chez nos amis les socialistes

Pierre.E a écrit:

J'ai regardé un peu leur débat, ça m'a saoulé... Non pas dans le sens où je me suis "énervé" au contraire, mais à vrai dire tout m'a paru abstrait, peu parlant... Langage d'énarque...

Des discours creux basés uniquement sur des belles phrases d'énarques comme tu le dis bien. Bref, pas concrêt pour un sou, pas du tout proche des attentes des français et c'était rempli de mensonges.

Je vais être honnête : sur un discours économique et social comme ça, je n'y comprends rien. Je ne peux pas vraiment critiquer. Par contre sur la forme, il est vrai que DSK et Fabius, comme on s'y attendait, sont plus "dans le sujet". Eux au moins répondent aux questions posées. Ségolène, elle, me donnait l'impression de réciter un cours d'économie appris par coeur et la journaliste (charmante au passage) lui a gentillement fait remarquer à un moment !

Bon, moi en tout cas je vais les voir en chair et en os pour leur deuxième débat, jeudi soir à Clermont-Ferrand ! Je vous en dirai des nouvelles !

Tu prépareras la tarte pour Ségo !

Franchement, Ségolène me fait pitié : autant les deux autres sont dans leurs rôles et défendent leurs positions avec rage; autant Ségolène semble être une potiche, une cruche qui se demande ce qu'elle fait içi ...

En tout cas, ils ont beaucoup broyé du vent !

Débat nul avec trois andouilles. Personne n'a de programme.
Débat pathétique. Et je pense qu'il y en a encore deux. Quelle chance !!!!
C'est un débat affligeant.

Je suis un peu d'accord avec Pierre, les trois larrons ont récité le projet socialiste sur un ton rébarbatif au possible. C'est vrai, il y a clairement un côté "langage d'énarque" qui est un peu aride et qui manque d'emphase. Je suis d'accord aussi sur le fait que Royal était bien moins à la hauteur que les deux autres intervenants. On sent l'habitude du discours chez les deux vieux briscards de la politique.

Maintenant, sur le fond, j'ai bien senti le revirement de bord de Fabius qui s'est positionné clairement à gauche, du moins pour un socialiste du PS. Mais tout cela reste désespérément mou et réformiste, là où il faudrait vraiment un grand coup de pied dans la fourmillière institutionnelle.

Marco71 a écrit:

Débat nul avec trois andouilles. Personne n'a de programme.
Débat pathétique. Et je pense qu'il y en a encore deux. Quelle chance !!!!
C'est un débat affligeant.

Pas de programme ? Pourtant ils ont débité des tronçons entiers du projet socialiste durant deux bonnes heures. Tu devrais être servi non ?

ayant une réunion d'une grande importance hier je n'ai pu visionner que les dernières minutes du débat. Mais le peu que j'ai visionné m'a saoulé !! Moule peut tu nous faire un petit résumé de chaque proposition

Sans confrontations ,il ne peut pas y avoir de débats d'idées mais seulement comme l'a si bien dit valérie pécresse un "concours de banalités"

Je n'ai pas eu le temps , ni l'envie , d'écouter mais selon certains journalistes ( pourtant pas suspects d'être de droite ) , Royal s'est comportée en présidente ... de conseil général !!!
Si elle a atteint là son seuil de compétence , est il bien nécessaire de la pousser plus loin , où elle aura alors dépassé ce seuil !

Je me demandeen quoi ca peut être un vrais débat ce genre d'action du PS. Etant donné que le candidat PS devra utiliser le programme du PS

Sinon, a première vue, comme je le pense depuis le début, le moins mauvais reste DSK. Royal reste un produit marketing visuel et Fabius devrait être interdit de participer encore a des élections (vu son passé dans certaine affaire).

Qui a regardé l'analyse des journalistes juste après le débat ? Au contraire, il parait qu'ils ont fait l'éloge de Ségolène qui aurait été "celle qui s'en est le mieux sortie" ...

