vérification, pour tenter de contribuer à faire la lumière sur cette ténébreuse machination. Nos lectrices et nos lecteurs doivent savoir que leur journal est particulièrement visé par cette offensive judiciaire décrétée au sommet. Nous avons en effet de solides raisons de penser que, dans l'esprit du premier ministre, Le Monde et les deux magistrats chargés de l'enquête se seraient ligués pour le détruire ; et qu'il faudrait donc les freiner voire les contraindre.

Y'en a qui n'ont par l'air à l'aise dans leurs baskets, je me trompe ?

Thierry

Clearmenceau + Clemstream = le Trafalgar de la Chiraquie !

Si, si

Thierry

Citation :

Quelle bande de ******* ces ******** de ministres: s'enrichir comme ça avec tout ce qu'ils gagnent, c'est dégueulasse!

Info: un ministre gagnait, avant 2004, 6000€ mensuels. Puis ils sont voté une loi augmentant de 60% leur salaire (ce qui a fait réagir tout le monde) portant ainsi leur salaire à un peu moins de 10k€ pour un investissement de temps d'environ 100h/semaine, ce qui équivaut à un salaire de 3500€ nets s'ils étaient embauchés dans une entreprise privée aux 35h, salaire tout à fait courant pour des cadres supérieurs.

A titre de comparaison un présentateur télé sur les grandes chaînes gagne entre 20k€ et 40k€/mois, pour un journaliste comme PPDA cela peut même monter à 45k€/mois. Un chanteur ou un ateur gagne plusieurs M€/ans. Poursuivons, un joueur de foot comme Zidane gagne 14 M€/an juste pour son salaire du Real de Madrid, sa seule obsession est de taper dans un ballon, de l'envoyer dans des buts et de le passer à ses copains.

Un ministre se creuse la tête pour améliorer tout le système politique, accumule les soucis toute la journée et par là-dessus se fait casser par les médias et les Français à la première loi impopulaire qu'il avait eu le malheur de juger bonne pour la France.

Arrêtons donc ces réactions primaires de s'en prendre aux salaires des politiques Français! d'autant que j'ajouterai qu'ils sont moins bien payés (et même beaucoup moins) que dans la plupart des pays riches du monde (USA, Royaume uni, Suisse, Allemagne, Belgique, Luxembourg.... Et même Italie!)

Citation :

Sarkozy veut en plus passer pour une victime

C'en est une, point. Qu'il le sache avant ou pas, qu'il ait attendu ou pas pour s'en offusquer, qu'il ait voulu ou pas faire chutter Villepin, c'est une victime. Et il est bien normal qu'il ait voulu attraper au vol la perche qu'on lui a tendue. La politique c'est aussi ça et tu aurais sans doute fait la même chose à sa place, et moi aussi! (et tous ses gros cons de gauchos qui hurlent à la démission, comme Hollande, etc... Aussi et même les premiers!)

-AigleVert-

Rondot voulait "protéger" Villepin

Le général Rondot n'a pas livré le nom du corbeau lors de sa première audition devant les juges, le 28 mars, pour "protéger" Dominique de Villepin, selon Le Monde de mardi qui révèle de nouvelles notes du militaire.


"Protéger D de V". Traduire : protéger Dominique de Villepin. La mention apparaîtrait à plusieurs reprises dans les fiches du général Rondot, l'un des personnages clés de l'affaire Clearstream. C'est ce qu'affirme Le Monde dans son édition du 23 mai. Selon le quotidien du soir, Philippe Rondot, qui avait été chargé par le Premier ministre, du tant où il était au Quai d'Orsay d'une enquête confidentielle sur les listings de Clearstream, n'a pas livré le 28 mars lors de sa première audition devant les juges le nom de Jean-Louis Gergorin, auteur des courriers anonymes et proche de Dominique de Villepin, pour "protéger" le Premier ministre.