Je n'ai entendu des commentaires que très tôt ce matin sur France info , en résumé la journaliste ( je n'ai pas le nom , j'ai pris en cours ) a déclaré que DSK insistait trop sur le côté " meilleur économiste " , que Fabius était resté trop énarque , alors que Ségolène demeurait " présidente du Conseil régional" .. Avec son confrère ils insistaient sur l'impression d'ennui , et rappelaient le prochain épisode à Clermont !!
Les quelques socialistes interrogés avouaient que cela ne mettrait pas fin aux polémiques , que c'était ennuyeux .

Cela dit, la politique du PS est ennuyeuse a l'origine

Livaste a écrit:

Je n'ai entendu des commentaires que très tôt ce matin sur France info , en résumé la journaliste ( je n'ai pas le nom , j'ai pris en cours ) a déclaré que DSK insistait trop sur le côté " meilleur économiste " , que Fabius était resté trop énarque , alors que Ségolène demeurait " présidente du Conseil régional" .. Avec son confrère ils insistaient sur l'impression d'ennui , et rappelaient le prochain épisode à Clermont !!
Les quelques socialistes interrogés avouaient que cela ne mettrait pas fin aux polémiques , que c'était ennuyeux .

Ilana Moriousef ? J'ai entendu sa chronique mais je ne me souviens pas de ça.

Je ne peux te donner le nom , il n'était que 5 heures , et j'avoue que je n'ai prété attention qu'au bout de quelques instants ( à cette heure là , c'est pas terrible ) .

Johanna a écrit:

ayant une réunion d'une grande importance hier je n'ai pu visionner que les dernières minutes du débat. Mais le peu que j'ai visionné m'a saoulé !! Moule peut tu nous faire un petit résumé de chaque proposition

Je vais avoir du mal, j'ai écouté ce débat en faisaint autre chose (gravage de dvd à la chaine), je me suis surtout concentré surla forme plus que le fond. De plus, les trois candidats à la candidature ont bien précisé d'entrée de jeu qu'ils se borneraient à incarner la projet socialiste.

Dans mon souvenir, il n'y avait pas vraiment, dans ce premier débat d'introduction, de grandes divergences idéologiques entre les trois protagonistes. Tous trois ont affirmé par exemple vouloir la généralisation des 35 heures, insisté sur l'importance du re-développement de l'éducation et de la recherche (privée et publique), l'importance de la concertation salariale, la lutte contre la dette du pays, la lutte contre les inégalités, etc.

Fabius a précisé que s'il était élu, il reviendrait sur la loi Fillon, qu'il re-nationaliserait EDF et qu'il augmenterait le SMIC. Il a aussi cité Nicolas Hulot, et sa volonté, une fois élu, de nommer le N°2 du gouvernement ministre d'Etat chargé des questions écologiques.

Royal a parlé un peu de démocratie participative, et s'est déclarée favorable au renforcement de l'autonomie des régions, et était visiblement modérée sur les 35h, qui, à demi mots, avoue que cela n'a pas été un succès tel que c'est appliqué actuellement dans certains secteurs.

DSK... Ma fois il ne me reste aucun souvenir précis d'un point où il se serait franchement démarqué de ses collègues. Désolé

DSK a été plus prudent sur l'augmentation du SMIC il me semble.
Bon, en tout cas moi aussi je me suis bien plus attaché à la forme qu'au fond ! Ce soir, à Clermont-Ferrand, je tacherai d'être plus attentif, en espérant ne pas me faire lyncher par les militants socialistes ! Mais j'ai promis à mes amies que je me tiendrais à carreau !

Pierre.E a écrit:

Bon, en tout cas moi aussi je me suis bien plus attaché à la forme qu'au fond ! Ce soir, à Clermont-Ferrand, je tacherai d'être plus attentif, en espérant ne pas me faire lyncher par les militants socialistes !

Tu pourras nous faire un compte rendu ?!!

Car j'ai vu sur le journal qu'aucun média n'est accepté ,ni télé,ni journaux .

PRG: bras de fer interne sur la candidature de Christiane Taubira

Citation :

PARIS (AFP) - Le président du Parti radical de gauche (PRG) Jean-Michel Baylet, a lancé un vibrant appel à "l'unité" derrière le PS pour faire gagner la gauche, à l'ouverture samedi du Congrès extraordinaire de son parti qui doit décider de présenter ou non une candidature en 2007.
De son côté, Christiane Taubira a livré un plaidoyer passionné pour sa candidature à la présidentielle, au Congrès du PRG, regrettant que "le vote utile soit devenu le seul projet politique de leaders raisonnables".

"Nous devons être présents dans cette élection" car "nous avons la responsabilité que cette société retrouve ses élans", a affirmé la députée de Guyane, chaudement applaudie par la salle.

Jean-Michel Baylet a insisté sur l'"enjeu" de ce Congrès. M. Baylet a évoqué "l'intérêt du PRG, de la gauche et de la France", qui selon lui ne plaide pas pour une candidature des radicaux.

"Les électeurs nous disent +unissez-vous pour battre la droite+", a-t-il lancé à l'adresse des 400 congressistes, parmi lesquels l'ancien ministre Bernard Tapie. Il leur a proposé, s'ils renoncent à une candidature, de convoquer après la désignation du candidat PS une "convention commune" avec les socialistes portant sur le programme, puis un "Comité directeur du PRG" pour vérifier que le candidat PS est "en conformité avec la ligne du PRG".

M. Baylet a souligné que l'accord électoral, qu'il a conclu cette semaine avec le PS, porte sur "36 circonscriptions" gelées au profit du PRG, ce qui devrait permettre d'avoir "à très peu de choses près un groupe PRG homogène" de 20 députés à l'Assemblée nationale. C'est "le meilleur accord quantitatif avec le PS", a-t-il dit. "Si la gauche gagne, il y aura des ministres radicaux", a-t-il fait valoir en reconnaissant que rien n'était négocié à ce stade.

Il a estimé aussi que l'espace politique du PRG a la présidentielle était limité, dans la mesure où "trois candidats occupent les deux tiers de l'échiquier" -allusion à Nicolas Sarkozy, Ségolène Royal et Jean-Marie Le Pen- tous les autres devant se partager le tiers restant. Enfin, selon lui, le PRG n'a pas intérêt à concentrer ses efforts financiers sur l'élection présidentielle, suivie par les législatives et les municipales.

Christiane Taubira a de son côté souligné que l'accord avec le PS était "important", mais comportait "des risques".

Elle a fustigé l'insistance de certains radicaux à évoquer l'échec du 21 avril 2002 pour s'opposer à une candidature PRG. "En creux nous sommes en train de consentir à une responsabilité" et "dispensons le principal responsable de toute évaluation critique de sa campagne", a-t-elle dit, soulignant que "80% de son électorat n'aurait de toute façon pas voté pour Lionel Jospin".

"Depuis 2002, tout débat électoral est passé au tropisme du 21 avril", mais "dans un scrutin à deux tours le premier est naturellement un tour de débat, le deuxième de rassemblement", a-t-elle argué.

Elle a aussi rejeté l'argument avancé par M. Baylet selon lequel le candidat PRG n'aurait pas d'espace politique: "Une campagne est un rendez-vous avec les citoyens avec lesquels on discute et parfois on convainc".

Elle a laissé entendre que si sa candidature n'est pas retenue, elle ne quittera pas le PRG. "On est très bien dans ce parti, personne ne nous en fera sortir", a-t-elle dit.

Politique-politicienne, quand tu nous tiens ...
En gros, les radicaux de gauche attendent que ce soit DSK qui soit le candidat du PS; autrement, ils vont présenter leur propre candidat. J'espère que ce sera Tappie d'ailleurs : un bon gars lui au moins.

Débat à distance entre les présidentiables socialistes

Après leur débat houleux de jeudi dernier au Zénith de Paris, les trois prétendants à l'investiture socialiste pour l'élection présidentielle de 2007 ont poursuivi ce week-end, et à distance, leurs échanges.

Ségolène Royal, huée jeudi par les partisans de Dominique Strauss-Kahn et en perte de vitesse dans les sondages, qui la placent cependant toujours en tête, a déclaré dimanche qu'elle espérait gagner la primaire du PS au 1er tour, le 16 novembre.

Priée de dire sur Europe 1 si elle redoutait un second tour, la présidente du Poitou-Charentes a répondu, "J'espère que non", avant d'exhorter les militants du PS à voter "massivement".