Dans une note du 7 octobre 2005, le général Rondot écrit : "une épée de Damoclès sur D de V", alors qu'il vient de rencontrer le général Jean-Louis Georgelin, chef d'état-major particulier de Jacques Chirac. Toujours selon le journal, le nom de M. Gergorin, ex-dirigeant d'EADS qui a reconnu être l'expéditeur de deux lettres anonymes au juge Renaud van Ruymbeke, et celui d'Imad Lahoud, informaticien également chez EADS, "relevaient du secret de Polichinelle" jusqu'à l'Elysée "huit mois" avant l'identification de M. Gergorin par les juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons.

on tourne en rond !! c'est tout de même marrant car c'est lui qui est parti le dénoncer initialement

Notre système judiciaire va en prendre un coup de plus avec cette affaire ...

Clearstream: Gergorin, loquace dans la presse, va devoir s'expliquer devant la police

PARIS (AFP) - L'interrogatoire mardi de Jean-Louis Gergorin par les policiers chargés de l'affaire Clearstream devrait permettre d'en savoir plus sur l'origine des comptes trafiqués envoyés à la justice et sur d'éventuels commanditaires de cette falsification.

L'avocat de l'ex-vice-président d'EADS, Me Paul-Albert Iweins, a indiqué mercredi que son client répondrait à une convocation de la justice.

Selon une source proche du dossier, Imad Lahoud, informaticien d'EADS embauché par M. Gergorin, pourrait également être convoqué la semaine prochaine.

M. Gergorin pourrait être placé en garde à vue, au maximum deux jours. En fonction de cette audition, l'ancien diplomate qui s'est longuement exprimé dans la presse la semaine dernière pourrait être ensuite présenté aux juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons en vue d'une éventuelle mise en examen.

M. Gergorin a reconnu dans la presse qu'il était l'expéditeur de deux des cinq courriers anonymes parvenus au juge Renaud van Ruymbeke entre mai et octobre 2004, et dont il laisse toujours entendre qu'ils sont authentiques.

L'enquête du magistrat a pourtant démontré que ces courriers dénonçaient à tort le versement de rétrocommissions, dans le dossier de la vente de frégates à Taïwan, à des personnalités industrielles et politiques françaises, dont Nicolas Sarkozy, sur des comptes de l'établissement financier luxembourgeois Clearstream.

M. Gergorin n'a rien voulu dire de la mystérieuse "source" qui lui aurait fourni ces listings, expliquant que la vie de cette dernière en serait "menacée".

Mais au vu de la description qu'il en a donnée - "quelqu'un qui travaille sur le financement du terrorisme international"- tous les regards se sont tournés vers Imad Lahoud.

Les policiers de la Division nationale des investigations financières (DNIF) tenteront certainement d'obtenir de M. Gergorin le nom de cette "source" pour établir la genèse de cette "dénonciation calomnieuse" dont sont saisis les juges.

Vendredi, Imad Lahoud n'avait toujours pas reçu de convocation de la DNIF, a-t-on appris de source proche du dossier. Les policiers pourraient attendre une éventuelle mise en cause par Jean-Louis Gergorin pour le faire venir à son tour, selon cette même source, avant une possible confrontation entre les deux hommes.

Celui-ci, sorti mardi d'une hospitalisation pour "dépression", a démenti avoir "pénétré le système informatique de Clearstream" et être un "falsificateur".

Autre question cruciale qui devrait être posée à Jean-Louis Gergorin dans ce dossier devenu affaire d'Etat : Dominique de Villepin a-t-il demandé lors d'une réunion le 9 janvier 2004 au Quai d'Orsay en sa présence et celle du général Philippe Rondot d'enquêter secrètement sur le compte attribué à son rival politique Nicolas Sarkozy, et qui se révèlera faux ?

M. de Villepin l'a nié. Le général Rondot, qui a refusé de parler aux juges lundi, avait été uniquement chargé de "vérifications" mais pas sur les hommes politiques mentionnés, a expliqué le Premier ministre.

Dans un entretien à Libération la semaine dernière, M. Gergorin a apporté une version accablante pour son "ami" M. de Villepin. Selon lui, ce dernier a refusé en janvier 2004 une enquête de la Direction de la surveillance du territoire (DST), qui dépend du ministère de l'Intérieur, pour que M. Sarkozy ne soit pas "mis au courant".