"Une élection, quelle qu'elle soit, n'est jamais gagnée tant qu'elle n'a pas eu lieu", a-t-elle déclaré. "Mais moi je suis confiante et je demande aux militants de venir voter dès le premier tour, parce qu'il faut être fort face à la droite et que la dynamique se joue au premier tour de la désignation."

La veille, Dominique Strauss-Kahn, qui a réduit ces derniers temps son retard sur Ségolène Royal, affirmait dans Libération qu'il était en mesure de la battre.

Samedi soir, devant plusieurs centaines de militants acquis à sa cause et réunis dans un gymnase du XIIIe arrondissement de Paris, l'ancien ministre de l'Economie a poussé un peu plus les feux, en s'en prenant également au troisième homme, l'ancien Premier ministre Laurent Fabius.

"Je ne serai pas celui des candidats qui dit des choses à l'écart du projet et qui visiblement n'a pas lu le projet socialiste", a-t-il lancé en faisant allusion à Ségolène Royal.

"Mais je ne serai pas non plus le candidat qui considère que le monde est resté figé et qui visiblement n'a lu que le projet socialiste", a-t-il ajouté.

"SOCIAL-BLAIRISME"

Le tout assorti d'une nouvelle pique à l'adresse de la présidente du Poitou-Charentes, dont les partisans se sont plaint du traitement infligé à leur candidate jeudi soir par ceux de Dominique Strauss-Kahn.

Pour se battre contre le ministre de l'Intérieur Nicolas Sarkozy, aujourd'hui probable candidat de l'UMP, "il faut avoir le cuir un peu dur", a-t-il déclaré. "Et puis ensuite, quand on aura gagné, qui va être capable de gouverner ? Il ne suffit pas de dire, on ira chercher les autres, ceux qui savent."

Dominique Strauss-Kahn croit déceler un "mouvement" en sa faveur dans le parti.

"Les militants, en réfléchissant petit à petit, se disent que, tout compte fait, la voie dans laquelle on a voulu les engager (...) pourrait bien être une impasse", a-t-il dit.

Réplique, dimanche soir, du plus mal classé des trois dans les sondages, Laurent Fabius, au Grand Jury RTL-Le Figaro-LCI : "Jusqu'à présent, il y a eu une certain brume, qui a obscurcit un peu le paysage (...) La lumière est en train d'apparaître."

Une lueur qu'il veut croire en sa faveur. "Lorsque j'ai les militants en face de moi (..) l'accueil des militants en général est extraordinairement chaleureux et n'a rien à voir avec les fameux sondages dont on nous bassine", a-t-il déclaré.

"Le projet que je défends est à la fois le seul capable de répondre à l'urgence sociale et de préparer l'avenir, le seul capable de rassembler la gauche, donc le seul capable de nous faire gagner", a ajouté Laurent Fabius, pour qui Ségolène Royal ne défend qu'une "espèce de social-blairisme" et Dominique Strauss-Kahn "une vision classique de la sociale-démocratie".

La cote de Ségo est effectivement bien retombée auprès des militants après ce débat ; en revanche, c'est DSK qui marque des points (ce qui, somme toute, semble plus sensé...)

François Hollande, un irresponsable à temps complet

Citation :

Conférence de presse des porte-parole
Lundi 30 octobre 2006
Luc Chatel

Comme l’immense majorité des Français, l’UMP par la voix de Luc Chatel a exprimé « sa profonde indignation face à l’acte criminel et odieux qui s’est produit ce week-end à Marseille ». L’UMP « tient à adresser à la famille de cette jeune femme qui traverse une terrible épreuve tout son soutien et sa sympathie ».

De ce drame, « nous tirons un certain nombre d’enseignements qui renforce notre détermination à agir dans plusieurs directions » pour assurer la sécurité des Français a indiqué Luc Chatel. Il a rappelé la nécessité de « réformer l’ordonnance de 1945 sur les mineurs et d’instituer des peines planchers pour les multirécidivistes ». Il a par ailleurs relevé que « la voie d’une politique d’immigration choisie est celle qui paraît porteuse sur le long terme ». « Cet évènement démontre qu’il faut plus de Sarkozy » a-t-il affirmé.