Une très sale affaire effectivement , car Villepin est vraisemblablement mouillé jusqu'au coup ( Chirac aussi d'ailleurs ) , du fait de sa haine vis à vis de Sarkozy . C'est un vrai scandale , et là , pour une fois , je suis d'accord avec les socialistes :dans n'importe quel autre pays qui se veut démocratique , un 1er ministre tel que lui serait déja parti .Il espère sans doute pouvoir encore étouffer les choses jusqu'en 2007 . C'est navrant .

Clearstream : Jean-Louis Gergorin mis en examen

Accusé de «faux, usage de faux et dénonciation calomnieuse», l'ancien vice-président d'EADS, personnage clé de l’affaire Clearstream, a toutefois été laissé en liberté sous contrôle judiciaire.

Celui qui s’est révélé être le « corbeau » de l’affaire Clearstream est désormais la première personne mise en examen dans ce dossier. Après deux jours de garde à vue à la police financière, il a été interrogé durant huit heures en présence de ses avocats par les juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons. Ces derniers, chargés pour l’instant d’une instruction pour des faits de « dénonciation calomnieuse », pourront, grâce à la mise en examen de Gergorin pour « faux et usage de faux », enquêter sur d’autres volets de l’affaire.


Ce proche de Dominique de Villepin est en effet soupçonné d'avoir falsifié des listings de comptes de la société financière luxembourgeoise Clearstream pour compromettre diverses personnalités et de les avoir remis sous couvert de l'anonymat au juge Renaud Van Ruymbeke au printemps 2004.


Il admet avoir remis tous les courriers prétendument anonymes, à l'exception d'un, contenant les listings. Mais Jean-Louis Gergorin se dit de bonne foi, assurant que ces listes lui ont été remises par une tierce personne (la « source ») dont il refuse de dévoiler l’identité, en faisant une « question d’honneur », selon un de ses avocats. Il a plusieurs fois déclaré qu’il estimait que Clearstream restait suspecte et souhaité des vérifications plus approfondies sur les listings.

Caution de 80 000 euros

«Cet homme est persuadé que l'affaire Clearstream est une véritable affaire, que les listings correspondent à une réalité», a dit à la presse un de ses avocats. «Il persiste à penser que les vérifications faites jusqu'à maintenant sont insuffisantes. Il n'a qu'une envie, c'est de sortir de cette affaire», a-t-il ajouté.


Les enquêteurs pourraient désormais s'intéresser à Imad Lahoud, ex-employé d'EADS qui a lui-même obtenu en mars 2003 du journaliste Denis Robert des listings de comptes sans noms de Clearstream, selon une déposition de Denis Robert. Lahoud est soupçonné d’être la fameuse « source » de Gergorin.


Les juges d’instruction avaient demandé le placement en détention du « corbeau », mais celle-ci a été refusée par le juge des libertés et de la détention. La demande des juges d’Huy et Pons n’avait pas été soutenue par le parquet. L’ex-diplomate devra cependant régler une caution de 80 000 euros.

Johanna a écrit:

[Les enquêteurs pourraient désormais s'intéresser à Imad Lahoud, ex-employé d'EADS qui a lui-même obtenu en mars 2003 du journaliste Denis Robert des listings de comptes sans noms de Clearstream, selon une déposition de Denis Robert. Lahoud est soupçonné d’être la fameuse « source » de Gergorin.

Eh bien, voilà qui est chose faite ; maintenant, reste à savoir s'il va cracher le morceau !...

CLEARSTREAM. « CORBEAU /13 à TABLE» :Gergorin met en cause le ministère de la Défense.



Jean-Louis Gergorin, le « corbeau » parle !



Selon le site internet de l'hebdomadaire Marianne, l'ex vice-président du groupe aéronautique EADS, a affirmé aux juges d'instruction que sa source était un « hacker » qui a travaillé en liaison avec le Ministère de la Défense.