La meilleure des préventions, c’est la sanction

« La Justice manque non seulement de moyens, mais aussi de réactivité et de fermeté » a affirmé le porte-parole de l’UMP qui a rappelé que « la meilleure des préventions, c’est la sanction et la sanction effective ». Pour illustrer son propos, il a cité l’arrestation rapide « des présumés agresseurs des policiers à la cité des Tarterêts il y a quelques semaines et des présumés auteurs des actes odieux commis à Grigny il y a quelques jours. Ils sont aujourd’hui sous les verrous ». « Un message fort adressé à tous les apprentis délinquants de France » a-t-il lancé.

Luc Chatel a déploré que les médias aient évoqué la semaine dernière « une date anniversaire des émeutes en banlieues ». Il a appelé à la responsabilité de tous : « chacun doit être conscient, et l’immense majorité l’est, de la responsabilité qu’il détient lorsqu’un média diffuse un certain nombre d’images d’actes qui sont parfois localisés mais qui ont un impact extrêmement fort auprès de certaines catégories de la population » a-t-il insisté. « Il est du devoir de l’UMP de le rappeler ».



François Hollande : un irresponsable à temps complet

Par ses déclarations, « Monsieur François Hollande a démontré qu’il était un irresponsable à temps complet » a affirmé Luc Chatel. « Un irresponsable au sens propre » a-t-il relevé « puisque le Premier secrétaire du Parti socialiste n’a jamais exercé de responsabilités et il est peu probable qu’il en exerce dans les mois qui viennent ». C’est ce même « François Hollande, alors premier secrétaire du Parti socialiste sous le gouvernement de Lionel Jospin, qui expliquait à l’époque que la question de l’insécurité relevait d’un sentiment et non pas d’une réalité » a-t-il poursuivi. Les socialistes, qui « depuis 2002 ont systématiquement refusé de voter les lois d’orientation et de modernisation de la police et notamment tous les moyens supplémentaires, sont incapables aujourd’hui de dégager une ligne claire sur la question de la sécurité ». « Entre Dominique Strauss-Khan qui veut enlever les CRS des banlieues, Laurent Fabius qui est dans l’incantatoire permanent et Ségolène Royal qui voudrait des centres fermés encadrés par des militaires, on a du mal à s’y retrouver » a-t-il ironisé.

Tenter « d’exploiter tragiquement » l’acte criminel qui s’est produit à Marseille « nous paraît profondément choquant et irresponsable » s’est indigné Luc Chatel. Il a tenu à rappeler qu’en matière de lutte contre l’insécurité, les faits parlent d’eux-mêmes : « sous Lionel Jospin, la délinquance a augmenté de 22%. Grâce à l’action soutenue de Nicolas Sarkozy et du gouvernement, la délinquance a diminué de 15% ».



Mme Royal veut effrayer les capitalistes, l’UMP veut attirer les investisseurs

« Mme Royal veut effrayer les capitalistes, nous, nous voulons attirer les investisseurs et les entreprises internationales dans notre pays » a déclaré Luc Chatel qui a souligné que « la question des délocalisations est aujourd’hui un problème majeur ». Pour lutter contre ces délocalisations, il faut investir dans la recherche et l’innovation comme c’est le cas des pôles de compétitivités et assurer la capacité de notre pays à attirer les investissements internationaux ». Il a relevé que « 664 entreprises internationales ont fait l’an dernier le choix de la France : soit 40 milliards d’euros d’investissements pour moitié issus des Etats-Unis et de l’Allemagne ». Une contribution qui a permis la création de 33 000 emplois. Alors que « La France est le second pays en Europe en matière d’investissements internationaux », « est-ce que Madame Royal est prête à tirer un trait sur ces investisseurs et ses 33 000 emplois créés, là est la vraie question » s’est interrogé le porte-parole.

La vidéo de Luc Chatel

le capitaliste a écrit:

François Hollande, un irresponsable à temps complet - Luc Chatel

Voilà qui est parfaitement rétorqué par rapport à la petite phrase que Hollande a balancée vis-à-vis de Nico !

Si on remarque bien Royal serait la gagnante pour les membres de ce forum...

1er débat