« J'étais et reste persuadé que ces informations viennent d'une pénétration informatique de Clearstream pendant plusieurs mois en liaison avec des responsables du ministère de la Défense dans les conditions que vous connaissez. En aucune façon, je n'ai altéré ou fait altérer ces éléments informatiques », a déclaré Jean-Louis Gergorin aux juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons qui l'ont interrogé environ trois heures jeudi soir. Cet hacker lui a fourni des informations provenant du système Clearstream de fin juin 2003 à début juin 2004, a-t-il précisé, avant de livrer des résultats d'infiltrations antérieures. Selon M. Gergorin, à la demande du général Philippe Rondot, chargé de « vérifications » par Dominique de Villepin, il a obtenu début avril 2004 toujours de cette « source » dont il tait le nom un « listing complet des comptes référencés à Clearstream » comportant plus de 33 000 comptes

Clearstream: des politiques sur les listings dès fin 2003, selon Gergorin

L'ancien vice-président d'EADS Jean-Louis Gergorin a affirmé devant les juges que des noms d'hommes politiques apparaissaient dès novembre 2003 sur des listings Clearstream, selon le journal Le Monde dans son édition datée vendredi.

Au cours de son audition devant les policiers de la Division nationale des investigations financières (DNIF), les 30, 31 mai et devant les juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons le 1er juin, M. Gergorin a déclaré que les noms d'Alain Madelin, Jean-Pierre Chevènement et Dominique Strauss-Kahn apparaissaient sur les listings dès la "mi-octobre 2003".

En outre, il assure, toujours selon le journal, qu'un "annuaire" retraçant dix années de mouvements financiers et contenant les noms des trois politiques avait été "remis au général Rondot (Philippe, ancien conseiller au ministère de la Défense, ndlr) début novembre 2003".

Or, le haut gradé, qui sera chargé d'opérer des "vérifications" sur les listings par Dominique de Villepin en janvier 2004, a admis devant les juges le 28 mars que les noms des trois politiques apparaissaient. Mais dans le Journal du Dimanche du 14 mai, il a dit qu'il s'était "trompé" sur ce point.

En outre, M. Gergorin a complété devant les juges la liste des noms apparaissant en novembre 2003 en y ajoutant l'ex-député européen Jean-Charles Marchiani, Pierre Pasqua et l'ancien maire de Toulouse Dominique Baudis, toujours selon Le Monde.

Enfin, concernant l'apparition du nom de M. Sarkozy, l'ancien responsable d'EADS a demandé et obtenu des juges de mettre fin à l'audition, avant de pouvoir répondre à la question, selon le journal.

Clearstream: Sarkozy fait confiance aux juges

Nicolas Sarkozy a déclaré jeudi qu'il ne "doutait pas une seconde" que les juges réussiront à établir la vérité dans l'affaire Clearstream.

"Les deux juges font un travail assez remarquable. Laissons-les travailler et je ne doute pas une seconde" qu'ils aboutiront, a déclaré le ministre de l'Intérieur lors de sa conférence de presse bilan place Beauvau. "Ils ont déjà fait un sacré travail et on en sait des choses", a ajouté M. Sarkozy.

Le ministre de l'Intérieur a affirmé que "Clearstream, c'est de la délinquance".

Imad Lahoud mis en examen


PARIS (Reuters) - Imad Lahoud, ancien employé d'EADS, a été mis en examen pour "dénonciation calomnieuse, faux et usage de faux" dans l'enquête sur les faux listings de l'affaire Clearstream, apprend-on de source judiciaire.

Ce Franco-Libanais de 38 ans, gendre de François Heilbronner, un ancien collaborateur de Jacques Chirac, s'est vu notifier cette mesure par les juges Jean-Marie d'Huy et Henri Pons.

Un débat contradictoire sur son éventuel placement en détention était en cours dans la soirée devant un juge des libertés.

Il est soupçonné d'avoir fabriqué de faux documents de la société luxembourgeoise afin de compromettre plusieurs personnalités, dont Nicolas Sarkozy, documents remis à la justice au printemps 2004.

En garde à vue mercredi et jeudi à la police financière, Imad Lahoud a nié en bloc et affirmé n'avoir jamais détenu de fichiers Clearstream, a dit son avocat, Me Olivier Pardo.


Cette affaire va nous conduire petit à petit vers Matignon et l'Elysée ... Comme par hasard ...